Salut, j'ai pas eu le temps de lire ton message mais j'étais super en forme aujourd'hui et j'ai agi comme ce que tu as dit.
Finalement draguer les femmes sur les stands n'est pas insurmontable, le résultat est plutôt bon pour ma part :
-J'ai abordé deux femmes sur un stand de banque
Moi : "Bonjour, on peut gagner quelque chose en remplissant ce formulaire?
Elles : "Non désolé, c'est surtout pour bénéficier d'un emprunt (blabla)"
Moi : " Dans ce cas on peut vous gagner toutes les deux?
L'une d'elles : "ah non, j'en connais un qui ne serait pas content (en rigolant)"
J'enchaîne comme si je n'avais rien dit sur une discussion normale et ça passe tout seul.
-Kinos aux femmes de mon stand (tapotage sur l'épaule, main dans le dos, chatouilles, caresses... je découvre que je suis assez direct quand il s'agit de toucher quelqu'un, merci mes parents) avec au final 2 NC faciles sous un prétexte un peu professionnel mais avec toute cette drague je doute qu'elles ne voient pas mes intentions.
Je vais quand même pas dire "tu me plais, on ne risque pas de se revoir et je meurs d'envie de t'embrasser maintenant" avec toute cette foule
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Même avec les burnes les plus grosses du monde on peut se faire virer de notre job, passer pour un rigolo et la pression est au maximum (on reçoit parfois des célébrités).
Je ne vois qu'une solution : l'isoler en lui proposant une date rapide après le travail.
Mais je suis plutôt du genre à être séduit avant de séduire : est-ce que ces familiarités, ce flirt, peuvent mettre la fille dans un état d'excitation comparable au mien? Une femme qui se laisse faire dans un tel contexte peut être considérée comme réceptive? J'ai beau être brûlant (un gars me la dit texto, "t'es un chaud toi"), les autres ne le sont pas pour autant non? En tout cas je maintiens l'interaction sans aucune gêne.
Il s'agit quand même de conseillères, de journalistes, de responsables, entre 25 et 35 ans.