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  #1  
Vieux 06/05/2020, 20h26
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Par défaut Manque de motivation personnelle et professionnelle

Salut AdS, je ne poste pas très souvent, mais peut-être que quelques-uns d'entre vous se souviennent de moi !

J'ai déjà créé par le passé plusieurs sujets dans cette section concernant la séduction, mais aujourd'hui cela se portera plutôt sur un (ou des) soucis bien plus important que je dois traîner depuis très longtemps.

Je ne sais pas vraiment quelle est la meilleure direction pour commencer tout ça, donc je vais simplement remonter dans le temps jusqu'à en arriver à aujourd'hui.

Retour à ma période scolaire. Je crois que je n'ai jamais vraiment aimé ça. Comme beaucoup, je trouvais une bonne partie des cours peu utile par rapport à ce que j'aspirais à devenir et je faisais très rarement les devoirs donnés par les enseignants. Malgré cela, j'ai obtenu tous mes diplômes sans aucun effort de révision : j'ai eu mon BAC en faisait très peu, mon DUT Informatique de la même façon (j'ai même étonnamment été major de promo à un semestre) et ma Licence pro multimedia en en faisant encore moins.

Je n'ai jamais vraiment aimé les cours, rester assis toute une journée à écouter les professeurs et effectuer des exercices qui, pour une majorité, ne m'intéressait pas.

En revanche, il faut quand même que je précise deux choses :

- J'ai doublé ma première 1ère S car pour le coup, cette année-là, c'était assez catastrophique. Les professeurs ne voulaient pas que je refasse une deuxième année en S, mais c'est pourtant ce que j'ai fait. Et sans changer grand chose, j'ai cette fois réussi. J'ai toujours mis ça sur le dos du "je ne sais pas quoi faire plus tard", ce qui était peut-être vrai. J'ai longtemps voulu être vétérinaire, mais quand j'ai appris le nombre d'années d'étude, j'ai compris que ce n'était pas pour moi, et donc je ne savais pas où j'allais. L'une de mes passions était le développement web à ce moment, donc après quelques temps de réflexions, je me suis dit que j'allais me diriger dans ce domaine.

- J'ai aussi refait dans l'entièreté ma seconde année en DUT info. Cette année-là, j'étais en chambre universitaire à 5 minutes de mes cours (et encore, le temps de descendre ma résidence quoi), et je me levais au dernier moment. Plus l'année avançait et moins j'allais en cours, jusqu'à ne plus y aller du tout. J'ai eu un ras-de-bol général à propos des cours. Je passais mes journées dans ma chambre de 9m², où à me promener en centre-ville quand j'avais un ami de disponible, et à sortir en boîte du jeudi au samedi. Les enseignants ont essayé de me joindre et ont laissé quelques messages dans ma boîte vocale, auquel je n'ai répondu que très tard. J'ai expliqué la situation à ma mère au bout d'un certain temps, lui disant que j'en avais marre de rester assis et qu'il fallait que je bouge, qu'il me fallait un break. Je lui avais dit que j'allais trouver un travail pour la saison d'ici la reprise... chose que je n'ai jamais faite. On avait décidé de prendre rdv avec une psychothérapeute, qui m'avait décelé un manque de confiance en moi. J'ai été accepté pour refaire mon année scolaire pour raison médicale. J'ai eu mon diplôme par la suite.

On en arrive à ma Licence pro où l'environnement professionnel s'intègre progressivement dans ma vie car je décide de la faire en alternance pour commencer à recevoir un salaire. Je trouve une petite entreprise assez facilement, donc j'entame ma dernière année.

Plutôt motivé en période d'entreprise, je bosse plutôt bien. Mais les périodes de cours m'ont littéralement gonflées. En tant qu'alternant, je me devais de rester 35h dans l'école même quand nous n'avions pas de leçons : je ne le respectais pas, je demandais à ce qu'on émerge sur la fiche de présence à ma place. Ou je signais directement pour toute la semaine dès le lundi. Lorsqu'on avait cours, je séchais parfois. Il y a pas mal travaux importants que je n'ai jamais rendu. Mais j'ai au final eu mon diplôme.

L'entreprise de mon alternance accepte de me garder CDI (ils avaient déjà prévu de me garder à la moitié de l'année scolaire) : augmentation du salaire, plus de cours à suivre, je travaille dans un domaine que j'adore, que du bonheur en somme. Le seul inconvénient : j'avais 45 minutes de trajet le matin et le soir. Mais il y a pire que ça, donc je m'en foutais un peu.

Mais à partir de là, progressivement, je commence à de moins en moins bosser pour les projets du boulot, je traîne de plus en plus sur internet sans réel intérêt, ou je bosse sur des projets perso au bureau (et qui n'ont jamais abouti). Bref, tout était bon pour ne pas bosser. Je faisais le minimum pour montrer que j' "avance". J'arrivais fréquemment à la limite acceptable le matin. Puis ça a commencé à se faire remarquer, je me forçais à me concentrer sur ce que je devais faire, mais je rebasculais rapidement. Je voulais me prendre un appartement, mais je ne voulais pas dans la ville où mon boulot se situait. Peut-être que ça a joué sur mon manque de motivation...

Puis j'ai rencontré une fille avec qui je me suis mis en couple, et c'est au final elle qui m'a poussé à oser quitter cette entreprise pour trouver dans la ville où je voulais m'installer. J'ai donc démissionner dans cet objectif, puis ma relation s'est terminée. Et j'ai trouvé un nouveau job (mon job actuel) là où je voulais, avec plus d'avantages, bien mieux payé etc... A partir de là, je m'étais dit "Ok c'est bon, tu vas dans la bonne direction !".

Après quelques mois pour voir si ça me plaisait, si je m'y sentais bien etc, je voulais prendre donc ce fameux appartement ! J'avais économisé pour rembourser en un coup ce qui restait de mon prêt automobile, et donc m'enlever ce point des bras, pour reprendre rdv avec ma banque pour un prêt immobilier...

Mais ce mois-là, ma voiture tombe en panne, elle ne roule plus. Je l'ai laissé chez un ami garagiste de mon frère, et je ne l'ai récupéré que 6 ou 7 mois après (oui oui). Et j'ai beaucoup payé en réparation, jusqu'à acheter un moteur complet. Cette histoire de voiture s'est terminée mi février, et il subsiste encore quelques bricoles. Quoiqu'il en soit, ça a décalé mon projet d'appartement. Et dans le même temps, je commence à refaire n'importe quoi dans mon nouveau boulot, les même erreurs que j'ai faite précédemment.

J'ai perdu toutes motivations, mais supérieurs s'en sont rendus compte, bien évidemment.

Une fois. Puis une seconde fois. Ils sont très patients pour être honnête.

J'avais un peu repris du poil de la bête, je me couchais bien plus tôt pour être de meilleure forme et me lever à l'heure, ça marchait en partie, mais je bossais pas toujours à 100%.

Et le confinement est apparu, avec le télétravaille. Dégringolade complet, je fais vraiment n'importe quoi, que ce soit au niveau des horaires ou des tâches effectuées. Bien évidemment, cela s'est encore vu, et j'ai rendez-vous la semaine prochaine avec mon supérieur pour parler de ça, et à mon avis je crois que ça va la fin de mon voyage chez eux.

Voilà concernant le pro. J'aimerai parler maintenant du côté perso ou ce n'est pas spécialement brillant non plus.

J'ai quelques passions, certaines pourraient être résumer à la création : j'aime créer et imaginer. Cela peut être des sites internet ou applications, le dessin, la création d'un monde/d'un univers pour une histoire, la création de jeux vidéos, etc.

Plus quelques autres en-dehors : le hip-hop (quoique ça pourrait être dans la création aussi), la musique électronique, les fringues et les jeux vidéos (dans le sens "jouer" cette fois).

J'ai souvent des idées ou projets qui me traversent l'esprit. Avant j'aurai eu un boost de motivation pour le commencer et m'y mettre à fond, jusqu'à me lasser et stopper. Aujourd'hui, je n'ai même pas la motivation de commencer quoique ce soit. Je vais pas arrêter d'y penser mais je ne vais rien faire, même pas pour noter l'idée sur un bout de papier.

Tout ce que je fais quand je ne bosse, chez moi, ce n'est que de la procrastination (et je crois que ce terme résume relativement bien tout ce post). Je ne fais que jouer aux jeux vidéos, répondre à mes messages (et encore même ça parfois je n'ai pas la motiv), regarder des vidéos "sans intérêt" ou juste traîner sur internet.

Rien de tout ça n'est réellement productif.

Vous savez où j'en suis aujourd'hui. J'en suis à un point qui me remet beaucoup en question. Aucun de mes proches n'est au courant, je n'en ai parlé à personne. Quand on me demande comment se passe ma vie, je répond toujours que ça va, que tout se passe bien. J'ai une sale habitude de rarement parler de mes problèmes, inquiétudes ou autres, et de toujours montrer une facette jemenfoutiste de ce qui se passe dans ma vie (ce qui a le don d'en énerver certains).

En relisant, je me dis que j'ai beaucoup raconté ma vie, et qu'il y a peut-être des choses de superflues, mais je vais laisser intacte ce que j'ai rédigé.

Maintenant ma question, avez-vous des conseils à me donner ? Ou une piste qui me dirigerait dans la bonne direction pour que je puisse travailler sur moi-même ?

Est-ce qu'aller voir un psy serait bénéfique ?
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  #2  
Vieux 06/05/2020, 21h23
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Je n'ai pas envie de te juger à partir de quelques lignes, mais l'évolution de ton récit est prévisible, notamment sur le fait que ça allez te suivre des études jusqu'au pro et je pense que le problème sous jacent est plus profond qu'il n'y parait à première vue.

Y a t'il eu un événement ou un traumatisme dans ton adolescence ?

Le mot est peut-être un peu fort, mais sans t'en rendre compte forcément compte tu peux être sujet à une "dépression" ou des épisodes dépressif, et ça se soigne.

Le problème n'est pas de sécher des cours, tout le monde l'a fait, et quand on arrive au BAC +3 il n'est plus question de décrochage scolaire, le travail de socialisation a généralement était bien fait, le problème c'est que quand t'arrive dans le milieu pro ça se complique, et si aujourd'hui ça se passe "plutôt" bien pour toi malgré ton comportement, tu pourrais finir un jour au pied du mur, en as tu conscience ?

Il te faudrait peut être un petit électrochoc,

Aimes tu vraiment ce que tu fais au niveau pro, sinon quel est le domaine qui te fais rêver (et réalisable) ?
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  #3  
Vieux 06/05/2020, 21h42
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Y a t'il eu un événement ou un traumatisme dans ton adolescence ?
Je ne crois pas avoir vécu quelque chose que je qualifierai de traumatisant. A la limite la séparation de mes parents quand j'étais en primaire, mais je suis déjà allé voir un psy pour au début du collège concernant ce point.

Citation:
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Le mot est peut-être un peu fort, mais sans t'en rendre compte forcément compte tu peux être sujet à une "dépression" ou des épisodes dépressif, et ça se soigne.
Mmh c'est possible. Je ne sais pas vraiment comment évaluer si ce que je "vis" fait partie de quelque chose relatif au domaine de la dépression.

Citation:
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le problème c'est que quand t'arrive dans le milieu pro ça se complique, et si aujourd'hui ça se passe "plutôt" bien pour toi malgré ton comportement, tu pourrais finir un jour au pied du mur, en as tu conscience ?
J'en ai parfaitement conscience, d'où mon choix d'en parler ici aujourd'hui.

Citation:
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Aimes tu vraiment ce que tu fais au niveau pro, sinon quel est le domaine qui te fais rêver (et réalisable) ?
Je me pose la question maintenant. Le développement web a toujours été une passion je pense. J'ai commencé à apprendre en autodidacte ce domaine avant le lycée, et avant d'entrer en école supérieure, j'avais déjà un certain bagage ce qui m'a permis j'imagine de m'en sortir sans effort et en mettant certaines matières que je trouvais moins intéressantes de côté.

Il y a aussi le côté graphique / communication qui me plaît, d'où ma licence en multimédia. Maintenant que tu me diriges sur cette question, je me rappelle d'une petite période où j'aurai bien aimé bosser un peu plus tard dans ce qui est animation.

Mais même si j'ai le diplôme qui montre un minimum de connaissances, cela ne suffira pas pour plusieurs raisons : il faut en général avoir un genre de portfolio ou une liste de créations à présenter lors d'entretiens. Le deuxième point étant que je n'ai pas touché à ça depuis longtemps et que je n'ai pas le nécessaire pour m'exercer.
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  #4  
Vieux 07/05/2020, 14h25
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J’ai étudié dans plusieurs domaines. Mon premier diplôme était à l’université en filière « générale «. J’ai plus passé le temps à faire la fête et ne pas aller en cours qu’autre chose.

Je n’étais pas mûr pour affronter le monde du travail. Après ça j’ai repris des études plus spécialisées, j’ai rencontré celle qui allait partager 10 ans de ma vie, et les choses plus sérieuses ont commencées.

Il n’y a pas de chemin tracé. J’ai même fait une reconversion plus tard dans ma vie, et donc passé un nouveau diplôme dans un domaine - hum - que je ne connaissais absolument pas.

Du moment que l’on accepte le changement, tout se passera bien.
Si tu te poses encore des questions sur ta vie pro, tu as peut-être besoin de voyager ou de rouler ta bosse.
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  #5  
Vieux 07/05/2020, 16h29
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Juste un truc vite fait (parce que ça me semble complexe comme problème, trop pour moi en tout cas). La façon dont tu décris l'école (tu réussis sans forcer, et en gros l'école te saoûle) fait quand même beaucoup penser à une situation d'élève surdoué pas décelé.
Et même maintenant, la façon dont tu décris le taf fait aussi penser à un adulte de haut niveau (= beaucoup plus intelligent que la moyenne).

Tu devrais peut être creuser un peu, faire des tests ? Tu es du genre à t'intéresser un peu à tout en dehors du taf (articles de science sur des trucs incompréhensibles comme la physique quantique etc) ?
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  #6  
Vieux 07/05/2020, 17h32
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Je ne suis pas certain que le côté surdoué soit une des premières hypothèses à avoir.
Pour l’instant je vois juste un manque de maturité, comme je l’ai vécu à la vingtaine. Rien d’insoluble avec le temps
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  #7  
Vieux 07/05/2020, 18h49
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D'accord avec Phantom,

Les vrai cas que tu évoques Fold4Info sont rares, et n'ont pas au final réellement ce "genre" de profil
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  #8  
Vieux 07/05/2020, 19h32
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A la lecture de ton message, j'ai une impression vague que tu subis globalement ta vie et que tu t'auto-sabotes rapidement dans tous tes projets. Peut-être parfois à raison, peut-être parfois à tort, ça c'est à toi de le dire, mais la double peine que tu t'infliges c'est de culpabiliser puis de presque culpabiliser de culpabiliser et ainsi va le cercle vicieux.

On dirait en te lisant que tu glisses sur un toboggan en serrant les dents pour amortir du mieux que tu peux les rapides virages qui se sont imposés à toi.
De façon plus brute, tu sembles aussi privilégier les choix court-termistes, et l'exemple le plus criant est :

Citation:
J'ai longtemps voulu être vétérinaire, mais quand j'ai appris le nombre d'années d'étude, j'ai compris que ce n'était pas pour moi, et donc je ne savais pas où j'allais.

En sus tu sembles beaucoup t'accrocher au négatif, chaque évènement de ta vie (même normalement "positif") est présenté sous un jour négatif, là on est dans l'extrême du pessimisme !
Je dis cela sans te jeter la pierre puisqu'ayant aussi enchaîné les études jusqu'à mon premier emploi sans m'arrêter une seconde et que finalement c'est un mal partagé pas beaucoup de monde. Cf. les sujets de la perte de sens, bore out, etc.

La solution est simple : t'arrêter, faire le ménage dans tout ce merdier et structurer une vision moins éparpillée et paniquée de ta situation. Ensuite définir un point de visée précis et un gros objectif à moyen terme plus éventuellement des petits objectifs bonus.
Là c'est trop le bordel, il faut dire STOP et te débarrasser du bric à brac de pensées que tu transportes, les relativiser, les évaluer, synthétiser dans les vraies frustrations profondes.

C'est à toi d'y répondre, tu peux voir un psy ou un coach si tu ne sais pas faire mais en gros il faut que tu remettes de l'ordre dans ta vie et dans tes pensées et malheureusement personne ne peut le faire à ta place, juste t'épauler dans cet exercice mais les réponses viendront de toi.
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  #9  
Vieux 08/05/2020, 11h34
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Je partager de A à Z sa façon de pensé et je dirais même son vécu. Je pense que si tu travail c'est simplement pour te permettre de subvenir à tes besoins, en fin de compte si tu avais les revenus nécessaires pour cela, peut-être pourrais-tu te concentrer sur une réel passion. Peut-être que si tu mettais un réel objectif à ton travail tel qu'acheter des actifs financiers (bourse, immobiliers entre autre), le travail te paraîtra comme un moyen d'obtenir réellement ce que tu cherche à obtenir c-a-d la tranquillité. Personnellement je me voit pas travaillé au-dessus de mes 35 ans, malheureusement je ne suis pas joueurs de foot pour prendre ma retraite comme je le veux à cette âge là.

Alors au vu de ta situation, si tu essayais de te renseigné dans l'un de ces deux domaines afin de créer une stabilité financière qui te permettrais de ne plus travaillé par la suite, puis de tranquillement essayer de créer des trucs et de les ratés sans te sentir coupable et redevable (sentiment 100% partagé) peut-être pourras tu avoir un niveau de vie convenable dans seulement 10 ans et puis profiter de la vie tranquillement (se la couler douce comme on la toujours fait) pour ensuite éventuellement créer quelque chose de passionnant.

Ce n'est qu'un avis, mais j epense que tu fais partie de ces gens qui n'ont simplement pas l'envie de se casser le cul toute leur vie pour un simple salaire. Mais qui préférerais avoir sûrement un salaire moindre mais qui leur permettrais de jouer tranquillement au jeux vidéos, de s'occuper de leur futures enfants, et de profiter simplement de la vie. Alors si tu es des procrastinateurs incontestable et devenu maître en la matière, fait de cette procrastination ton objectif ultime et ne le voit pas comme un fardeau mais comme un cadeau. Si ton objectif est de ne plus en foutre une à tes 30 - 35 - 40 ans, peut-être te donneras tu la motivation ainsi que les moyens de ne plus rien foutre. C'est complexe comme stratégie, mais la flemme peut devenir un facteur de boost, lorsqu'on accepte d'être un réel flemmard je m'en foutiste. Là où les autres sont des stressés qui se tapent des infarctus à 30 ans, (perso je suis entré dans une nvl boîte où on es en période d'essai et y a au moins 10 personnes sur 15, qui se sont mise à pleurer qui font des mal aises tous les jours tellement ils sont stressé) à côté de ça ta un mec comme moi qui s'en bat royalement les couilles et qui obtient des résultats largement supérieur à l amoyenne et le tout sans forcé, de quoi que ce soit.

Alors crois moi tu n'a pas envie de faire parti de ceux qui te disent que 'il faut prendre ça au sérieux" avoir des hémoroides à 25 ans c'est pas drôle, je suis sûr que t'es en parfaite santé, seulement parce que t'en a réellement rien à foutre.

Pour ça : R.E.S.P.E.C.T
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  #10  
Vieux 08/05/2020, 13h50
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Envoyé par phantom_green Voir le message
Je ne suis pas certain que le côté surdoué soit une des premières hypothèses à avoir.
Pour l’instant je vois juste un manque de maturité, comme je l’ai vécu à la vingtaine. Rien d’insoluble avec le temps
Oui, peut-être un manque de volonté d'immersion dans la vie active pour accepter de passer ce cap où la vie ne se résume pas à être major de promo

Ca donne souvent des auto-sabotages où tu t'éjectes de ton boulot tout seul comme un grand

La thérapie me semble une bonne piste
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