[notrade]

Envoyé par Hanneman

2) La "no-seduction".
Une fois que ce BESOIN de plaire à disparu, c'est là où la culpabilité de ne pas plaire, de ne pas réussir à plaire ne nous assaille plus. Une étape supplémentaire dans la plénitude psychologique.
Paradoxalement, c'est maintenant que je n'ai plus besoin de plaire que je plais le plus. Je plais déjà à la personne la plus exigeante envers moi que je connaisse ; moi même. De ce fait, comment ne pourrais-je pas plaire aux autres ?

Dans les périodes de marrées basses et de doute, comment réagis-tu? que ressens-tu?

[Hanneman]

Envoyé par notrade

Dans les périodes de marrées basses et de doute, comment réagis-tu? que ressens-tu?

Tu cites la partie sur la "No seduction".
Je ne comprends pas le rapport avec ta question du coup.

Ta question est elle en rapport avec la séduction ou en rapport avec n'importe quel autre aspect de ma vie ?

[notrade]

Envoyé par Hanneman

Tu cites la partie sur la "No seduction".
Je ne comprends pas le rapport avec ta question du coup.

Ta question est elle en rapport avec la séduction ou en rapport avec n'importe quel autre aspect de ma vie ?

Les deux, si tu te plais toujours à toi-même, ça semble être dit sur un ton général, ça veut dire que même dans les périodes de bas, tu n'es pas tenté de voir le verre à moitié (ou à 0,01%) vide mais toujours la partie pleine entre autres?

En séduction par exemple qu'est-ce qui nourrit tes doutes dans ces moments-là si l'acceptation de toi est stable? (je pars évidemment du principe que même toi n'échappe pas à ces variations de marée )

[Fin Limier]

J'ai cru à un troll mais on était pas le 1er avril.

[Hanneman]

Envoyé par notrade

Les deux, si tu te plais toujours à toi-même, ça semble être dit sur un ton général, ça veut dire que même dans les périodes de bas, tu n'es pas tenté de voir le verre à moitié (ou à 0,01%) vide mais toujours la partie pleine entre autres?

En séduction par exemple qu'est-ce qui nourrit tes doutes dans ces moments-là si l'acceptation de toi est stable? (je pars évidemment du principe que même toi n'échappe pas à ces variations de marée )

Le fait de se plaire ne fait pas que les périodes difficiles, sont moins difficiles. Ca n'est pas lié. En tout cas pas chez moi.
En période difficile, j'encaisse comme tout le monde, je suis dans le mal et je me plains... mais je fais de mon mieux pour revenir à un état stable par la suite.

Ca n'a aucun impact profond sur ma capacité à plaire/séduire.
Dernièrement, j'ai passé une période difficile, j'ai pris du poids et quelques rides si on peut dire. Je le vis bien
je me suis remis au sport et ma détermination s'occupe de faire s'illuminer mon visage.

Et puis de toutes façons, pratiquant la "no-seduction" active, c'est à dire en arrêtant d'employer cette capacité pour essayer de "closer" par réflexe chaque fille que je rencontre, les questionnements ont beaucoup moins d'emprise sur moi.

[iArcadia]

Yo Hanneman !

Tu as fait une rétrospective intéressante, mais il y a un point que j'aimerai que tu explicites un peu "mieux", ou plutôt disons avec d'autres mots : celui de "no-seduction".

Tu fais une légère phrase pour l'expliquer :

c'est à dire en arrêtant d'employer cette capacité pour essayer de "closer" par réflexe chaque fille que je rencontre

Cependant, le concept que tu associes à ce terme de no-séduction reste assez flou pour moi !

[8fi]

iArcadia :

Envoyé par Hanneman

2) La "no-seduction".
Une fois que ce BESOIN de plaire à disparu, c'est là où la culpabilité de ne pas plaire, de ne pas réussir à plaire ne nous assaille plus. Une étape supplémentaire dans la plénitude psychologique.
Paradoxalement, c'est maintenant que je n'ai plus besoin de plaire que je plais le plus. Je plais déjà à la personne la plus exigeante envers moi que je connaisse ; moi même. De ce fait, comment ne pourrais-je pas plaire aux autres ?

Aime-toi le ciel t'aimera.
Claude Roy

[Hanneman]

Envoyé par iArcadia

Yo Hanneman !

Tu as fait une rétrospective intéressante, mais il y a un point que j'aimerai que tu explicites un peu "mieux", ou plutôt disons avec d'autres mots : celui de "no-seduction".

Tu fais une légère phrase pour l'expliquer :

Cependant, le concept que tu associes à ce terme de no-séduction reste assez flou pour moi !

Je dirais que c'est un concept qui vient s'intégrer une fois que tu sais déjà séduire.
Ce qui signifie que tu es passé par la phase d'expérimentation des interactions sociales avec ton propre style.
Tu as intégré ton style, il te convient, tu es en accord avec toi même, les automatismes sont en place.

Tu ne ressens plus le besoin de plaire car tu n'as plus le besoin de TE prouver que tu peux plaire.
Ta valeur te convient et est satisfaisante pour TOI. Ce qui ne signifie pas que tu ne voudras ou pourras pas l'augmenter à l'avenir.

Tu deviens "Natural".
Tu n'as plus besoin de subterfuges pour convaincre que tu peux plaire, utilisant tes ressources et capacités à bon escient quand l'opportunité te convient et non plus quand elle se présente.
La seule barrière à franchir est celle de l'abordage, comme dans toute prise de contact. Pour le reste, ta confiance, ta valeur et ton énergie peuvent s'exprimer librement, montrant de manière passive ta capacité à plaire et à réussir de manière générale.

Comme ce que jalousent les hommes vis à vis des filles ; tu seras présélectionné, sans pour autant avoir à en faire plus que de mesure.

[phantom_green]

C'est intéressant ce concept, et je rejoins en grande partie l'avis d'Hanneman sur le sujet du "natural".
Après, le terme "no-séduction" est en effet un peu déconcertant, surtout pour ceux qui ont déjà du mal à maitriser les basiques de la séduction. Pour moi il faut pas mal d'expérience et aussi s'être pris potentiellement pas mal de fails pour en arriver là.

Le terme "no seduction" en lui-même évoquerait en quelque sorte l'anti-matière de la séduction, voire peut-être même la volonté affichée de ne pas séduire. Ce qui n'est évidemment pas le cas.

Donc dans la définition, pour l'imager, je verrais ce concept comme celui d'un "badass Bouddha" : ou comment devenir ultra-sexy aux yeux de beaucoup de femmes en ne cherchant aucune validation de leur part.

['Albert']

Salut !
Bon le déterrage me fais envisager une question :
avec tout le recul que tu as, les conseils ici en 2011 proposés, ça te parait pertinent aujourd'hui ?
Cela t'as servi pour découvrir que tu avais juste un problème de confiance en toi ?
Merci