[Modesty]

Bien évidemment que ça ne changera pas la vie de quiconque, mais c'est un débat intéressant à mon sens.

Et le propos avancé par Don est fondé, c'est vrai qu'on apprécie encore plus un compliment après avoir traversé une période sombre par exemple.

À méditer.

[Mr Specter]

@DDLV

En effet je pense que la souffrance, les périodes difficiles forcent les personnes à se questionner, prendre du recul et de comprendre la situation.

Ce qui amène donc à ce qu'ils deviennent plus intelligent au travers de ces expériences.

[don Diego de la Vega]

Donc le lien (pour Barney ) serait de dire que ces gens sont plus intelligents parce qu'ils ont moins d'amis et pas l'inverse !
Pas de HS !

[AlexandreDeMacedoine]

La profondeur est le privilège de ceux qui ont souffert.

Personnellement je trouve peu d’intérêt aux gens en général, du fait j'aime très difficilement mais quand j'aime, j'aime beaucoup trop.

Ceci dit, je ne me considère pas comme intelligent.

[Oncle Barney]

Envoyé par don Diego de la Vega

Donc le lien (pour Barney ) serait de dire que ces gens sont plus intelligents parce qu'ils ont moins d'amis et pas l'inverse !
Pas de HS !

Bah pas du tout!

Non sérieux, je vais citer l'article parce que les réactions me paraissent WTF

l’homme se porte mieux loin des grandes villes, et en ayant des interactions régulières avec ses congénères.
En revanche, ils observent un effet inverse chez les individus dotés d’un QI supérieur à la moyenne.

De par leur intelligence, ceux-ci seraient capable de s’élever au dessus de leur restrictions biologiques, et tout à fait capables de s’adapter au monde d’aujourd’hui : la forte densité de population d’une mégalopole ne leur poseraient donc pas le moindre problème, et, fait étonnant, ils seraient bien plus heureux sans avoir à socialiser avec amis ou connaissances.

Ca c'est basé sur la théorie du bonheur des savanes (une simple théorie). Et ils n'arrivent pas à donner d'explications sur ce qu'ils ont analysé (super hasardeux). Une autre chercheuse elle se jette dans la brèche:

Les résultats suggèrent (et ce n’est pas une surprise) que les plus intelligents seront moins à même de passer du temps à socialiser parce qu’ils seront concentrés sur un autre objectif à long terme

Ainsi, c’est parce que les plus intelligents d’entre nous seraient dévoués à des poursuites intellectuelles telles que la recherche médicale ou l’épanouissement artistique.

Donc en gros, le besoin de sociabilisation basé sur le besoin de survie est moindre chez les gens à plus fort QI (et là ils ne parlent que de QI...) car ils sont plus à même à s'adapter à l'environnement complexe des villes, avec la poursuite de projets à long terme dans lesquels ils sont pleinement engagés, leur laissant moins de temps pour sociabiliser. Et ça ne les gêne pas. Voilà ce qui est dit.

Conclusion: le titre du "journaliste" (et donc le titre de ce post) empêche d'analyser clairement l'étude.
Shortcuts are a bitch >_<

[Duc]

Déjà de base je ne crois pas au QI, donc bon...

Plus précisément je ne crois pas à son utilisation comme "mesure suprême et incontestée de l'intelligence".

Non, il s'agit d'un test, on obtient le résultat d'un test, à la date D. C'est tout.

Maintenant, dire si ce test mesure l'intelligence, la vivacité d'esprit, la capacité à comprendre n'importe quel problème sous plusieurs angles, pour en trouver la solution, la capacité d'apprentissage, la capacité d'adaptation, etc... on ne sait pas.

Le score résume une performance au test. Maintenant, quelles sont les qualités réellement mesurées, les biais, etc...

Perso les tests de QI c'est pas ma tasse de thé...

[don Diego de la Vega]

Exact, les tests QI sont socialement et culturellement orientés.
En gros, c'est de la merde. De toute façon si vous êtes complètement cons vous devez avoir recueilli quelques indices depuis le temps

[Lock]

Omagawd, c'est quoi cet article Barney ?

Pour Duc et DDLV, le titre est raccoleur, mais après, on s'en fiche un peu, ça reste intéressant même si du coup faut relativiser plus.

Les données sont intéressantes, mais je suis franchement pas chaud pour les interprétations (big up à la chercheuse qui a réussi à commenter les résultats de l'article, elle a sauvé ceux qui l'avaient faite ^^).

(Par exemple, vivre dans les zones densément peuplées, avec les sons, tout le monde, les odeurs qui en découlent et tout, super variables, c'est un sujet de beaucoup de plaintes).

Mais oué, pas choqué qu'ils aient moins d'amis en général, la différence joue pas mal là dessus. Il y a aussi un passif en général, souvent victimisés à l'école/collège.

[tron]

En psychologie on dit bien qu'on ne mesure pas l'intelligence d'ailleurs pour moi l'intelligence ça n'existe pas c'est qu'une conception de l'esprit.
Par contre les tests de QI sont censés être performants et représenter quelque chose, heureusement d'ailleurs parce que ça coûte dans les 400e d'en faire un il me semble. On arrive même à trouver un résultat fiable (qui n'est pas l'intelligence) indépendamment du stresse des sujets.

[Tom33]

Autant j'apprécie particulièrement les articles d'Atlantici, autant la c'est une formule toute faite, à intégrer pour se satisfaire de ses lacunes sans limites.
Dans le même genre il y a :" l'important c'est la beauté du coeur " ou " c'estpas la taille qui compte c'est comment on s'en sert."
Non , les personnes sociable répondent à des critères sociologique, démographique et culturel. Ce ne sont pas forcément des demeurés. Le sujet gagnerai à s'approfondir un peu plus.