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Par contre oui, en NPU un bisou ça vaut pipi de chat. Et oui, t'as des nanas aussi qui vont vouloir passer une soirée nasty, en mode qu'importe le flacon pourvu qu'on ai l'ivresse. J'évacuerai les termes de "chance" et "connexion" pour recentrer sur le terme de "sérieux". La chance est juste la somme des facteurs non identifiés, la connexion est possible en étant défoncé, donc pas de valeur sûre là dedans. Par contre dans le sérieux tu vas vite trouver une idée d'engagement et de fidélité. Tu le verras au comportement de la fille, elle te posera des questions sérieuses, en mode projection. Elle ne sera pas tactile ni open en moins d'une heure ou deux, là ou avec d'autres tu peux faire du 5 secondes chrono. Voilà là t'as des signes d'une meuf qui cherche une LTR en NPU. Spoiler : c'est effectivement pas ce qu'il y a de plus courant. MAIS : tout dépend de l'établissement que tu fréquentes, le NPU ça veut rien dire en fait, c'est comme SPU, c'est un format de contexte, mais une rue n'en vaut pas une autre, tout comme deux lieux de night. Si tu vises un irish pub par exemple, t'es en NPU quand même, mais ce sera très différent en terme d'interactions et de public qu'une boite. Pour cette histoire avec cette fille là, ouaip a priori on saura jamais. Il te faut faire d'autres expériences maintenant, en capitalisant sur cette soirée qui t'aura quand même laissé de bons souvenirs petit canaillou. |
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Je me suis sans doute mal exprimé, mais je ne suis pas à la recherche d'une LTR spécifiquement ;) J'ai surtout posé cette question pour savoir à l'avenir comment me positionner en termes d'investissement émotionnel par rapport à ce genre d'interactions, à quoi dois-je m'attendre en fonction du comportement de la nana : comment faire la distinction entre celle qui veut s'amuser just for the night indépendamment du partenaire (j'ai adoré me faire objectifier en flacon BTW merci Diego :D) et celle qui est open au prolongement de l'interaction en dehors, sans forcément qu'un label quelconque vienne se greffer dessus :rolleyes: Mais même si j'aimerais toujours avoir des éclaircissements là dessus et que ta réponse apporte déjà quelques éléments (est ce qu'elle se projette ou non ?), je pense, après digestion de cette histoire, que la solution à cette question se trouve surtout dans une inversion de l'unité d'analyse et de l'axe de travail : Moi plutôt que les nanas. Moi, qu'est ce que je veux et comment je souhaite l'obtenir ? C'est autour de ça que doit s'articuler le questionnement. Et je dirais que ce problème cesse d'en être un à partir du moment où on évolue dans une démarche affirmée mais détachée : Je veux CA, tu me le donnes, tant mieux, tu me le donnes pas, tant pis. Et ce que je retiens de cette histoire, c'est que par rapport à cette démarche auto-centrée, je me suis prouvé des choses personnellement ET j'ai appris. Appris car je me suis retrouvé face à des situations où je balbutiais par le passé et où j'ai tenu la baraque car j'ai cru en moi. Et surtout appris car j'ai de nouveau commis des erreurs mais je me sens d'autant plus fort avec ce bagage supplémentaire. J'ai l'impression d'avoir franchi un nouveau palier de détachement. Et cette évolution dans le rapport à moi même ça vaut toute la teu-cha du monde (enfin presque :D). Chouette souvenir et chouette expérience donc oui, tu as bien raison ;) Plus qu'à recommencer très vite ! Voilà. Ca fait un peu post de journal mais j'avais envie de partager ça :cool: |
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