[Djefd]

Bonjour,
J'ai 35 ans et vit maritalement avec ma compagne et mes 2 enfants.

Depuis la première grossesse de ma chérie (2010), ma vie sexuelle est chaotique, et ma vie sentimentale en pâtis également, sans parler de la confiance personnelle. Je suis volontaire et déterminé à tout faire pour sauver mon couple, ne serait-ce que pour préserver les enfants, mais je ne sais plus comment faire.

Je commence par le début : Comme pour beaucoup de couple, la grossesse et l’arrivée de notre premier enfant a relégué notre vie sexuelle à un plan secondaire. Au début, j'ai naturellement jugé que cela était normal, passager et que les choses reviendraient à la normale après quelque temps.
Le temps passant, voyant que la situation ne s'améliorait pas, j'ai pris les devants et en ai parlé à ma compagne, ce qui nous a amené à consulter un thérapeute de couple. Celui-ci à formulé plusieurs propositions d'action pour chercher une solution qui me convenaient, et ma compagne a également dit qu'elle se sentait capable de mettre ses conseils en action. Elle ne l'a pas fait, mais la situation s'est sensiblement améliorée, je ne m'en suis donc pas inquiété.
Nous étions d'accord sur le fait que nous souhaitions une différence d'age pas trop importante entre nos 2 enfants (nous sommes en fait en accord sur de nombreux points concernant les valeurs, les objectifs de vie, etc. C'est pour cela que je la considère comme la femme de ma vie), et nous nous nous sommes donc attelés à la fécondation de notre second enfant (Fin 2012, ce fut sexuellement une période très positive).
Mais aussitôt ma douce à nouveau enceinte, rebelote, absence de désir, fréquence et qualité des relations en chute libre de son fait à elle. Je me suis montré patient et compréhensif, en lui faisant part malgré tout de mon désir...
Après 2 nouvelles années de galère, de souffrance, je me suis retrouvé par hasard à échanger sur ce sujet avec une collègue très attirante, qui traversait également une période difficile dans son couple. Elle semblait ouverte à l'idée de l'infidélité, et me sentant à bout de souffle, j'ai sérieusement envisagé cette possibilité, au point de le lui proposer. Elle m'a gentiment fait comprendre qu'il ne fallait pas y compter. Nous sommes simplement devenus confidents, ce qui m'apportait malgré mon désir pour elle un certain réconfort.
De mon coté, je doit admettre que ma chérie semble avoir pris au moins en partie conscience du problème. Elle m'a avoué que durant ces 2 années, elle "fuyait" tout situation rendant possible une quelconque ouverture (moins d'une dizaine de rapport par ans), mais depuis quelques mois, elle semble réellement faire des efforts pour améliorer la situation, bien que ses paroles lors de nos discussions ne soient pas rassurantes quand à une évolution de la situation "stabilisée" actuelle (mes attentes seraient au-dela de ses possibilités).
Pendant ce temps, je suis tombé amoureux de ma collègue, qui de son coté s'est séparée de son compagnon, et lors d'un soirée chez elle il y a quelques jours, elle a clairement montré que si je faisait le pas vers elle, elle ne me repousserait pas. Je n'ai pas saisi l'opportunité, et aujourd'hui, je le regrette. Je ne sais pas s'il y aura d'autres occasion, j'ai peut-être grillé toutes mes chances avec elle. Je n'ai évidemment pas parlé de ça avec la mère de mes enfants.
Voilà mon histoire, merci de l'avoir lue jusqu'au bout, je suis en plein doute, en plein questionnement sur la décision que je dois prendre, sachant que j'aime mes enfants plus que tout au monde, je sais que cela doit être la mienne, mais cela me ferait du bien de pouvoir échanger avec d'autres

[TheGraduate]

Salut Djefd,

ta situation est complexe et tu sembles en effet assez deboussole. Etant l'un des vieux croutons de ce forum je vais essayer de t'apporter quelques elements non pas de solution, mais qui pourraient eclairer ton chemin tout du moins partiellement.

En premier lieu tu dois distinguer deux choses 1/ ta frustration sexuelle et 2/ ta famille. Tu dis dans ton post a la fois que ta femme est la femme de ta vie mais que tu es amoureux de ta collegue. Ce n'est pas compatible. Et l'on peut se poser la question de savoir si tu ne transformes pas desir en amour vis a vis de cette derniere tellement ton desarroi est grand.

J'ai pour habitude de definir mes priorites, meme quand pris dans un environnement que je ne controle qu'a moitie. S'il est certain qu'il existe de nombreux paliatif a une libido en berne, il est egalement vrai qu'il en existe peu ou aucun pour une famille brisee ou un mariage naufrage.

En clair si tu tiens toujours a ta femme et a ta famille, il te suffira d'un coup de b... pour mettre tout le reste en peril. Tu as le deal en main, a toi de bien reflechir a tes priorites.

En deuxieme lieu, ta femme doit comprendre que restreindre vos rapports, te bloquer dans un cul de sac sexuel n'est pas ou peu compatible avec le fait qu'elle t'aime et une vie de couple equilibree. Tu dois t'attaquer a la cause de ce manque de desir, et non au consequences. Pourquoi n'a-t-elle pas plus besoin de sexe que cela ? quelle sont les racines de cette faible libido ? etc.

Pour cela recourir a nouveau a un pro pourrait t'aider a la confronter aux sources de ce qui te blesse, et lui faire comprendre que si elle ne veut/peut te satisfaire, il pourrait ne pas etre si illogique qu'elle accepte que tu vives ta sexualite ailleurs et autrement d'un commun accord (note que peu de femmes accepteraient cela, mais si elle n'y met pas du sien il semble logique qu'elle se confronte a ses responsabilites).

La encore mon approche est rationnelle et il est fort possible que le subjectif soit pregnant dans une problematique si sensible. Sois en premier lieu vigilant a ne pas tout compromettre d'emblee, utilises un tiers pour faire valoir la logique ci-dessus et l'amener a reflechir a ce qu'elle doit faire / est prete a accepter pour que tu puisses t'epanouir.

[Anandam]

Plutôt que de te donner un avis sur le plan psychologique, je te propose un plan d'action sur le plan physiologique :

Changement d'hygiène de vie, quelques modifications sur le plan alimentaire et supplémentation.

Dans un mois tout au plus, sa libido sera tellement forte qu'elle devrait pouvoir faire voler en éclat la barrière psychologique. Si tu es convaincu, je me ferai un plaisir de développer.

J'ai également quelques petits exercices et jeux à vous proposer...

PS : je ne t'encourage pas à fauter avec ta collègue bien que je ne te jugerai pas si tu devais déraper...

[majestic17]

d'un coté avec dix rapports par an c'est normal que tu sois tenter d'aller voir ailleurs, ne culpabilise pas car une majorité d'homme le feraient.
et ci c'est pour allez voir un thérapeute afin qu'elle fasse "des efforts" pendant deux mois pour que ça recommence ça deviens problématique.

Et c'est pas parce que sont coté femme mère est bon qu'elle doit négliger son coté femme et se dispenser du bien-être de son homme, c'est égoïste de sa part.

bizarrement pendant la conception d'un enfant, vous n'avez plus de probléme sexuel, c'est peut-être ici qu'il faudrait creuser ?!

[Djefd]

Merci beaucoup à tous de m’avoir lu, et répondu, ça fait chaud au cœur…

@TheGraduate : Je sais que je suis réellement amoureux d’elle, je ne l’étais pas au départ, quand je l’ai « abordée », j’avais juste envie de saisir l’opportunité de faire une pause dans mon calvaire (j’ai d’ailleurs beaucoup culpabilisé d’en avoir eu l’intention après ça), mais le sentiment amoureux n’est apparu que plus tard, le simple fait de savoir que je vais travailler sur un projet avec elle me donne des papillons dans le ventre, idem quand je reçois un SMS, etc. J’ai déjà eu envie sexuellement de beaucoup d’autres femmes, mais là c’est différent. Après, je fais aussi la différence entre être amoureux, qui est une émotion passive, et aimer, qui comporte une dimension active, une forme de travail que l’on effectue pour l’autre, parce qu’on l’aime, justement (ce que je ressens encore pour ma compagne, même si j’ai l’impression que cela s’affaiblit).
J’ai également le réflexe de prendre du recul et d’analyser en profondeur ce que je ressens quand quelque chose me déstabilise, c’est d’ailleurs pour cela que je n’ai pas sauté sur ma collègue quand l’occasion s’est présentée (avec le risque que cela foute toutes mes chances en l’air pour à l’avenir, mais tant pis), et aujourd’hui, mon problème est que je n’arrive pas à cerner ce qui est le plus important pour moi : Le foyer dans lequel j’ai beaucoup investi pour le construire, avec mes enfants qui sont (attention, poncif !...) l’élément le plus important de mon existence, et mon désir d’être épanoui et heureux dans ma vie, de ne plus subir cette souffrance qui me détruit, et qui de toute façon resurgira plus tard si je n’en tient pas compte aujourd’hui et tente de l’étouffer pour sauver ma famille à tout prix. Je sais que la décision est mienne, c’est ce qui rend la chose tellement difficile, quand on subit une situation, on souffre, mais on ne peut qu’accepter et chercher à rebondir, moi, je tourne en rond, tiraillé entre 2 envie aussi forte l’une que l’autre. J’ai pris contact avec un psy, pour moi seul dans un premier temps, pour essayer de m’aider à faire le point, car j’en arrive à un état dépressif, qui n’arrange évidemment rien.
Je n’ai aucune prise sur les cause de ma situation, j’ai tenté de nombreuses fois de faire exprimer à ma compagne les raisons de ce manque d’envie, mais sans résultat. Elle me dit n’en avoir simplement pas envie, ni de moi, ni d’un autre, ne pas avoir de fantasmes sexuels, … Pour elle, depuis ces derniers mois, il n’y a plus de problème (elle ne me fuit plus), c’est moi qui en demande trop. C’est vrai que la situation s’est nettement améliorée depuis quelques mois, mais je ne parviens pas à retrouver mon équilibre pour autant, surtout que même si c’est plus fréquent (une fois par semaine en moyenne, ce qui est tout à fait acceptable), nous ne le faisons que lorsqu’elle en a envie, ce qui ne correspond pas forcément au moment qui me convient le mieux, et que lorsque j’en exprime moi l’envie, je me heurte à un refus net et catégorique. Pas de câlins, même sans sexe dans ces moments là, et j’ai l’impression d’être incapable d’éveiller le désir en elle, ce qui mine toute la confiance que je peux avoir en moi, et qui n’est déjà pas extraordinaire…
Lorsque j’aurais un peu travaillé sur mon mal-être avec mon psy, j’essaierai peut-être de l’amener à une consultation de couple (plutôt un sexologue cette fois je pense), mais vu le résultat de la dernière, j’ai beaucoup de mal à y croire…

@Anadam : J’ai une hygiène de vie tout à fait correcte, je prends soin de la façon dont je m’habille, je mange relativement sain… J’ai également des attentions pour elle (fleur, resto, week-end en amoureux, etc.), je tente de briser la routine régulièrement (la rejoindre dans la douche le matin par exemple : pas apprécié, profiter d’un moment sans enfants pour jouer l’homme viril et la bousculer un peu : crise et incompréhension, proposer des activités qui sortent de ce qu’on fait d’habitude : pas intéressée, pour quoi faire ?, etc.), mais rien n’y fait. Si tu as des suggestions, je suis de toute façon preneur, car je n’ai pas encore baissé les bras, mais…

@Majestic17 : Un regain d’appétit sexuel pendant une phase de conception est tout à fait naturel pour la majorité des femmes, c’est le retour de bâton après qui est inquiétant. Pendant la conception du second, nous pouvions le faire alors qu’il dormait dans la pièce à coté avec juste un rideau pour séparer, maintenant, elle est très souvent fatiguée, et même pendant la sieste des enfants (qui dorment maintenant dans des chambres à l’étage), ça n’est pas le bon moment. Nous ne le faisons que le matin, dans le lit, après lui avoir ôté son pyjama. Je lui ai bien expliqué que j’attendais un peu plus de variété, sans rentrer dans des pratiques bizarres, juste changer d’endroit, d’entrée en matière. Elle me dit qu’elle l’entend et le comprends, mais j’attends toujours de voir… J’ai réussi à lui faire acheter 3 jolies culottes en dentelles il y a maintenant à peu près un mois et demi, je sais qu’elle les porte, mais je n’en ai toujours pas profité. Elle me dit que ce n’est pas elle, qu’elle ne voit pas ce qu’elle doit faire avec ces culottes. Je lui ai expliqué que voulais simplement la voir dedans, la déshabiller, la caresser, elle me répond que ce n’est pas elle et qu’elle ne peut pas jouer à être une autre. Je ne sais plus comment lui faire comprendre que c’est important pour moi et que je ne la jugerai pas.

Encore merci à tous pour votre soutien, je vous tiendrai informé de l’évolution de ma situation. J’attends beaucoup de ma rencontre avec le psy, la semaine prochaine, car je n’arrive pas à savoir si le problème vient entièrement de moi, de ma vision des choses. Mon récit est forcément subjectif, il donne certainement à penser que je fais tout et qu’elle ne fait rien et ne veut rien entendre, mais ce n’est pas le cas. La fréquence de nos rapport est presque revenue à ce qu’elle était avant, mais avant d’avoir nos enfants, je pouvais provoquer l’acte à peu près où et quand je voulais, mais elle me dit maintenant que c’est parce qu’elle se forçait. J’avais du coup confiance en moi, en ma capacité à être désiré, mais les événements et ses révélations ont eu raison de cette confiance, et j’ai beau essayer de ne pas me laisser abattre, mon attitude laisse forcément transparaître cette vulnérabilité (et puis, je refume, chose qu’elle déteste).

Bref, je suis à un carrefour de ma vie, avec des enjeux tellement importants, que je me sens dépassé. Ce qui est d’autant plus rageant est que le reste de ma vie va bien, mon travail n’est pas ma passion, mais j’arrive à y trouver mon compte, j’ai de nombreuses activités personnelles qui remplissent agréablement ma vie.

Encore pardon d’en avoir écrit une tartine, j’essaierai d’être plus concis la prochaine fois.
Djefd

[majestic17]

Pendant la conception du second, nous pouvions le faire alors qu’il dormait dans la pièce à coté avec juste un rideau pour séparer, maintenant, elle est très souvent fatiguée, et même pendant la sieste des enfants (qui dorment maintenant dans des chambres à l’étage), ça n’est pas le bon moment. Nous ne le faisons que le matin, dans le lit, après lui avoir ôté son pyjama.

Je lui ai bien expliqué que j’attendais un peu plus de variété, sans rentrer dans des pratiques bizarres, juste changer d’endroit, d’entrée en matière. Elle me dit qu’elle l’entend et le comprends, mais j’attends toujours de voir… J’ai réussi à lui faire acheter 3 jolies culottes en dentelles il y a maintenant à peu près un mois et demi, je sais qu’elle les porte, mais je n’en ai toujours pas profité. Elle me dit que ce n’est pas elle, qu’elle ne voit pas ce qu’elle doit faire avec ces culottes. Je lui ai expliqué que voulais simplement la voir dedans, la déshabiller, la caresser, elle me répond que ce n’est pas elle et qu’elle ne peut pas jouer à être une autre

La fréquence de nos rapport est presque revenue à ce qu’elle était avant, mais avant d’avoir nos enfants, je pouvais provoquer l’acte à peu près où et quand je voulais, mais elle me dit maintenant que c’est parce qu’elle se forçait

Je pense que ta copine n'aime pas son corps, qu'elle est comme locataire dans ce corps qui pour elle n'est pas le siens ni celui qu'elle voudrait avoir, c'est compliqué a gérer car t'aura beau faire tout les efforts du monde : achat de lingerie, surprises, être original, sortir de la routine, nouveau jeux, sorties cool etc... tu va te prendre la porte dans la gueule avec un N+1 refus et ce qui fonctionnerai très bien pour une femme avec une bonne image d'elle même, donc le probléme apparemment ne vient pas du tout de ton coté et allez voir un sexologue n’arrangera que temporairement les choses, et ta confiance en toi et ton image de toi va dégringoler au fil du temps, un peu comme dans un vortex qui aspire ta frustration et le mal être de ta femme et qui fait grossir ta boule dans le ventre.

Je pense que celui qui devrait allez voir un psy ce n'est pas toi, c'est plus ta femme qui doit y allez et bon courage pour lui faire comprendre que le probléme vient d'elle

[Djefd]

Salut Majestic17,

Merci pour ta réponse. Elle me fait mal, mais put***, j'ai peur que tu ai au moins partiellement raison... Je crois que je n'avais pas vu les choses de cette façon jusqu'à maintenant, que je me voilais la face en pensant que c'était un problème temporaire et que je pouvais maîtriser et changer les choses.

Elle est déjà allé voir un psy, ce qui lui a fait du bien, mais je ne suis pas sûr qu'ils aient travaillé sur ce point là.

Tout ne vient pas d'elle, en tout cas, plus maintenant, car effectivement, ma confiance en moi est au plus bas, et je ne trouve plus la force de faire des efforts, car j'ai tout le temps l'impression que ça ne servira à rien. Du coup, ça vient alimenter le cercle vicieux dans lequel on est coincés. C'est pour ça que j'ai pris la décision d'aller voir un psy, pour essayer de voir s'il y a quelque chose qui cloche de mon coté, retrouver confiance et être à nouveau capable de faire tout ce qu'il faut pour la séduire à nouveau et lui redonner envie de moi.
Mais à la lumière de ce dont tu viens de me faire prendre conscience, j'ai peur que ce soit peine perdue, car dans nos discussion, elle me dit qu'elle se sent bien et qu'elle attend que j'aille bien pour que tout soit "parfait", ce qui me fait peur, car je crois qu'elle ne veut pas prendre conscience de sa part de responsabilité dans la situation, et je ne sais pas comment je peut arriver à lui faire entendre ma vision des choses.

Je vais quand même essayer de me battre une dernière fois, car je ne veut pas abandonner là comme ça, j'ai organisé un week-end surprise pour nous 2 à l'occasion de l'anniversaire de nos 10 ans de rencontre, mais si les choses ne changent pas, il va falloir que j'accepte la fin de notre histoire... J'en pleure en l'écrivant, c'est un vrai déchirement.

Merci encore de vous être intéressé à mon histoire, je reviendrais pour vous tenir au courant de l'issue (et peut-être pour reprendre de bonnes habitudes et rebondir du mieux possible)

[majestic17]

vous vous mettez en couple avec des femmes dont vous savez intuitivement qu'elle ne pourra pas vous donnez ce que vous recherchez et des années et des enfants plus tard, vous vous dites il y a un soucis, je suis malheureux avec cette fille...
ce n'est pas étonnant qui il y es autant de divorce/séparation et de célibataire avec des enfants.

Mon ami je crois que parfois tu regardes la réalité en face et ça te fais mal, et parfois tu te la masque pour éviter de souffrir.

C'est cette femme qui à détruit ta confiance/estime en toi car elle a déjà un probléme avec sa propre estime et qu'elle a omis de régler durant ces années et c'est toi qui a morfler.

ce n'est pas uniquement à toi de travailler sur toi, soit elle prend conscience qu'elle doit faire des efforts et aussi régler ses soucis et remplir son rôle de femme, soit tu te trouve une vrai femme bien dans sa tête qui te comblera, qui assume son corps et avec qui tu sera heureux.

extrait de 48 lois du pouvoir de Robert Greene : "évitez le malheureux et le malchanceux.
Vous pouvez mourir de la misère de quelqu’un d’autre, les états émotionnels sont aussi toxiques que les maladies. Vous pouvez croire aider la personne en désespoir, mais vous ne faites que vous précipiter vers votre propre désastre. Les infortunés créent souvent le malheur sur eux-mêmes et aussi autour d’eux. Associez vous plutôt aux heureux et fortunés."

ça résume bien ta situation

[fxdesca]

Définition de "LTS" ?

[majestic17]

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