C'est peut-être trop tard pour vous répondre, mais je trouvais ça intéressant. Petit contretemps lié à un déménagement...
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travailler sur son avenir est prioritaire, mais on peut aussi séduire et se créer un environnement dense en femmes. Les deux ne sont pas antinomiques
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Mon intervention ne cherchait qu'à montrer que ce n'était pas antinomique, mais entièrement lié. Que les projets permettent de côtoyer et rencontrer des femmes, qui mathématiquement sont plus aptes à nous convenir pour du long terme, et qui souvent ne sont pas sur Tinder.
De mon côté je suis incapable de me sentir en pleine forme, en pleine confiance, si ma situation pro n'est pas stable. Il faut au moins un domaine sur lequel se reposer pour puiser toute son énergie (des amis, un travail).
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je ne vois pas pourquoi la baise et l'affection devraient être secondaires quant à son développement
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Je dirais plutôt "primaires" que "secondaires". Le manque freinera donc l'évolution, cf pyramide de maslow qui est plutôt intéressante. Quand je dis "pauvre", c'est que manger est moins noble que s'accomplir. Survivre / vivre. Si on focus sur un étage inférieur de la pyramide (peut-être parfois à cause du game, qui nous fait croire que tout dépend des femmes) on ne pourra pas atteindre des objectifs supérieurs, qui eux-mêmes nous permettraient de revoir les objectifs inférieurs, ou d'exceller dans l'art d'assouvir ces besoins sans efforts.
Devenir un divertisseur pro n'est pour moi pas envisageable, je préfère devenir "loup". Quitte à être mis à l'écart assez souvent, soit par les filles, soir par les mecs, pour des raisons évidentes.
Disons que pour moi il faut se donner les moyens de séduire et de comprendre les mécaniques sociales, mais ne pas s'empêcher de viser plus haut et donc parfois d'avoir davantage envie de gérer sa politique que de baiser. Un chef de meute peu baiser n'importe quelle femelle, mais pourtant il consacre du temps, à résoudre des problèmes, car c'est ce qu'on lui demande (cf La Politique du chimpanzé). T'as beau vendre ton R&D et attirer une fille, si tu ne résous pas ses problèmes, tu ne resteras pas avec elle, ou elle ne te choisira pas pour former une alliance.
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Non non, il dit bien de se focus à la place de gamer.
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Comme l'a compris Wilfred, le game m'a obsédé au point de vouloir m'en faire une religion, encore aujourd'hui. C'est un prérequis, mais aussi quelque chose que j'aimerais considérer plus large que la capacité à choper des meufs en soirée, ou la capacité de vendre son R&D. Je le vois comme un moteur qui doit à un moment donné se détacher des objectifs de base comme baiser ou avoir de l'affection, puisqu'il s'agit d'une première étape, pas une fin en soi à l'échelle d'une vie.
Citation:
Ce discours du "fais ta vie, prends soin de toi, trouve-toi un bon job et ça viendra quand ça viendra" m'a fait perdre un temps fou.
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Ma vision est tout sauf pépouze. Je ne dis pas vraiment de mettre le job au centre de la réussite, et que tout viendra tout seul. Je dis qu'il faut avoir la rage, la volonté de réaliser des choses, et aussi surtout la volonté de prendre l'ascendant sur les autres. Que cette rage de séduire devrait être une rage globale, permettant de structurer sa vie.
Le covid affaibli une grande partie de la population, je ne me suis jamais senti aussi fort et capable de réaliser des choses. Il faut profiter de cette période plutôt que de pleurer parce qu'on n'arrive pas à dater une femme. C'est justement en période de crise ou de changement global qu'on trouvera de nouvelles occasions
Ohyeah a raison en disant que certains domaines pros sont désertiques et pauvres en femmes. C'est là qu'interviennent pour moi les passions et l'envie de d'exceller dans plusieurs domaines. J'ai rencontré une guitariste en devenant ingé son, une prof en faisant des bandes sons pour des vidéos pédagogiques, une artiste pour un site web, des ouvriers pour un projet d'architecture (mais bientôt des femmes qui me demanderont conseil pour leur chantier). Etc, hors salariat et entreprise.