[elpadre]

J'ai 37 ans .

J'ai eut 4 ou 5 LTR variant de 1 à 4 ans.
J'ai testé le "macho" grande gueule . C'est contre productif .

Quand tu t'énerves, au fond d'elles, elles sont contentes, elles savent qu'elles ont un ascendant psy sur toi. Et au final ça s'est toujours retourné contre moi .

Parce qu'en agissant ainsi tu n'a plus de cartouche pour après. L'idée est qu'elle n'ai jamais idée de comment tu pourrais réagir, qu'elle ne puisse pas anticiper ta réaction .

Quand tu gardes ton calme, ça les déstabilise , elles s'énervent et au final elles se sentent ridicules et te sente "fort".

Quand je dis réagir avec calme, ça veut dire que l'énergie que tu met a t'énerver, tu la détourne et l'utilise avec argument et une bonne dialectique.

Qu'elle se dise que la tu l'a mise en pièce . Sur le meme terrain. Parce que s'énerver sur une fille quand on est un homme c'est facile, sans panache et sans risque. En gros c'est lache.

Mais ça ne veut pas dire que les filles ne sont pas violente ! Nous hommes, sommes dans la violence physique et frontale . Elles, utilisent la violence triangulaire et psychologique .

Ce que vis ce pauvre garçon en est la preuve.

[Victor Newman]

Parce que s'énerver sur une fille quand on est un homme c'est facile, sans panache et sans risque. En gros c'est lache.

Nan là tu vas trop loin.

Perso j'ai 15 ans de LTR dans les pattes et des gosses. Espérer s'en sortir sans jamais taper du poing sur la table, c'est idéaliste.

Se la jouer bouddha au dessus de tout, c'est efficace dans pas mal de cas, mais c'est pas non plus équilibré si au final tu portes tout seul la relation.

Le mexican stand off a son intérêt. Faut juste être prêt à appuyer sur le bouton.
La jouer intelligement c'est bien. Mais tu peux pas espérer que ta meuf soit toujours raisonnable.
La meuf veut la jouer Kim jung ? Je serais Trump.

[elpadre]

Envoyé par Victor Newman

Nan là tu vas trop loin.

Perso j'ai 15 ans de LTR dans les pattes et des gosses. Espérer s'en sortir sans jamais taper du poing sur la table, c'est idéaliste.

Se la jouer bouddha au dessus de tout, c'est efficace dans pas mal de cas, mais c'est pas non plus équilibré si au final tu portes tout seul la relation.

Le mexican stand off a son intérêt. Faut juste être prêt à appuyer sur le bouton.
La jouer intelligement c'est bien. Mais tu peux pas espérer que ta meuf soit toujours raisonnable.
La meuf veut la jouer Kim jung ? Je serais Trump.

Voila c'est exactement ça ! Tu as tout résumé !

Est-ce-que Trump s'énerve et gueule comme un hystérique ? Nan . Il est ferme, catégorique, argumente. Et t'explique sans gueuler pourquoi faut pas jouer au malin. On à pas envie qu'il mette ses menaces à exécution .

Voila pourquoi Trump ou Poutine sont prit au sérieux quand il lèvent le ton et que Erdogan non.

[Chaud Dassin]

D'accord avec Elpadre.

Envoyé par Victor Newman

...Espérer s'en sortir sans jamais taper du poing sur la table, c'est idéaliste.

Se la jouer bouddha au dessus de tout, c'est efficace dans pas mal de cas, mais c'est pas non plus équilibré si au final tu portes tout seul la relation.

Pourquoi porter seul la relation? Il n'est pas question de ça. Simplement, de ne pas perdre son sang froid. Je comprends pas l'idée de sortir avec quelqu'un qui me ferait prendre des crises de colères pour des cas graves.
Si la meuf elle déconne, elle vire, pas besoin d'en arriver à s’énerver outre mesure, de se faire des nœuds au cerveau et de faire monter sa tension pour une conne.

Ce qui n’empêche pas parfois de remettre des pendules à l'heures dans un couple.

[Victor Newman]

Je suis d'accord avec toi.

Je me méfie juste du discours qui dirait que la colère est une faiblesse, un échec, synonyme d'oppression, de masculinité toxique ou autre connerie démesurée.

La colère fait partie du fonctionnement humain normal.
Ceux qui ne ressentent jamais de colère sont les vrais malades, ils ont renoncé à s'exprimer et prennent sur eux jusqu'à la seule conséquence logique : exploser en plein vol.


En dehors de ces réserves nous sommes d'accords que la colère obscurcit le jugement et fait faire des conneries.

Comme d'hab c'est une question d'équilibre et rien d'autre. Il s'agit de ne pas être extreme ni dans un sens ni dans l'autre.

[Chaud Dassin]

100 pour 100 d'accord.

Je me méfie juste du discours qui dirait que la colère est une faiblesse, un échec, synonyme d'oppression, de masculinité toxique ou autre connerie démesurée.

C'est clair, je connais des types hyper affables qui s’écrasent devant leur copines parce-que ils pensent exactement ça. Et c'est pas bon, et fini rarement bien d'ailleurs.

[elpadre]

Envoyé par Victor Newman

Je suis d'accord avec toi.

Je me méfie juste du discours qui dirait que la colère est une faiblesse, un échec, synonyme d'oppression, de masculinité toxique ou autre connerie démesurée.

La colère fait partie du fonctionnement humain normal.
Ceux qui ne ressentent jamais de colère sont les vrais malades, ils ont renoncé à s'exprimer et prennent sur eux jusqu'à la seule conséquence logique : exploser en plein vol.


En dehors de ces réserves nous sommes d'accords que la colère obscurcit le jugement et fait faire des conneries.

Comme d'hab c'est une question d'équilibre et rien d'autre. Il s'agit de ne pas être extreme ni dans un sens ni dans l'autre.

Quand quelque chose ne va pas il faut le dire, ni plus ni moins.

J'en déduis qu'au final nous sommes tous d'accord : Il faut savoir taper du poing sur la table, sans gueuler, sans menacer physiquement et sans avoir la bave qui sort.

Dire calmement avec fermeté " ok ma grande, tu veux jouer à ça ?! alors maintenant ça va se passer comme ça".

[Alphalex]

Envoyé par elpadre

Quand quelque chose ne va pas il faut le dire, ni plus ni moins.

J'en déduis qu'au final nous sommes tous d'accord : Il faut savoir taper du poing sur la table, sans gueuler, sans menacer physiquement et sans avoir la bave qui sort.

Dire calmement avec fermeté " ok ma grande, tu veux jouer à ça ?! alors maintenant ça va se passer comme ça".

En effet, il y a toujours un delta important entre la colère et parler avec fermeté et conviction. Ce delta s'appelle le contrôle

[AlexandreDeMacedoine]

J'ai peut-être une vision divergente de la pensée classique mais je pense pour ma part que si une femme veut aller voir ailleurs, le plus tôt sera le mieux histoire de ne pas faire perdre de temps à chacun. Chercher à contrôler un débordement par une forme quelconque de contrôle c'est juste mettre la poussière sous le tapis en attendant qu'elle ressorte.
Ceci étant dit, tu as tout à fait le droit de demander des informations et de supposer.
La faiblesse n'est pas la curiosité ou la colère mais la jalousie.

[Speed Racer]

Hello à tous,

Merci tout d'abbord de vos réponses. J'ai effectivement attendu qu'elle revienne car le temps de poster, elle était déjà là et on a discuté (comprendre ici disputer). Elle a passé quelques jours chez ses parents puis elle est revenue et je lui ai expliqué calmement mais avec assertivité ce qui m'a déplu, le manque de respect que j'ai senti et que son attitude ne me plaisait pas. Je n'ai par contre par parlé de la source du problème par contre, par peur qu'avoué ceci ne le crée véritablement.

Donc la source du problème n'est pas réglé. Je crois encore qu'elle reçoit une certaine attention de ce gars et qu'elle y est un peu sensible. Ca doit être flateur pour elle jet comme elle me ressemble aussi beaucoup, à chercher l'attention, le compliment chez les autres personnes, je peux facilement comprendre.

Maintenant, j'ai beau comprendre la situation, je ne peux que prendre la fuite par rapport à ce problème et faire semblant que cela ne m'affecte pas car je n'ai aucune façon de le gérer (d'autant que j'ai tendance à faire croire aux que les choses ne m'affectent pas du tout, même à moi même).

Concernant mon message, je crois que j'ai vraiment dramatisé la chose car elle n'avait rien fait de mal. Mis à part ce petit red flag, l'attention qu'elle reçoit de ce gars, elle n'a absolument rien fait de mal, du moins que je sache et j'ai pas vraiment de raisons de douter d'elle au final. On peut donc dire que j'avais peur. Et comme bons nombres d'hommes sur terre, quand on a peur, on refoule et on devient vite aggressif (au lieu de reconnaitre qu'on a besoin d'être rassuré).

Comme expliqué, nous avons parlé et j'ai partagé mes émotions avec elle, notamment le fait que me manquer de respect me mettait en colère, colère qui indique à moi comme à l'autre que quelque chose a été trop loin, que quelque chose a dépassé une limite. Elle n'en avait pas eu conscience et elle s'est excusé, on est vite passé à autre chose. Puis avec le confinement, ça aurait été difficile de rester dans le ressentiment.

Maintenant, je me rend compte qu'autant j'ai peur d'être laché par elle car elle est mon pilier, mon filet de sécurité, ma compagnie et d'une certaine manière aussi un faire-valoir (c'est triste à dire mais c'est le cas, sortir avec elle m'aide à avoir une valeur plus importante), autant je rêve d'autre chose. Comme si deux forces luttaient en moi, égo vs envie en quelque sorte. Et parfois l'un gagne, parfois l'autre mais au final je me pose toujours 20 000 questions et je suis pas dans l'instant présent.

J'ai envie de gérer la face et de faire semblant que tout va bien même si au fond, cette relation ne comble pas toutes mes attentes. Je crois donc qu'au fond de moi j'ai envie de changer de partenaire et peut-être qu'elle le ressent à force ... En pleine transition personnelle et professionnelle, avec la crise qui arrive et le corona, je ne vais pas m'infliger ce nouveau défi en plus de tous les autres et me tirer une balle dans le seule orteil d'intact qui me reste, mais idéalement je crois que je devrais essayer de rencontrer quelqu'un d'autre (aussi?).

Vous avez aussi des moments charniers comme celui que je suis en train de vivre où vous ne savez pas quoi faire, quoi vouloir, dans quelle direction aller et à se poser 20 000 questions?

En tout cas, je ne m'attendais pas à recevoir autant de réactions de votre part, un grand merci !

PS : Concernant la colère et l'utilisation des émotions en général, j'ai fais une formation recemment car je n'utilisais que très peu la colère, j'avais peur d'être colérique. Je croyais que c'était la pire des émotions, c'est du moins celle que j'aime le moins chez les gens, enfin c'est du moins ce que je croyais. Je trouve maintenant, après cette formation, que la colère est au final très utile, tout autant que les autres du moins. Peut-être qu'au fond, je me suis un peu laissé emporté et j'ai voulu utiliser ce que j'ai appris le 14 mars ...

PS2: je m'attendais pas à autant de réponses de votre part, un grand merci !