Salut Péitho,
Merci pour ta réponse.
Je réponds un peu tardivement du fait d’une semaine qui a été bien chargée,
Lors des quelques rdv que j’ai eus avec des femmes depuis l’été dernier, les conversations étaient orientées sur les centres d’intérêts réciproques (l’occasion donc de parler voyage, rando par ex., pour ma part). Il est arrivé à deux reprises qu’on me questionne sur mes projets en matière de vie de famille (« t’aimerais avoir des enfants ? », etc), y compris quand j’avais menti sur mon âge (j’avais prétendu avoir 28 ans, alors que j’en ai 34 => mensonge qui passe crème, car tout le monde au boulot ou autre pense que j’ai « un peu moins de 30 ans » si je n’annonce pas mon âge). Ce qui me gênais tout de même dans le sens où la paternité est le cadet de mes soucis.
Autant faire que se peut, j’ai tenté de « mettre du fun » dans la conversation (taquineries verbales, etc), comme je le fais au moment d’aborder une femme pour la première fois.
Enfin, mon plus gros soucis réside dans la capacité à être tactile, et donc à sexualiser. Sois je ne perçois pas les ouvertures qu’il peut y avoir, soit je n’ose pas y aller.
Quand je compare le game à une forme d’art de « baratiner », je ne considère pas cela comme incohérent dans le sens où j’assimile le premier contact à l’action d’un vendeur qui devrait placer au mieux son produit afin que la personne démarchée soit convaincue de devoir repartir avec. Il faut bien présenter à tous les niveaux (apparence, démarche, posture, verbe, rassurer, divertir …), quitte à enjoliver plus ou moins largement pur obtenir ce que l’on souhaite (c’est en tout cas comme cela que je fais).
Pour ce qui est du physique des femmes, les exemples présentés plus haut (ester expositio …) seraient plutôt du 9 pour moi, donc peut-être que mes 7/8 seraient plutôt des 6 pour d’autres forumeurs qui se montraient dubitatifs
.
Concernant la pudeur, j’ai toujours eu beaucoup de mal à me « lâcher » en société au sujet des questions intimes, et les belles femmes m’intimidaient quand j’étais gamin/adolescent. Et comme expliqué plus haut, j’éprouve toujours une forme de gêne quand il faut se montrer tactile.
Quant à la question de la libido, j’étais plus actif niveau masturbation quand j’étais plus jeune (ado et jusqu’au début de vingtaine), mais je n’ai effectivement jamais été « à cran » si je ne m’y adonnais pas.
Par ailleurs, n’ayant plus eu de relation sexuelle depuis 9 ans (dernière copine quand j’avais 23/25 ans), ne plus pratiquer doit bien contribuer à faire diminuer le désir.
Enfin, pour ce qui est du sport, j’avais repris la course à pied/marche rapide en 2018, de façon intensive, y ajoutant du vélo par la suite, et tombant jusque l’an passé à 64kg pour 1,78m (donc très sec). Les sports d’endurance à haute dose pourraient contribuer à diminuer la libido (cf cet article du Figaro, qui reste assez mesuré cela dit :
Trop de sport nuit a la libido).
Je me suis mis à la muscu depuis 6 mois (3 séances/semaine), sans viser une grosse prise de masse, mais avec l’objectif d’être mieux taillé et d’avoir un profil « musclé sec ». Niveau pondéral, je suis ainsi remonté à 66,5kg.
Mais en tous les cas, je n’ai pas senti d’impact significatif au niveau de la libido.