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06/07/2022, 17h57
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Master
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Date d'inscription: janvier 2018
Messages: 2 369
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J'ai l'impression que tu mélanges beaucoup de choses,
Entre vision du passé, ce qui se passe à présent en occident et en Afrique par exemple, violences conjugales etc...
Personnellement je nidealise pas le passé et je suis pas pour la poule pondeuse qui reste à la maison faire la bamboche.
Mais je suis pas non plus pour l'eclatage total de tout ce qui a fait l'homme depuis des milliers d'années. La libération de la femme sous couvert de choses très sincères et humanistes sur le papier s'est transformée en un espèce de baroud d'honneur quasi innaretable ou l'on fonce droit vers le précipice.
Comme le disait beren. Entre va bosser pour payer ton droit de vivre, prend la pilule et vis ta vie de meuf libérée, contractes un prêt et soir endettée à vie, consome et ferme la, soit le laboratoire de toute les dérives de GPA et consort.
Societalement personne ne pousse une femme à rester avec un mari violent. D'ailleurs je trouve qu'il y a une sacrée évolution à ce niveau là.
"Tu est pas la première et tu seras pas la dernière" c'était les mots de ma grand mère à ma mère quand elle voulait annuler son mariage car son futur mari l'avait trompé et était une merde.
Comme quoi.
Je suis pas sur que le projet donné pour la femme soit bien reluisant.
Ni celui des pays sous développés.
On est passé d'un extrême à un autre et très peux d'endroits sur terre ont su fixer le juste millieu de manière pérenne.
Dernière modification par W0lfenSs ; 06/07/2022 à 18h00
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06/07/2022, 18h51
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Player
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Date d'inscription: dcembre 2018
Localisation: À Balbec, ou quelque part dans l'Italie de la Dolce Vita de Fellini.
Messages: 827
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Entièrement d'accord avec Mr. Kong.
Bon, ma réponse à Flower et KGD sera longue, comme d'habitude. Balise citation.
Je pourrais approfondir certains points au besoin.
Citation:
Flower :
Le problème, c'est qu'avec les temps, je suis de plus en plus convaincu que les femmes n'auraient jamais dû intégrer le marché du travail moderne (les “bullshit jobs” du tertiaire). Cela aurait évité, rien que d'un point de vue socio-économique : la saturation de certains corps de métier et le sous-effectif d'autres (qui se manifeste dès les études supérieures, voire même le lycée), le chômage, l'inflation, puis la paupérisation/baisse des salaires et du pouvoir d’achat, etc. Sans parler de tous les avantages familiaux, moraux, de stabilité civilisationnelle (on aurait évité le wokisme, a minima, par exemple).
Je sais que ce n'est pas dans l'ère du temps, que ce n'est pas glamour de formuler ce postulat. Mais nous devrions peut-être enfin ouvrir cette discussion, car nos sociétés occidentales arrivent clairement à une impasse, et la tendance ne fait qu’aller de mal en pis (et de plus en plus vite : non plus décennie après décennie, mais dorénavant année après année). Nous avons à présent un siècle de recul (et quelques poussières du XIXe siècle).
Asseyons-nous calmement et analysons la situation : ses origines, ses inclinations, ses éventualités, ses réussites, ses manquements. Faire une pause, juste une pause dans cette course effrénée au “progrès” pour se demander où nous en sommes.
L’élite gouvernante, bicéphale, n’a pas donné aux femmes l'accès au travail (“tripalium”, souffrance, instrument de torture… faut-il encore le rappeler) pour la simple beauté de leur cu… pardon, yeux ; par adhésion aux thèses féministes et égalitaristes. Mais plutôt par nécessité, par pur intérêt et dessein capitaliste, mondialiste, logique commerciale froide et implacable. L’équation au début du XXeS était alors, peu ou prou, ceci : les villes requièrent de plus en plus d’énergie, et deviennent des métropoles. Les ruraux quittent leurs campagnent ancestrales pour se concentrer en des zones urbaines centralisées, lieux de contrôle plus faciles pour asseoir l’autorité de l’élite. À ce titre, la République a bien tiré les enseignements des échecs de la Monarchie, qui ont par ailleurs entraîné sa chute durant la période révolutionnaire (et l’ont fragilisé tout au long de l’Ancien régime, de l’Antiquité au Moyen-âge, en passant par la Renaissance) : ces échecs, c’est la trop grande pluralité territoriale/géographique et culturelle, car les villages et les régions constituaient autant d’îlots de sédition potentiels, comme l’Histoire nous l’a toujours montré. Pour preuve : on en parle aujourd’hui avec les fameux “territoires perdues de la Républiques”, les “enclaves étrangères”, etc.
Je vous ai dit que l’élite gouvernante est bicéphale, je précise ici mon propos : elle est bourgeoise (pusiqu’elle a renversé l’ordre aristocrato-clérical), et se compose d’une caste de politiciens et d’une autre d’économistes (commerçants, industriels — depuis le XVeS et la traite transatlantique, avec une hégémonie de 1850 à 1970 environ —, puis financiers — depuis l’avènement boursier, banquier et des assurances). Si le premier versant trouve un avantage, la domination juridico-administratif (et même idéologique — cf. histoire de la publicité, du cinéma, et de l’Éducation nationale) évident à la création de blocs d’agglomération, le second y voit le moyen ultime de tirer le meilleur profit.
Revenons donc à notre sujet. Nous allons nous focaliser sur l’agenda économiste, puisqu’il est question d’argent et de carrière chez Flower et KGD, argument contre la procréation, ou du moins en faveur de son repoussement au plus tard possible. Et souvenons-nous, comme je l’ai dit quelques pages en arrières, que l’élite progressiste est eugéniste et anti-nataliste (car en réalité, elle veut tels Dieu ou la dame Nature, maîtriser la vie et l’humanité, afin de les façonner à son image : le parfait citoyen-consommateur, docile, servile et prolixe dans son labeur à enrichir l’élite).
Pour les économistes, donc, la ville est un biais d’enrichissement sans précédent. Des endroits où, contrairement à ce que prétend la doctrine libérale, et paradoxalement, les mécaniques concurrentielles, créatives/novatrices et indépendantistes s’annulent, et où règne a contrario l’hégémonie de groupes entreprenariaux (autrefois appelés corporations, puis conglomérats, et aujourd’hui multinationales). Dès lors, la logique est simple : fort peuplement > hausse la demande de consommation > création d'emplois afin de produire l’offre qui satisfera cette demande > hausse du capital des économistes. Dans ce contexte, la femme était le maillon manquant et parfait de la chaîne : capable d’effectuer plus de tâches (parfois simultanées) que l’homme moyen sur une période donnée, moins rebelle et d’un naturel plus soumis à l’autorité, moins chère — car cycle menstruel et maternité, donc jour de disponibilité/d’efficacité moindres au travail, alors moins payée —, moins inventive (donc concurentielle. Cf. espionnage industriel, création de concurrence, etc.). La femme, c’est aussi la plus sociable du foyer, capable d’assurer la promotion de son employeur. Elle vend du textile le matin, elle l’achète l’après-midi, et elle en parle à ses amies le week-end, lesquelles en parlerons à leur mari un soir, leur demandant de leur offrir ce nouveau vêtement à la mode, pour faire comme les collègues, pour être la plus belle, pour se sentir désirable. Et ainsi de suite. Avec la théorie du désir mimétique/triangulation, l’effet de masse et d’adhésion sociale (moutons de Panurge) : tout le monde finit par (croire) “vouloir” et acheter/acquérir/prendre/recevoir la même chose. Or c’est un cercle vicieux qui engendre une surchauffe du système, une effervescence, une fuite en avant nihiliste, un ouroboros. Plus l’on a, plus l’on souhaite consommer et, plus l’habitude s’installe, moins l’on réfléchit > achat compulsif. Car le désir est insondable, infini (cf. Freud et le Ça). C’est le règne de l’émotion, du sentiment, de l’instantané, de l’individu, de la névrose > autant de prétextes à consommer. Exemple : j’ai les dents de travers, je ne me sens pas beau = névoire : appareil dentaire (parfois contre l’avis médical). On s’invente des besoins inutiles, aberrants et abêtissants, pour ne surtout pas perdre la face aux yeux de la communauté sans laquelle, instinctivement et inconsciemment, on se sent plus vulnérable.
Mais cela n’a tenu que jusqu’aux années 90 (années folles, Trente Glorieuses). Depuis, l’on observe le lent délitement d’une machine prise dans une spirale infernale, devenue folle et qui s’enraille. L’effet hypnotisant s’évapore peu à peu. L’on se rend compte que l’on s’est fait manipulé, que tout cela n’était qu’une illusion, un mirage, un rêve éveillé halluciné doux-amère. Qu’en réalité, nous n’avions peut-être pas VRAIMENT besoin de tout cela. Trop tard, le mal est fait : la surconsommation a dépouillé les portefeuilles parce qu’elle a d’abord déréglé les esprits. KGD ou Flower veulent un meilleur poste au boulot, “faire carrière”, pour pouvoir accroître un mode de vie par essence délétère, consommer davantage. Elles pensant ainsi assurer la survie de leur future progéniture, alors qu’elles la condamnent de facto. Cette progéniture, en fin de course, se mangera la récession et l'inflation, la diminution des ressources naturelles, de multiples dettes en somme.
En réalité, un foyer moyen (un mari, une femme, deux enfants) survit aisément avec 1 500 euros par mois. Mais à cause de la spéculation (donc, par définition, de la fiction/suggestion/croyance pure et simple) : les quatre murs d’un appartement valent 50 euros le mètre carré, un smartphone vaut 1 200 euros alors que sa production n’en a coûté que 300, un panier de course pour la semaine vaut 250 alors que la famille se porterait tout aussi bien avec deux paquets de céréales pour quatre plutôt que 4 ou 5 — et que l’on paierait moins cher si l’on produisait les avocats en France plutôt qu’en Espagne ou en Amérique latine, contrairement à ce que l’industrie agro-alimentaire à voulu nous faire avaler —, que l’on est tout aussi heureux avec un jeu de société qu’avec une Playstation 4, que la virée de maman de shopping entre amies/collègues au centre commercial n’est pas forcément nécessaire, que les 40-50 euros (mine de rien, faites le compte la prochaine fois) dépensés par papa au bar entre potes ne le rendent pas moins insatisfait qu’un verre de vin par semaine.
Enfin, Flower, en réponse à ça : “- A 20/25 ans, (...) installé dans sa tête.”
Cf. mon message d’il y a quelques pages, notamment le point sur le triste phénomène de l’ “adulescence”.
En vérité, sauf situation exceptionnelle et sinistre (et encore, même au fin fond de la Somalie, la femme de 18 ans pauvre, orpheline et illetrée fait des gosses), nous sommes prêts à donner la vie dès 15-20, comme la nature nous a initialement programmés. 25-30 ans au plus tard. On se cherche simplement toujours plus d’excuses, parce que c’est plus facile de fuir ses responsabilités.
P.-S. : Et non, Flower, procréer avant 30-35 ans, ce n'est pas pour satisfaire la société. C'est essentiellement faire ce qui est juste, l'ordre naturel et sain des choses. Le meilleur pour la survie de l'espèce et, accessoirement, la tienne aussi (ta mémoire), à travers tes héritiers.
Il ne faut pas oublier que, à l’origine, le travail, l’organisation sociale et même la famille, ne sont que des prétextes pour protéger/assurer la survie de l’enfant et de la mère, donc l’espèce humaine. Le patriarcat pourrait en réalité, à rebours de la pensée woke, constituer un modèle comparable à la sécurité sociale, un paravent.
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« (...) Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron :
Modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée
Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée. »
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12/07/2022, 07h26
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Master
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Date d'inscription: janvier 2018
Messages: 1 719
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J'étais passé à côté de ce post
Cadeau !!
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23/07/2022, 17h18
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Banned
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Date d'inscription: mars 2022
Messages: 79
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Si les nanas demandent et recherchent de la valeur auprès des mecs , tu es en droit d'etre demandeur d'avoir une femme de valeur à tes côtés
Hors une femme qui aura connu beaucoup de partenaires rentrera probablement dans la catégorie "insatisfaite" et consommatrice , ainsi l'auteur tu pourras t'en rendre compte par toi même de son instabilité émotionnelle
Bref t'es en droit de vouloir d'une femme de qualité et non d'une fille
Rappel toi aussi que beaucoup de mecs feront beaucoup de concessions pour se mettre avec une nana ( sont passé de fille facile en fait partie ) car ils sont de faible valeur sur le marché et car ils préfèrent être avec une nana de basse qualité qu'être tout seul. Bref je pense que tu es suffisamment adulte pour savoir à quoi t'attendre , dans tous les cas dit toi que tu es gagnant car tu auras appris des choses en restant avec elle ou l'a laissant tomber
Dernière modification par Petitmaiscostaud ; 23/07/2022 à 17h20
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09/09/2022, 07h13
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Nouveau Membre
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Date d'inscription: aot 2022
Messages: 3
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Bonjour,
En couple depuis bientôt un an, tout se passe bien sauf un point : j'ai du mal à accepter le passé des filles (peur d'être comparé et jugé inférieur, peur qu'elles se fassent draguer et qu'elles cèdent même si elles sont en couple).
Autrement dit je pense que c'est toutes des p****
J'ai du mal à me dire que je peux faire confiance, qu'il y a des femmes pas trop consommatrices etc.
Vous avez une meilleure vision de la femme que moi ? Comment vous faites ? Comment croire qu'une femme puisse se dire qu'elle se pose sérieusement avec quelqu'un ?
Bien sûr le pre-requis c'est qu'elle se sente bien avec nous, qu'elle manque de rien, mais ça me parait pas évident surtout si elle a un passé à base d'expériences sexuelles "poussées".
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09/09/2022, 08h22
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Master
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Date d'inscription: septembre 2020
Localisation: Paris & Lille
Messages: 2 961
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Citation:
Envoyé par Grafenwalder
Bonjour
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Guten tag Grafenwalder,
Citation:
En couple depuis bientôt un an, tout se passe bien sauf un point : j'ai du mal à accepter le passé des filles (peur d'être comparé et jugé inférieur, peur qu'elles se fassent draguer et qu'elles cèdent même si elles sont en couple).
Autrement dit je pense que c'est toutes des p****
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Tu inclues donc ta mère et tes éventuelles soeurs/cousines/tantes/future(s) fille(s)/etc. dans ta vision merdique, bravo
En réalité tu sais quoi, il y a un peu de vrai dans ce que tu dis
Dans chaque femme, c'est bien connu, il y a la maman, maternelle, douce et auréolée, et la putain qui n'attend que de se faire soulever et tartiner de semence, notamment par les gars du fofo (il en faut pour tout le monde, y'a pas de raison)
Mais : et alors
De la même façon, dans chaque homme il y a le bâtisseur, le preux chevalier, mais aussi le bourreau sanguinaire assoiffé de sang ainsi que le gros minotaure en rut prêt à empaler tout ce qui bouge (le pendant masculin de la turbo-tchoin que j'évoquais au-dessus, à chaque yin son yang, il faut bien qu'on puisse assouvir nos pulsions d'animalité : on est même contents de pouvoir les tartiner, elles sont contentes aussi, tout le monde est content, c'est la maison du content).
Ca ne sont donc là que nos instincts naturels en réalité, il n'y a donc rien à dénigrer, rationnellement parlant je parle. Ponctuellement pour te déchaîner si tu veux, mais c'est inutile.
Bref, go (re)lire les articles suivants du Roi de la Jungle, tout (en gros) y est, ça serait inutile que je le paraphrase :
C'est la femme de ma vie (!!!)
Elle ne t'aime pas, et ne t'aimera jamais (OK titre un peu hard mais article quali)
Pourquoi le passé sexuel compte
Citation:
J'ai du mal à me dire que je peux faire confiance, qu'il y a des femmes pas trop consommatrices etc.
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Pourtant tu sais bien qu'il y en a. Les statistiques le prouvent objectivement. Ça se saurait si elles s'étaient toutes enfilé 50 chibres à 25 ans, tu penses pas ?
De la même façon qu'il y a des mecs qui baisent peu de femmes différentes (par nécessité, parce qu'ils ont trouvé la bonne tôt, etc.), il y a des femmes qui baisent peu d'hommes différents.
Citation:
Vous avez une meilleure vision de la femme que moi ? Comment vous faites ? Comment croire qu'une femme puisse se dire qu'elle se pose sérieusement avec quelqu'un ?
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Comment on fait, on réfléchit, et on se base sur ce que j'ai écrit ou mentionné au-dessus
En réalité elles ne sont jamais acquises, t'as pas le choix, tu devras toujours entretenir la flamme, même marié, etc.
Il faut rester le meilleur à ses yeux, et lui faire comprendre implicitement que tu as d'autres opportunités potentielles ailleurs, qu'elle comprenne en gros que le ressort du siège éjectable sur lequel elle est assise est savamment entretenu et régulièrement huilé, cf. articles sus-mentionnés.
Enfin, si un gigachad est passé avant toi, tu n'as d'autre choix que de l'
Citation:
Envoyé par Ohyeah
outgigachader
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Pour finir, si tu es en couple avec ta gow depuis 1 an, c'est que ça va, tu fais pas trop de la merde, donc arrête de stresser, continue ce que tu fais, et réajuste ce qui doit l'être grâce aux bails que je t'ai linkés.
Dernière modification par Chnathane ; 09/09/2022 à 08h58
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09/09/2022, 08h52
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Sage
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Date d'inscription: aot 2016
Messages: 8 779
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+1 chnathane
T'as du mal à accepter que ta nana peut être une pute?
Bah ta nana a de la même manière du mal à accepter que tu peux être un enragé sanguinaire
Vous êtes quittes
Au pire elles ont chevauché trop de bites
Nous au pire, on les trucide (coucou les gentils russes bons pères de famille en vacances en Ukraine)
C'est beaucoup plus gore
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When the sun goes down, the racks go up, the lights turn on and the freaks come out.
Dernière modification par Ohyeah ; 09/09/2022 à 08h55
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09/09/2022, 16h15
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Nouveau Membre
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Date d'inscription: aot 2022
Messages: 3
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Merci pour vos réponses, très intéressantes.
C'est juste que j'ai du mal à comprendre parfois comment une femme avec un passé comme ça peut vraiment aimer et surtout changer radicalement de style de vie.
Pourtant j'ai fait même pire et je suis serein concernant ma stabilité et ma fidélité !
Je regarde de temps en temps des vidéos youtube de drague de rue, comme ça par curiosité, et je vois plein d'exemples décourageants : des meufs en couple qui finissent par donner leur numéro au dragueur, des filles qui veulent rien mais qui finissent par accepter une invitation à diner à la maison, bref des exemples où on voit que la femme est aussi faible que l'homme si en face il y a quelqu'un qui sait toucher les points sensibles (et je parle pas du corps, enfin pas tout de suite ).
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09/09/2022, 16h22
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Sage
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Date d'inscription: aot 2016
Messages: 8 779
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Citation:
C'est juste que j'ai du mal à comprendre parfois comment une femme avec un passé comme ça peut vraiment aimer et surtout changer radicalement de style de vie.
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tout est possible
ya des toxicos qui se transforment en athlètes exceptionnels
ya des sdfs qui deviennent d'excellents businessmen
la probabilité est juste faible (voire rare selon la situation)
une femme avec un lourd passé sexuel prise individuellement peut se transformer en épouse exceptionnelle, fidèle et loyale
mais si tu prends un groupe de 1000 femmes avec un lourd passé sexuel, la probabilité que cela arrive sera bien plus faible que dans un groupe de 1000 femmes vierges/avec un bodycount faible
si un cancre au collège me demande s'il peut devenir ingénieur ou médecin, je lui dirais 100% oui, facile, s'il suit un protocole bien précis pour se sortir du merdier dans lequel il se trouve actuellement
si on me demande en général, les derniers de classe en 3ème auront quel type de futur? je dirais qu'ils auront en général tous un avenir de merde à emballer des cigarettes à l'usine, se casser le dos au chantier, retourner des burgers à mcdo ou finiront délinquants (c'est la tendance, 95% de chance que j'ai raison)
lis les articles postés par chnathane
tout est expliqué
on ne peut pas prédire l'avenir mais on peut étudier le passé/observer le présent, cela reste nos meilleurs outils pour prendre des décisions
donc c'est cohérent que tu sois suspicieux envers les femmes à haut bodycount
maintenant, tu ne peux rien y faire si ta nana décide de te tromper, elle le fera, et tu n'y verras que du feu
donc à quoi bon stresser
1) minimise les risques en choisissant une partenaire avec les qualités permettant d'optimiser sa fidélité/loyauté (ne vas pas te mettre en couple avec une stripteaseuse)
2) maximise toi même tes propres qualités permettant d'entretenir cette fidélité/loyauté chez ta copine/femme (sois un mec stylé qui pèse dans le game)
ensuite advienne que pourra
si elle te trompe, t'auras tout bien fait et tu n'auras aucun regret à avoir (une vierge peut tromper son copain, et un gigachad peut se faire tromper)
tu la dégages et tu recommences l'opération avec une nouvelle nana, ce sont les aléas de la vie, personne n'a 100% de réussite
mais si tu chies dans ton froc et que tu restes inactif/passif paralysé par la peur, tu auras à coup sûr 100% d'échec en ne tentant rien du tout
par contre si elle te trompe alors qu'aucun de ces critères n'a été validé
tu as soit choisi une partenaire avec plusieurs red flags (ta nana aime frotter son boule sur les mecs en boite)
et/ou
tu es un loser (tu pues de la gueule et t'es un soumis)
là ça sera ta faute et tu devras te remettre en question et corriger tout cela soit en apprenant à identifier les red flag plus rapidement (puis agir en conséquence, next) soit en devenant un meilleur homme
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When the sun goes down, the racks go up, the lights turn on and the freaks come out.
Dernière modification par Ohyeah ; 09/09/2022 à 16h40
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09/09/2022, 18h09
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Master
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Date d'inscription: septembre 2020
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Eh oui
Hypergamie mon pote
Faut être prêt à tout
Les femmes vont et viennent, un peu comme ces amas de feuilles mortes qui virevoltent dans le vent quand vient l'automne. Mé ke c bo. Ainsi va la vie.
Il y a 1 mois environ j'ai pris le num d'une meuf de +30 piges dans un parc, pendant une session, qui passait là avec ses gosses (je les avais pas vus) - jolie en plus.
Si on m'avait dit il y a encore quelques temps que je ferais des trucs de ce style, j'y aurais pas cru, j'ai quasi-rien eu besoin de faire, c'est ça le pire. Et encore, on parle d'un pauvre numéro là, certains vont bien plus loin, cf. Hanneman qui se tape une richou déjà maquée, si je me rappelle bien (et par exemple). Personne n'est à l'abri.
Bref, ça n'est rien d'autre qu'un immense " que le meilleur gagne " à ciel ouvert en vrai, et " le meilleur " ne veut pas nécessairement dire " le plus moral " aux yeux de femmes, ça se saurait. Les sargeurs dont tu parles en profitent, simplement.
Dernière modification par Chnathane ; 09/09/2022 à 18h30
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