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Envoyé par Xamax
Mec, ton intervention est excellente, mais ne m'envoie pas des perches comme ça...
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Maintenant que tu le dis, j'ai pas fais gaffe sur le coup. 06h15 et tu m'as fait rire de dingue ! Merci gars.
Sinon, pour répondre à Cocola, ça va arriver et n'espère pas trop que ces films disparaissent car en fait c'est ton passé. Bien ou mal, casseroles ou médailles, tu vas apprendre à vivre avec ces pensées mais, à moins d'avoir un accident cérébral, elle seront toujours là ... Je dis ça avec facilité alors que moi-même je me « repoignarde » par des pensées similaires avec lesquelles j'apprends à vivre.
Je pense également que nous avons, de manière général, tendance à nous rendre coupable. Parce qu'on se rend compte que part moments on a mal agis, on a été trop ci, pas assez ça. On s'auto-flagelle, on se rend « responsable » inconsciemment.
Ça rejoint ta peur de la laisser dans la jungle. C'est beau sur le papier, mais c'est de la littérature. Nous (les hommes) ne sommes responsables de rien sinon de nous-même. Et historiquement non plus d'ailleurs. Cette éducation « chevaleresque » n'est que l'interprétation de l'Homme de la Renaissance sur sa vision du Moyen-Âge et, de surcroît, d'une certaine classe sociale de cette époque. En gros, ça relève du fantasme car même les chevaliers n'étaient pas comme ça et les femmes étaient beaucoup plus libres que ce qu'on a bien voulu nous faire croire.
Je parle de cette période car je suis en train de l'étudier (j'adore la période médiévale) et c'est très intéressant pour les hommes (et les femmes d'aujourd'hui). On nous a toujours dis qu'il y avait le prince et la princesse avec les rapports qu'on leur connaît. Mais dans les faits, la société française médiévale n'a JAMAIS fonctionné comme ça. Ça permet de se dire qu'on ne subit pas une culture mais bien une « mauvaise » éducation.
Donc, décroche avec cette image, on a plus de preuves de l'existence du Père Noël que de ce mythe chevaleresque. Il n'y a pas UNE élue, c'est le chemin que vous parcourrez ensemble qui te fera dire que c'est la bonne.
Moi mon erreur, c'est de mettre entêté avec une personne avec qui ça ne pouvait pas fonctionner. Ça nous a pas empêché de nous aimer...mais à quel prix. Sautes d'humeurs, conflits et autres joyeusetés. On était trop passionné dans tout ce qu'on faisait... Aujourd'hui j'ai le cœur ouvert en deux, je n'ai plus d'appétit sexuel, j'ai peur de remonter à cheval (ça c'est une autre perche pour Xamax).
Aujourd'hui, je flash sur une collègue de bureau que je vois tout les jours, je n'arrive pas à surmonter, j'en vient à me dire que je n'arrive pas à me surmonter. A une autre époque, avec cet autre MOI que j'étais, je n'aurais pas attendu, j'aurais pris mes couilles à de mains et j'aurais essayé.
Ca viendrai, pour toi, pour moi, pour les autres. Et puis, dis toi bien une chose, remonter à cheval c'est bien, mais ça ne remplace rien. J'ai un collègue qui n'a pas arrêté d'enchainer des conquêtes après une rupture. Il a fait du mal à beaucoup de monde et il s'en veut aujourd'hui...
Le tempes soigne, sans morphine pour patienter, mais il soigne.