Hello gentlemen !
Pas eu le temps (ni l'envie) de regarder ce documentaire de propagande.
Mentalement en ce moment, je crois que j'arrive à saturation du bullshit des filles.
C'est très personnel comme ressenti, certainement.
En plein coeur de Paris, dans le métro, de l'affichage partout pour le harcèlement.
Marlène Schiappa chez Hanouna.
Ce documentaire.
Mes feeds Facebook et ma timeline twitter qui sont forcément des bulles d'information :
je ne vois que des plaintives passer toute la journée, même Maïa chez GQ en ce moment ça me gonfle.
Néanmoins... ce sujet de la zone grise, je vous explique pourquoi on n'en parle que très peu chez Artdeseduire.
Vous, vous savez. J'ai vu les memes de Don Diego sur le mec bourré et la fille bourrée, et pourtant le lendemain, c'est le mec qui est accusé de viol.
On vit dans une société de victime.
Vous le savez. Où ça passe son temps à se plaindre de TOUT : âge - poids - couleur - argent, tout le monde chiale sur twitter (grosse plateforme qui offre un bel écho aux pleureuses et attention whores du monde entier).
Ceux qui ont vécu ont effectivement fait des soirées où vous avez bu, vous, la fille aussi.
La France, celle dans laquelle j'ai vécu, la province, puis Paris, 90% du temps, ça fait du sexe sous alcool. C'est culturel.
Il m'est arrivé, et probablement à vous aussi, d'avoir des filles qui jouaient au "noooooon" qui voulait dire "continue".
Ce non qui veut dire oui, si je l'écris dans un article et qu'une féministe tombe dessus, il est fort probable qu'elle mette en copie toutes les féministes de France et que ça remonte au ministère des Femmes et qu'ils (je dis "ils" parce que je suis sûr qu'il y a quelques white knights en mousse heureux de bosser pour cette entreprise de démolition).
Ce non qui veut dire oui, il existe à quoi... 10% ? 20% ? En réalité, sur mon expérience perso, je dirais même pas 5%. De filles qui aiment jouer avec le feu.
Pour ne pas prendre de risque pour vous, pour nous chez Artdeseduire, pour ma copine, ma mère, ma soeur, je préfère taire ces histoires de "non qui voulait dire oui", de filles qui aimaient bien jouer, de filles qui avaient besoin de se faire désirer et de voir que le prétendant était bien accroché.
Les "féministes" ne veulent ni entendre cette réalité, ni la voir.
Pour ne pas prendre de risques pour le site, pareil, on évite de mettre en home page les histoires d'Eros ou les miennes trop hardcore sur la sexualisation, trop hardcore sur des freeze out mythologiques, la fille dans ton lit qui ne veut pas, tu retournes jouer à la Playstation en détente, et c'est elle qui revient quémander de l'affection...
Elles consentent. Elles couchent. Souvent nous nous sommes désintéressés après l'acte. Puis elles regrettent et se rendent compte qu'elles pouvaient dire non, qu'elles voulaient dire non, qu'elles auraient pu dire non. Simplement elles voulaient plaire, elles voulaient de l'attention, elles en ont eu, puis nous sommes partis ailleurs, déjà lassés par leur mental moyen, leur corps moyen, leur aptitude moyenne à faire l'amour.
On était des sauvages en 2007-2008, avant même de découvrir Artdeseduire, qui au contraire nous a calmés. Nous a permis de passer sur un mode plus "pro-social".
La philosophie du site depuis 2010, c'est de devenir suffisamment intéressant / masculin / attirant pour sortir de cette zone grise... qui restera pourtant toujours pas très loin avec des filles pas sûres d'elles-mêmes.
En tant qu'homme, on peut faire ce travail d'éducation chez nous, les hommes.
Mais est-ce que c'est aussi notre job d'aller dire aux meufs "vous pouvez dire non, apprenez à repérer un manipulateur, apprenez à repérer un freeze out, vous avez le droit de coucher et de jouir sans regretter, vous avez le droit aux coups d'un soir, vous avez le droit de ne pas être énervée s'il ne rappelle pas le lendemain..."
Courage à tous, dans ce beau monde aseptisé et contrôlé de tous les côtés...
Restez bien derrière vos pseudos, pour moi, il est déjà trop tard
Du love et du courage pour cette semaine qui commence bien...
mais ta mère ne va surement pas te raconter qu'elle se mettait des mines pour faire des folies de son corps 
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