Deuxième sortie SPU.
4 open, 0 NC, mais session encore plus satisfaisante que la fois précédente.
2 open sur des filles en mouvements, 1 à l'arrêt d'un bus et 1 assise sur un banc.
2 interactions ont été très satisfaisantes, 1 satisfaisante et 1 où la fille complètement apeurée m'a stressé à mon tour.
J'ai pas mal regardé les vidéos de
Vadim dernièrement pour voir quels gimmicks il utilisait. Mon but était de trouver des moyens de contourner certaines de mes barrières.
La première de ces barrières était de me sentir très inconfortable à l'idée d'arrêter des filles en mouvement.
J'ai trouvé une des solutions grâce à Vadim, qui parfois "s'excuse" auprès des filles qu'il arrête. Je ne sais pas s'il le fait à chaque fois, mais j'ai utilisé cela 3 fois sur 4 après avoir interpelé ces filles : "Hey salut, excuse moi de t'arrêter ainsi mais, bla bla bla...".
De cette manière, c'est moi que j'excusais et j'outrepassais ma propre barrière.
La seconde barrière, était que je n'assumais pas vraiment de leur dire pourquoi je les arrêtais (parce qu'elles sont bonnes hein). La solution était
de ne pas utiliser une des approches de Vadim, ou même de plein d'autres "PUA", qui est de dire "je t'ai trouvé adorable". Je trouvais cette approche, non pas mauvaise, mais un peu malhonnête
pour ma démarche. Je ne trouve pas ces filles adorables, je ne les connais pas. Elles peuvent être de grosses connes, j'en sais rien.
Alors j'ai fait comme
Notrade,
je me suis permis de leur dire que je les trouve jolies. Plus précisément "ravissantes" parce que le mot me semblait plus mélioratif... et parce que je dis ce que je veux aussi ^^
La troisième barrière, était de réussir à persister un peu si la fille objectait un refus.
Je me suis servi du matériel de Vadim une nouvelle fois :
1)
-
I have a boyfriend.
-
You have a boyfriend? Really? Are you in a committed relationship/engaged/married? Is it that serious?
2)
-
I don't have time.
-
Even for a Sunday afternoon coffee?
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Donc concrètement les 3/4 de mes approches étaient approximativement basées sur la formule : "Hey salut, excuse moi de t'arrêter, je t'ai vu passer et je t'ai trouvé vraiment ravissante alors j'avais envie de venir te dire bonjour".
La première fille, Estrilla, est une brune typée latine.
Je lui ai touché l'épaule pour la faire se retourner, car elle me croisait. Elle s'est arrêté, je lui ai sorti mon baratin. Elle a été
cool, puis m'a dit qu'elle sortait de chez son copain avec qui elle était depuis 4 ans. J'ai utilisé la phrase anti-objection no. 1 de Vadim, pour tester la fille et ma capacité à me maintenir dans l'interaction et assumer ma démarche.
La seconde fille, Émilie, était à un arrêt de bus. Une belle blonde élégante et mince, d'environ 1m70 en robe.
Très bonne interaction, souriante, une locale. Elle n'a pas de petit ami mais me dira qu'elle a 2 jobs et qu'elle n'est pas disponible sentimentalement.
C'est là que j'utilise la phrase anti-objection no. 2.
Bon elle avait pas de temps à me consacrer, pas de problème, on a passé un bon moment et je repars souriant.
La troisième fille,
fille stressée, est une autre locale, si j'en crois son accent. Une grande et belle fille en tenue sport-chic.
Elle était littéralement apeurée et du coup, elle m'a stressé au point de me faire bégayer dans mon approche. Apparemment, elle était en retard pour aller chez quelqu'un et elle se confond en excuse.
Je lui répond que ce n'est pas grave et lui souhaite une bonne journée.
La quatrième, Maude, était assise sur un banc, en face d'un hôpital où se déroulait une manifestation. De loin, avec sa jupe courte, elle m'avait l'air pas mal excitante. De près un peu moins.
Mais une fois à côté d'elle, je voulais exercer mon muscle social et ne pas le laisser se refroidir. J'ai donc engagé la conversation. Je voyais que ça lui donnait le sourire, mais je savais que je n'étais pas assez attiré. Donc, j'ai mis fin à la conversation.
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Je me suis chié dessus à l'approche de 2 filles magnifiques et tout à fait bandantes.
Ces beautés froides sont intimidantes. Une bonne dose de frustration qui me fait dire qu'il ne faut pas que je laisse ces occasions passer. Mais ma frustration est un très bon moteur pour me pousser à débloquer des situations. Donc je ne m'en veux pas.
Au final, j'ai pris un bon gros
boost de confiance, je ne suis pas du tout découragé par l'absence de NC, je me suis prouvé que je pouvais le faire sans ressentir de stress immobilisant et j'ai hâte de recommencer.