Bonjour à tous,
Je reviens pour clôturer ce post 1 an après. J’ai décidé de mettre un terme à cette relation définitivement il y a 2 mois. Pour mon propre bien et le sien.
Après avoir fait la dernière crise de nerf en date, j’ai eu la révélation :
« Attend, tu te mets dans cet état pourquoi ? Pour lui ? Car il ne te donne pas ce que tu veux ? Mais ça te rend mal toi, pas lui, et tu es en train de te pourrir TA vie toute seule. »
J’ai été énormément immature. Et je voulais retrouver cette relation du début, cet idéal. Et n’acceptais pas la personne qu’il était devenu. Je le rejetais même car il ne « matché » pas mon imaginaire/idéal.
Ce n’est pas ce que je voulais, et comme un enfant, je piquais mes crises de nerfs et étais en colère. Je lui en ai beaucoup voulu et je pense que cette rancœur a étouffé tout le bon de la relation (car c’était un très bon ami/amant)
C’est dingue.
Mon comportement a tué la relation (en partie). Mais ça m’a permis d’en tirer de nombreux enseignements.
- Ne pas se mettre en relation avec quelqu’un qui vient juste de se séparer d’une LTR
- Les actions sont plus importantes que les paroles
- Être honnête avec soi, et avec l’autre
- Vivre l’instant présent
- Être moins perfectionniste. Et ne pas la projeter sur les autres. Accepter ce qui est, les défauts et imperfections.
- Se respecter et dire les choses
- Ne pas attendre après l’autre, vivre sa vie aussi à côté
@ Oncle Barney : Oui je continue ma psychothérapie, le côté « illusion » est flagrant avec du recul. Cela dit mes rencontres me permettent toujours de recevoir un coup de boost en mettant en relief ce qui ne va pas chez moi.
@ Homer : Bouger oui, je suis en train de le faire ! ? Je me rends compte que je n’ai pas d’amie (fille), prochaine étape ?!
@ Niico : Aucun sacrifice n’est nécessaire. Nous ne nous devions rien l’un et l’autre. Une relation doit générer du positif et non t’enfoncer. C’est comme si j’avais décider de m’amputer la jambe toute seule alors qu’elle était totalement saine. Sans aucune raison, sauf de me mettre des bâtons dans les roues.
Le meilleur reste à venir