29, boom ! Je savais que j'étais devenu plus con qu'avant hahaha
J'ai un peu survolé le débat, a mon avis la forme de présentation du projet est mauvaise.
Tout comme la forme de présentation du surdoué le sera toujours a cause du schéma de pensée très présent en France.
Vers mes 10ans j'ai fais des testes et tout le bordel chez une psy, Qi de 148. Et a partir de ce moment j'ai realisé avoir quelques galères de communication en société.
En Syrie (mon pays natal ou j'ai vécu jusqu'à l'âge de 8ans), il est beaucoup plus normal d'aller directement au but. Quand on parle, si tu veux dire a quelle point tu excele dans un domaine, les gens auront une réaction tout autre qu'en France.
Donc forcément, lorsqu'on appelle de base, "surdoué", quelqu'un qui a schéma de pensés différent de la "norme générale", il sera perçu différemment, tout comme sa communication car elle partira toujours d'un raisonnement différent.
Et vue qu'au premier abord la forme est beaucoup plus recherchée que le fond, l'incompréhension (si on peut l'appeler ainsi) est présente.
Tout comme en cours, en dissert et autre exercices du genre, j'ai toujours eu des notes de merde a cause de la forme. Même en maths et physique (jusqu'en seconde, avant de m'en battre les couilles de tout ça) on m'enlevait toujours des points car je sautais des étapes alors que ça valait 20/20.
C'est vraiment abusé cette obsession.
Il y a un truc qui m'a longtemps étonné : en racontant une histoire ou autre, je disais "moi et xxx" et on me reprenait toujours "xxx et moi". Genre pour pas se placer toujours au début comme quoi ca demontre de l'egocentrisme. Mais putain qu'est qu'on s'en fout ?
En arabe, (le dialecte syrien en tout cas) ça sonne faux quand on dit "xxx et moi", personne ne le dit, tout le monde commence par soi même : "moi et lui".
C'est vraiment culturel cette manie, et le plus souvent ce n'est pas dans l'intérêt de qui que ce soit.
__________________
Toutes les techniques fonctionnent et aucune technique ne fonctionne.
-Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles qu'on n'ose pas, c'est parce qu'on n'ose pas que les choses sont difficiles. Seneque.
-Il m'est impossible, de dire impossible !...
|