C'est sûr que l'avortement de décembre, donc il y a à peine un mois, voire moins, a de très fortes de chances de jouer.
Elle est peut-être dans une phase où elle a besoin de parler et d'évacuer ce traumatisme, car c'en est un, ce n'est jamais anodin.
Et le fait que le sujet de vos rapports sexuels soit ta préoccupation principale en ce moment, et pas son avortement (d'après ce que tu livres ici) la heurte peut-être (je dirais sûrement, perso).
Essaie de lui laisser du mou sur les galipettes et de voir avec elle comment elle vit cette période post-avortement.
C'est vraiment pas rien comme épreuve, même si en général on s'en sort bien.
Il y a quand même toujours un moment où ça cogite à fond, et c'est normal.
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