[JacquesMesrines]

Bonjour,

Je me suis présenté il y a 3 ans de cela. Mais je pense que c'était une présentation de façade. Une présentation faite sur le tas, après une rupture où j'essayais de me convaincre que j'étais fort et viril, même si en effet je pratique les disciplines que j'avais listées (sports de combat, armes à feu etc..).

J'aimerais raconter un peu mon histoire, car je ne me suis jamais vraiment exprimé sur ce site même si je suis ce site depuis l'âge de 15 ans et que j'en ai 28 ajd.

J'aimerais raconter mon histoire car hier je viens de me faire quitter de nouveau.

Il me faut repartir de 0 encore une fois, mais cette fois j'aimerais ne pas tout garder pour moi.

Je n'ai pas de couple à sauver à tout prix, je ne veux pas savoir comment faire pour séduire à tout prix telle femme.

Je veux savoir comment allier protection de soi, amour propre, "fierté" et le fait de poser ses limites avec la peine émotionnelle qui s'ensuit lorsqu'on nous quitte pour cela.

Je m'explique.

J'ai connu un peu moins de 30 femmes depuis mes 18 ans.

La plupart c'était des relations éphémères, mais toujours basées sur la séduction, le respect et la confiance, ce qu'on appelle sexfriend parfois.

Je n'ai connu que deux femmes avec lesquelles j'ai ressenti une connexion et avec lesquelles je me serais vu continuer toute ma vie.

Le problème est là, c'est que je n'arrive pas à me défaire de mon modèle culturel de femme pour la vie. J'ai donc une énorme peur de l'abandon et je dois la dépasser mais je ne sais pas comment.

Avec la première femme, R., ça a duré un an et demi. J'étais jeune, j'avais 22 ans quand on s'est connu et elle en avait 20. J'étais un étudiant. J'ai réussi mes études, je n'étais pas vraiment trop performant ou brillant mais j'étais un glandu sans perspective et sans buts professionnels. J'étais encore un ado dans un corps d'adulte. R. m'a fait la misère. "tu n'as aucun but dans la vie, tu fous rien, tu sais pas où tu vas je ne me sens pas en sécurité avec toi, t'es pas un vrai homme.". Du coup, après un an et demi elle m'a quitté. Sauf que j'avais aussi des qualités. J'ai toujours distribué énormément d'amour, sans condition, autour de moi. Elle aimait bcp ça car elle avait l'impression que je ne la quitterai jamais. Elle me répondait que ce serait pareil de son côté, ce qui n'a pas été le cas.

J'ai donc souffert de sa perte, et honnêtement, aujourd'hui je la remercie de tout mon coeur car même si j'ai de nature ce défaut d'être paresseux, c'est devenu qqch que je déteste de tout mon être chez moi et j'ai tout fait pour changer cela. Je me remets toujours en question et essaie d'évoluer du mieux possible. A l'époque je ne foutais rien car je vivais chez mes parents et n'avais pas besoin de faire grand chose si ce n'était réussir mes examens. Elle m'a poussé à dépasser cela.

3 jours après la rupture avec R. , elle a chopé quelqu'un d'autre. ça m'a détruit car c'était avec l'homme qu'elle décrivait, celui que je n'étais pas.

De manière générale, c'était une relation toxique même si j'ai pris le bon de ses remarques à mon égard. Elle me faisait complexer sur ma "petite taille". Le fameux " tous mes ex faisaient au moins 1m85". J'en fais 1m77. Et oui, j'ai de petites mains.

Et on s'est remis ensemble. ça a duré encore une année et demi jusqu'en décembre 2020. elle m'a quitté pour les mêmes raisons. Je vais dans tous les sens, mais ce n'est qu'à ce moment là que j'ai commencé à changer en prenant en compte ses remarques qui étaient, pour certains d'entre elles, véritablement pour mon bien.

J'ai donc fait bcp de sport, fini mes études avec de bonnes notes, lancé ma carrière post universitaire.

Entre deux, R. a commencé à sortir avec un type. C'était la fin du monde pour moi. J'en ai été malade 2 jours avec vomissements et perte de kg.

C'est ça mon problème. Je veux apprendre à ne plus être aussi mal en cas de rupture ou "perte" de qlqn que j'aime. Je ne peux pas contrôler la fin d'une relation si quelqu'un ne veut plus continuer, et cette personne a le droit de partir. Mais comment ne plus s'en rendre malade ? Comment font certaines personnes pour avoir la maturité émotionnelle nécessaire pour simplement se dire "ok je l'aime, mais sur le long terme ça ne marchera pas entre nous, alors tant pis on doit arrêter".

Je m'explique. C'est D., ma deuxième copine avec qui ça s'est terminé hier qui est à l'origine de ces réflexions. La rupture avec R. a été digérée pcq ça s'est bien terminé comme je l'expliquerai plus tard.

D. est ma collègue de travail. C'est un 9 au minimum. Pour faire court, c'était une bombe à retardement à cause d'un viol qu'elle a vécu et dont j'ai appris l'existence hier. Elle a tellement d'emmerdes dans sa vie au niveau parents, santés, traumatismes, qu'il faudrait un topic entier rien que pour elle. Dans cette merde j'essayais d'être son épaule.

Elle a énormément veillé sur moi, c'est grâce à elle si j'ai ce travail et c'est grâce à elle si j'ai été protégé d'un connard au boulot qui occasionne des cas de burn-out à la pelle.

Son père l'a abandonné. entre autres merdes.

Bref, du coup je me suis mis avec elle et je lui ai fait confiance pcq elle m'a dit, lorsqu'on parlait au début " Moi, tout ce qu'il me faut c'est que tu sois présent pour toujours. J'ai besoin de rien d'autre, ni de force, de virilité, de succès, d'argent".

Et j'y ai cru de toutes mes forces au vu de son passif. je me suis dit "elles cherchent toutes l'impossible pcq elles ont tout eu, mais elle cherche qqch de simple pcq même ça elle ne l'a pas eu". ça m'a énormément touché car j'ai toujours eu cette pression d'être un homme un vrai. Je n'ai pas eu d'exemple de mon côté non plus alors j'avais du retard. Je n'avais pas l'intention de cesser la poursuite de cette quête pour autant, mais je pouvais enfin le faire sans avoir la pression du résultat. Je me disais, elle ne me quittera pas pcq je fais 1m77 et pcq elle en fait 1m74 et pcq je suis pas toujours sûr où je vais dans la vie.

Et voilà, il y a 3 jours D. m'a dit qu'elle ne croyait pas en notre réussite sur le long terme, on aurait des valeurs différentes sur certaines questions (j'aime pas les beuveries et les fêtes jusqu'à 5h du matin et elle oui, je n'aimais pas parfois quand elle s'habillait vraiment bcp trop décolleté même si j'étais correcte dans mes "limites"). ON N'A JAMAIS EU DE DISPUTES SUR AUCUN SUJET. On s'est toujours parfaitement entendu. Elle m'a dit ce jour-là qu'il ne fallait pas qu'elle change pour qlqn et qu'elle n'était absolument personne pour me faire changer mes valeurs pour elle, car bien sûr j'ai paniqué que tout allait s'arrêter en un coup et je me suis empressé de dire que les remarques que j'ai pu lui dire n'étaient pas du tout importantes. En fait, oui j'aurais préféré que... Mais ça n'aurait jamais été un motif de rupture pour moi si elle avait continué à faire des beuveries ou à s'habiller court.

Mais pour elle nos valeurs différaient. Elle se voyait par exemple faire des beuveries avec nos hypothétiques enfants de 16 ans et sortir avec eux. Je trouvais ça inadmissible de les encourager dans ce sens aussi jeunes par exemple. Elle a eu ce modèle avec sa mère, qui était une femme battue. Elles ne se parlent plus car elle ne l'a pas protégé par la suite avec son beau-père, qui lui a fait subir le viol quand elle était mineure. Elle a aussi été virée de la maison.

Bref, un bordel pas possible. Et elle ne m'avait pas dit tout ça. elle a tout gardé, et je pense que les remarques je lui ai faites ont eu l'effet de trigger. Le fait qu'elle s'habille parfois de manière légère (que je ne considérais pas comme un crime en soi !) serait en fait une manière d'affirmer qu'elle a la maitrise de son corps et j'empiétais dans ça.

et l'histoire débile des beuveries, elle a été touchée par mes remarques pcq ce sont les seuls souvenirs "heureux" qu'elle a eu avec sa mère.

Et même si je me suis sincèrement excusé, et que j'ai promis de changer ma vision par rapport à tout cela, elle a été trop blessée et ne croyais plus en nous mais voulait quand même essayer.

Donc pendant quelques jours j'étais comme une fillette à tout le temps essayer de chercher des signes comme quoi elle m'aimait comme avant. C'était fake. Elle essayait mais c'était cassé.

Donc j'ai pris les choses en mains parce que je n'aurais pas pu endurer cette situation, en plus au boulot, pendant 6 mois pour au final me faire tromper ou me faire quitter. J'ai abregé les souffrances et l'ai poussée à me prouver qu'elle croyait en nous et en notre couple ou alors à arrêter.

Et mtn je me sens terriblement mal. J'avais besoin de fixer ces limites. Mais je lui ai fait mal pcq je pense qu'elle ressent quand même qqch pour moi et surtout qu'elle traverse d'autres problèmes en ce moment.

Je me sens mal pcq j'ai mal géré cette histoire. J'ai pas réussi à être une épaule pour elle et l'aider à s'en sortir. J'ai pas été à la hauteur. Et je ne peux pas m'empêcher de partager ses douleurs à cause de ses problèmes comme si c'étaient les miens. Je pense pas à la reconquérir pcq j'ai compris que je dois la laisser tranquille et que c'est pour son bien que je ne rajoute pas d'autres soucis au tableau, mais ses problèmes me hantent.


Voilà, je ne sais pas trop comment démêler tout ça. Je n'ai pas été structuré pcq je ne voulais pas enlever la spontanéité de mes pensées.

[Mr. Kong]

Hello,

Bon ça a l’air d’être davantage un post cathartique qu’une demande de réponses, mais juste pour dire, je ne vois pas vraiment de responsabilité de ta part dans tes histoires. C’était des profils de meufs pas évidents à gérer, de base.

T’es dans le mal et c’est compréhensible mais inutile de t’accabler, ou de chercher ta culpabilité…

Free hug.

[Ohyeah]

J'étais encore un ado dans un corps d'adulte. R. m'a fait la misère. "tu n'as aucun but dans la vie, tu fous rien, tu sais pas où tu vas je ne me sens pas en sécurité avec toi, t'es pas un vrai homme.".

De manière générale, c'était une relation toxique même si j'ai pris le bon de ses remarques à mon égard. Elle me faisait complexer sur ma "petite taille". Le fameux " tous mes ex faisaient au moins 1m85". J'en fais 1m77. Et oui, j'ai de petites mains.

Mais pour elle nos valeurs différaient. Elle se voyait par exemple faire des beuveries avec nos hypothétiques enfants de 16 ans et sortir avec eux. Je trouvais ça inadmissible de les encourager dans ce sens aussi jeunes par exemple. Elle a eu ce modèle avec sa mère, qui était une femme battue. Elles ne se parlent plus car elle ne l'a pas protégé par la suite avec son beau-père, qui lui a fait subir le viol quand elle était mineure. Elle a aussi été virée de la maison.

Bref, un bordel pas possible. Et elle ne m'avait pas dit tout ça. elle a tout gardé, et je pense que les remarques je lui ai faites ont eu l'effet de trigger. Le fait qu'elle s'habille parfois de manière légère (que je ne considérais pas comme un crime en soi !) serait en fait une manière d'affirmer qu'elle a la maitrise de son corps et j'empiétais dans ça.

et l'histoire débile des beuveries, elle a été touchée par mes remarques pcq ce sont les seuls souvenirs "heureux" qu'elle a eu avec sa mère.

Il est plus aisé de cultiver ses légumes dans un sol fertile.
André Le Nôtre ne saurait faire pousser un buisson en plein désert.

[JacquesMesrines]

Envoyé par Mr. Kong

Hello,

Bon ça a l’air d’être davantage un post cathartique qu’une demande de réponses, mais juste pour dire, je ne vois pas vraiment de responsabilité de ta part dans tes histoires. C’était des profils de meufs pas évidents à gérer, de base.

T’es dans le mal et c’est compréhensible mais inutile de t’accabler, ou de chercher ta culpabilité…

Free hug.

Bonjour Mr. Kong,

Merci beaucoup pour ton message.

Certes elle a ce profil qui n'était pas évident. ça m'a explosé à la gueule d'autant plus qu'elle n'a pas communiqué, chose que je voyais. je la suppliais de communiquer.

En ce qui me concerne, je n'ai pas été capable de contrôler mon insécurité. C'est ça que je fais faux à chaque relation. Même si oui, les profils sont compliqués en l'espèce, il n'en reste pas moins que je n'arrive pas au moment venu à me sentir safe. Dès le moindre signe de doute de la part de Madame je panique et je recherche l'approbation et je réagis de manière précipitée, ce qui détériore la relation. Est-ce que je peux considérer, qu'un homme a le droit d'être rassuré dans ce genre de moments ? J'ai l'impression que j'ai réagi comme un enfant apeuré.

D'un autre côté, le fait qu'elle ne pouvait plus me dire qu'elle croyait en nous alors qu'on était dans une relation intime depuis plusieurs mois, ce n'était pas comme lui faire une crise pcq après un RDV elle est distante.

Ouais, je crois que t'as raison. Je n'ai pas vraiment de questions sur le fond. Mais je dois parler et sortir cela de mon corps. ça coule de source qu'elle ne m'a pas simplement dit "avoir des doutes", ce qui est normal dans toute relation. Là elle me disait qu'elle était sûre que ça ne marcherait jamais sur le long terme mais qu'elle ne voulait pas me quitter.

Elle m'a reprochée de l'avoir pressée à me rassurer. C'est ce qui a fait qu'elle a préféré arrêter.

[JacquesMesrines]

Envoyé par Mr. Kong

Hello,

Bon ça a l’air d’être davantage un post cathartique qu’une demande de réponses, mais juste pour dire, je ne vois pas vraiment de responsabilité de ta part dans tes histoires. C’était des profils de meufs pas évidents à gérer, de base.

T’es dans le mal et c’est compréhensible mais inutile de t’accabler, ou de chercher ta culpabilité…

Free hug.

Bonjour Mr. Kong,

Merci beaucoup pour ton message.

Certes elle a ce profil qui n'était pas évident. ça m'a explosé à la gueule d'autant plus qu'elle n'a pas communiqué, chose que je voyais. je la suppliais de communiquer.

En ce qui me concerne, je n'ai pas été capable de contrôler mon insécurité. C'est ça que je fais faux à chaque relation. Même si oui, les profils sont compliqués en l'espèce, il n'en reste pas moins que je n'arrive pas au moment venu à me sentir safe. Dès le moindre signe de doute de la part de Madame je panique et je recherche l'approbation et je réagis de manière précipitée, ce qui détériore la relation. Est-ce que je peux considérer, qu'un homme a le droit d'être rassuré dans ce genre de moments ? J'ai l'impression que j'ai réagi comme un enfant apeuré.

D'un autre côté, le fait qu'elle ne pouvait plus me dire qu'elle croyait en nous alors qu'on était dans une relation intime depuis plusieurs mois, ce n'était pas comme lui faire une crise pcq après un RDV elle est distante.

Ouais, je crois que t'as raison. Je n'ai pas vraiment de questions sur le fond. Mais je dois parler et sortir cela de mon corps. ça coule de source qu'elle ne m'a pas dit "avoir des doutes", ce qui est normal. Là elle me disait qu'elle était sûre que ça ne marcherait jamais sur le long terme mais qu'elle ne voulait pas me quitter.

Elle m'a reprochée de l'avoir pressée à me rassurer. C'est ce qui a fait qu'elle a préféré arrêter.

[Hanneman]

Je te suggère de lire les journaux des membres.

[JacquesMesrines]

Merci Hanneman,

Crois-moi je vais les lire.

[Mr. Kong]

Dès le moindre signe de doute de la part de Madame je panique et je recherche l'approbation et je réagis de manière précipitée, ce qui détériore la relation. Est-ce que je peux considérer, qu'un homme a le droit d'être rassuré dans ce genre de moments ? J'ai l'impression que j'ai réagi comme un enfant apeuré.

De manière général tout ce qui est « enfant » chez leur conjoint est un turn off majeur aux yeux des femmes…

Elle m'a reprochée de l'avoir pressée à me rassurer. C'est ce qui a fait qu'elle a préféré arrêter.

Cqfd…

[Hanneman]

Envoyé par JacquesMesrines

Merci Hanneman,

Crois-moi je vais les lire.

Tu trouveras une large gamme de problématiques personnelles en lien ou non avec les femmes qui pourront te donner des pistes pour te sortir de ton état.

Par contre, cela te demandera de faire un vrai travail de prise de note, de de prise de conscience et de travail pour mettre en place de nouveaux comportements mélioratifs.

Seuls les plus fainéants n’y parviennent pas.

[Ohyeah]

Est-ce que je peux considérer, qu'un homme a le droit d'être rassuré dans ce genre de moments ?

La seule chose qui doit te rassurer est d'être fier en observant/te remémorant tes succès personnels (quel que soit le domaine, professionnel, sportif, familial, relationnel, sentimental, sexuel, etc).

L'idéal serait que tes parents te disent "je t'aime" tous les soirs.
L'idéal serait que ta femme te dise que t'es l'homme le plus incroyable/sexy du monde et qu'elle te restera loyale à jamais.
L'idéal serait que ton patron ou tes employés te disent à quel point tu es un employé/chef formidable.
L'idéal serait que tes amis te disent à quel point tu es un ami exceptionnel.
L'idéal serait que tes enfants te disent à quel point tu es un père formidable.

La réalité est que cela n'arrive pas souvent, rarement voire jamais.

Devrons nous tous être en semi-dépression?
Evidemment que non.

Il suffit de placer un des 5 langages de l'amour tout en bas de la hiérarchie de valeur : les paroles valorisantes.
Voire en plus radical, les supprimer complètement de ton esprit/de tes besoins.

De fait au lieu d'attendre des paroles valorisantes de tes proches, tu te contenteras et apprécieras les actes/les succès que tu peux observer.

Si t'as pris 5kg de muscles, que tu as amélioré ton squat de 30kg, que ta copine te masse plus souvent les bras, tu es heureux, les actes sont là, les observations concrètes de tes succès sont là, nul besoin d'attendre qu'on te bombarde de compliments.

Si ta copine te regarde avec des yeux de biche, si elle te cuisine tes plats préférés, si elle organise son emploi du temps pour passer le plus de temps avec toi, si elle te fait des fellations régulières, tu es heureux, les actes sont là, les observations concrètes de tes succès sont là, nul besoin d'attendre qu'elle te bombarde de compliments ou te dise tous les jours qu'elle ne t'abandonnera pas.

Supposons, malgré tous ces succès, qu'un jour tu perdes toute ta musculature à cause d'un accident, ainsi va la vie, repose toi, rétablis toi, et reprends tout depuis le début, si tu as su prendre 10kg de muscles, tu sauras à nouveau les reprendre.

Supposons, malgré tous ces succès, qu'un jour ta copine décide de rompre avec toi, ainsi va la vie, repose toi, rétablis toi, et reprends tout depuis le début, si tu as su séduire une femme, tu sauras à nouveau séduire d'autres femmes.

De fait, tu ne vivras plus en attente qu'on te complimente/rassure par des mots.
Et les rares fois où on te complimentera, où on te dira qu'on t'aime, tu chériras ces mots très forts près de ton coeur.

Scénario win/win :
- pas de compliments => pas grave, tu es heureux et satisfait
- des compliments => excellent, tu es encore plus heureux et satisfait

De manière général tout ce qui est « enfant » chez leur conjoint est un turn off majeur aux yeux des femmes…

Ce sont les enfants et les femmes qui demandent des mots d'amour.

En fait t'as le choix :
1) soit tu quémandes des mots d'amour => tu les auras, mais tu perdras un peu de respect de la part des autres (plus tu quémandes, plus tu perdras du respect)
2) tu ne quémandes pas de mot d'amour => tu n'en auras pas, mais tu conserveras le respect que les autres ont de toi (moins tu quémandes, plus tu passes pour un badass)