Je connais ces notions, la
redpill je l'ai parcourue dans tous les sens, c'est pas pour autant que je les utilise.
Arrête d'utiliser ces termes tous pétés et de ne voir le monde que par ces seuls prismes. Dans ton cas précis, tant que tu le fais, tu te places encore sous le joug mental de la
redpill qui t'incite à considérer la femme (au sens large) comme un ennemi.
Ce faisant tu te fermes tout une part potentielle du réel (relations saines avec des femmes non-chtarbées), et tu pars avec un
mindset de merde pour les approcher.
Conceptuellement parlant, tu t'imposes dès le départ une contrainte, une première détermination, ici délétère (celle d'entretenir un état d'esprit suspicieux voire belliqueux à l'égard des femmes plutôt que d'être dans l'ouverture et l'acceptation vis-à -vis de ce qui vient), tu n'es donc pas pleinement libre pour être au meilleur de ton efficacité en abordage.
T'es donc 3 fois perdant :
- en termes pratiques du fait de ce que je viens de dire
- sur le plan principiel puisque rien ne justifie ce ressentiment dans l'absolu
- en termes d'inner game pour finir, parce que (pour l'instant) tu restes une tapette de redouter que ta vie ne s'arrête si (par exemple) une femme devait te ghoster soudainement.
Parce qu'effectivement il n'y a pas à en vouloir aux femmes pour leur hypergamie, quelque soit son degré d'expression chez telle ou telle femme particulière.
Tu leur en veux parce que t'as pas touché un abricot pendant tout ce temps. Maintenant sors de ton petit bocal et considère la
big picture.
L'hypergamie c'est ce qui incite les hommes à s'améliorer dans la compétition sexuelle, du moins sur le plan matériel (car après tout ce mécanisme peut tout à fait pousser à un utilitarisme visant à l'accumulation effrénée de ressources au mépris de tout principe supérieur tel qu'on le constate à l'heure actuelle).
Sans cette carotte au bout du bâton, si les hommes pouvaient avoir accès aux femmes en claquant des doigts, on resterait dans notre canapé à bouffer des Chocapic comme des gros porcs toute la journée.
Tu conviens maintenant, j'espère, que sans cette force méliorative à l'échelle de l'espèce, ça serait vite la merde, du moins encore davantage qu'actuellement.