Frérot,
l'écriture est le reflet de l'âme, et pour ton cas c'est presque peine perdue, encore chez certains, on arrive à déceler un potentiel, même minime, il y a une micro-lueur d'espoir qui peut être exploitée, une petite étincelle dans les ténèbres de leur vacuité, mais chez toi, c'est le néant, c'est peut-être injuste, mais statistiquement, il devait y en avoir, c'est tombé sur toi, t'es unique en ton genre, mais je sais pas si tu devrais être fier de cette différence.
Bisous, passe une bonne soirée.