[tinoboy]

Envoyé par RateauBoy

Hello, pas vraiment un SOS, juste qu'avec grand recul de mes dernières années je me rend compte que si j'accumulai les réussites chez la gente féminine, ainsi j'avais un meilleur bien-être et je reussisai tout à côté bien plus que la normale / habituellement.

Tandis que si admettons j'avais un " OI " et qu'il s'avérer que par exemple celle-ci refuser un date, j'étais beaucoup moins productive, moins bon, moins bien .. Dans tout les autres domaines, j'echouer.

Pour résumer clairement mes réussites ou echecs avec la gente féminine à toujours impacter énormément le reste de ma vie.

J'ai fait des choses que je qualifierai d'extraordinaire lorsque je sentais être complètement attirant.

Puis y'a des moments comme ces temps-ci ou je me suis isoler dans un village loin de tout mes contact et où niveau Féminin c'est presque un néant total, ainsi j'ai l'impression de tout merder à côté.

Je dois vivre 3 mois dans ce village donc j'aimerai rapidement trouver une solution.

Suis-je le seul à être autant impacter ?

Honnêtement je suis dans un stade où je pourrai dire à une fille, " Soit love complètement de moi, c'est simple en échange je vais tout réussir, te faire partager ça et au mieux te rendre heureuse. "

C'est étrange, ça peut sembler malsain mais ça résume la chose.

De ce faite au jour d'aujourd'hui je me sens mal, j'ai du mal à relever la tête de l'eau en me disant qu'au final tout ce que j'ai pu vivre avec certaine ou vais vivre avec certaine n'est qu'illusoire, Éphémère.

( Oui j'ai comme beaucoup le rêve d'un tour de monde, que je compte être sur le point de réaliser, hors clairement pour ça j'ai l'impression d'avoir le besoin d'un aider de psychologue pour résoudre mon actuel --' )

Bref, sois je trouve rapidement une solution, sois je chasse rapidement la femelle du village avec choix limité --'

( Non je n'ai absolument aucun moyen de déplacement. )

Bienvenue au club !

J'ai l'impression que c'est moi qui parle. Pareil, je suis coincé dans une putain de petite ville de 60 000 âmes, j'ai plus ou moins "sauté" toutes les nanas, .. Revers de la médaille ? Je suis catalogué comme le dragueur, aucune fille ne me fait confiance car je ne suis pas fiable, si elles veulent que du sexe elles viennent, mais pour du sérieux c'est une autre histoire.

J'ai 6 ans de psychothérapie analytique … J'y vois plus clair maintenant..


Il y a 2 sortes de confiance en soi.

-La confiance en soi inconditionnelle
-La confiance en soi conditionnelle

Tu enchaine les conquetes, tu as soif de femme pour comblé un manque affectif (certainement issue de l'enfance) . "Avoir" une femme a tes cotés, savoir que tu plaits boost ta confiance conditionnelle. Certe dans ces moments, tu as confiance en toi mais c'est du temporaire et ce n'est pas stable… J'irais meme comparer ça a une drogue, avec ses montées et ses descente…

Ce qu'il faut c'est travailler sa confiance en soi incontionnelle. C'est cette sensation que tu as au fond de toi, une foi en toi inébranlable, une foi rassurante .

Mais c'est une névrose typique des personnes qui ont manqué d'attention, d'amour . Ou qui ont été maltraité, battu, humilié…

Si tu veux parler en PV n'hésite pas. J'ai même un très bon livre a te conseiller ;-).

Courage l'ami.

[Chochem]

Gâteauboy,

Tu confonds avoir une motivation et un objectif grâce à quelqu'un avec le fait d'agir pour le regard/la considération de quelqu'un.

Le premier est très bien.
Le second est un souci car il crée du mal-être structurellement. Pas tout le temps certes mais de façon régulière.

Par ailleurs, te rends-tu compte que tes alternances de "je me sens mal, aidez-moi" puis "en fait c'est bon, c'est passé", c'est justement le souci?

Tu dis maintenant que ton bonheur n'est pas lié aux filles? Et bien relis ton premier message.
Et généralement, cette histoire de se sentir bien uniquement au travers du regard des autres, c'est certes très vrai avec les filles (parce que arriver à séduire représente pour la plupart d'entre nous un sujet particulièrement chargé affectivement pour l'image de nous-mêmes par rapport au reste de notre vie) mais on le retrouve - souvent avec moins de force quand même - dans d'autres dimensions de notre vie. En particulier avec la famille et notre patron. Parce nous nous rendons dépendant d'eux en leur attribuant une capacité particulière à juger de notre valeur.


Stoppe deux secondes la fuite en avant, accepte définitivement que tu as des choses à régler et apprends à les gérer pour devenir tout aussi définitivement quelqu'un de fort et surtout aussi heureux que possible.
Tu sembles avoir des putains de capacité pour t'investir dans tes projets.

Imagines toi comme une formule 1.
Tu seras plus performant sur la piste en ayant un moteur réglé comme une horloge (régularité) qu'en continuant à foncer pied au plancher mais en ayant des ratés moteur à chaque virage (alternance up and down)

[Oncle Barney]

On ne se base que sur ce que tu nous dis, de ton mal être. Si t'es heureux comme ça, alors ya pas à discuter.
Si vraiment ya un souci, alors on brise les tabous et on met les mains dans le cambouis.

[Au passage, et c'est pas contre toi, mais je déteste qu'on prenne mes propos pour des généralités alors que je m'évertue à prendre en considération chaque cas.]

Pour répondre au fait de voir un psy ou pas, c'est surtout votre façon de voir cette démarche comme pour les malades mentaux. Dans l'absolu, on pourrait TOUS y aller, sans exception.
LA différence, c'est comment on a a appris à vivre nos déséquilibres et si on se sent bien avec aujourd'hui.
Dès qu'il y a une alerte du genre le premier message de Rateauboy, il est légitime de se poser cette question.

Maintenant que c'est dit, réponds nous RateauBoy: est ce que tu as un réel souci avec ce que tu décris au début, ou est ce que c'est une réflexion qui t'es passé par là parce que t'avais un coup de mou à ce moment là? Est ce que ce que tu décris t'empêche de vivre ta vie et d'aller là où tu as envie d'aller?

Si c'est ok, peut être vaut il mieux en rester là et ne pas remuer quelque chose qui aura plus l'effet de te déstabiliser qu'autre chose...