Catégoriser LSE/HSE/LSE extraverties/...
 

Pour faire suite au débat lancé par le post de Sturday sur les LSE extraverties.

Je vois plutôt la distinction LSE/HSE comme étant une aide au calibrage du game, pas comme une catégorisation des femmes.
En ajoutant le qualificatif extravertie, on introduit une nuance supplémentaire pour créer à mon sens un intermédiaire entre HSE et LSE. Mais en aucun cas, je ne conseillerai de s'enfermer dans une grille de lecture qui a son intérêt mais aussi sa limite.

Une fois passée le début de la séduction, on entre un peu plus dans l'intime (si on en a le désir) et là les choses sont infiniment plus nuancées, plus fines et subtiles : c'est le temps de la rencontre avec la singularité de l'autre.

Donc, je ne suis pas pour éviter les LSE extraverties, je suis pour éviter les personnes qui ne nous suscitent pas le désir d'aller plus loin, et aussi les personnes qui ont trop de problèmes.

@Pims : c'est donc un autre qui t'a fait changer, par quel moyen ?

Bah. Disons que pendant ma looongue relation, j'avais un homme qui me disait que j'étais grande, belle, sexy, désirable et tout et tout, mais le sachant complètement amoureux de moi, j'avais tendance à douter de son objectivité. Donc je n'étais pas convaincue du tout.

En entrant en école, diminuant grandement le sex-ratio dans mon entourage (environ 15% de filles par chez moi), je me suis vue entourée de mecs en rut me draguant peu subtilement, et me faisant comprendre que j'étais etc. Les sachant justement en rut, je doutais aussi de leur objectivité, constatant par ailleurs que n'importe qui avec une paire de seins se voyait tenir à peu près le même discours.

Bon, le jour où un mec que je savais n'être ni en rut, ni amoureux de moi m'a dit la même chose, j'ai fini par me dire que y'avait ptet un peu du vrai. :D

En fait, sincèrement, je ne sais pas exactement pourquoi lui je l'ai cru. Mais je l'ai cru, et je suis putain de mieux dans ma peau maintenant :)