En bref, si on devait tirer une conclusion :
La valeur sociale des hommes est extrêmement faible, bien qu'elle soit la seule catégorie sociale considérée comme éminemment privilégiée par les pseudo sociologues déréglés par le progressisme.
- Dû à l'interchangeabilité inhérente au fait qu'il suffit d'une poignée d'hommes pour les besoins reproductifs et d'une armée pour défendre les frontières (de quelle nature soient-elles). L'homme moyen peut donc tout à fait servir de chaire à canon et le haut de la hiérarchie peut se garder la fonction reproductive.
Par chaire à canon, on peut tout à fait reprendre les contextes déjà partagés dans les pages précédentes : armée, itinérance, exclusion du cadre professionnel, etc.
- Dû à l'hypergamie féminine qui exlut par nature la majorité d'entre-eux considérés comme impropres à la reproduction.
De fait, la compétition entre hommes pour l'accès à la reproduction est d'autant plus intense et exige d'eux toujours plus en termes de valeur sociale, creusant l'écart entre ceux qui ont la volonté de s'élever et ceux qui ne l'ont pas - et par extension, ceux qui ont accès à la reproduction et ceux qui ne l'ont pas.
Je dirais donc que même si trop peu d'hommes font le nécessaire pour améliorer leur valeur - c'est un peu l'idée que Notrade laissait sous-entendre, à raison, dans le topic sur la valeur féminine - il y a de fortes chances qu'ils en fassent davantage que les femmes, ne serait-ce que pour accéder à la reproduction ; donc grimper l'échelle sociale.
Dans ces conditions, il me parait difficile que les hommes puissent avoir une haute estime de leur valeur, même si certains peuvent bien entendu se surestimer malgré une valeur très relative.
Mais bon... dans notre contexte idéologiquement pollué, peu importe les faits. Seule la croyance prévaut.
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HANNEMAN, OU LE MÉCHANT DU FORUM.
LE FÉMINISME EST UNE SUPERCHERIE, UNE POLLUTION INTELLECTUELLE.
#KILLFEMINISM
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