Découverte
 

Bonjour
Je pratique l'équitation depuis toute petite. C'est une de mes activités de loisirs préférée. Adolescente, je participais à des concours régionaux. Dans le salon de mes parents, dans la vitrine, il y a plus d'une dizaine de Coupes. Autant de Prix remportés. Hélas je n'ai plus le temps de m'y consacrer autant que je le souhaiterais.
L'entraîneur devait avoir 35 ans. Sa femme venait parfois dans le manège en fin de soirée. Je surprenais souvent son regard posé sur mes formes naissantes. Au début, cela me troublait. Lentement cela m'amusait avant de me procurer de délicieuses émotions. Mais pourquoi fixait-il ainsi son regard sur mon sexe moulé dans mon pantalon d'écuyère ?
Une fin d'après-midi d'automne, à la veille de la fête de Halloween, je l'ai suivi en cachette jusqu'aux vestiaires privés du personnel. Je me suis cachée au dessus, sur les poutres de l'écurie voisine. Il a sorti un magazine de son armoire métallique grise. Il me tournait le dos mais je devinais une main sur son sexe. C'était vague.
Une entraîneuse est arrivée. Il a jeté le magazine dans le placard avant de suivre la jeune femme. Je suis descendue à toute vitesse. J'ai ouvert la porte de l'armoire. C'était un magazine pornographique. J'étais étonnée de découvrir des jeunes filles à peine plus âgées que moi, très belles, cavalières comme moi, sur des chevaux. Mais toutes nues.
Certaines d'entre elles avait des objets enfoncés dans les fesses. Assises sur leurs selles j'imaginais l'inconfort. Curieusement, après un choc passager, j'avais envie de voler le magazine. Mon premier désir de vol ! J'entends les voix. Je me dépêche de filer en laissant la porte du placard ouverte. Sur le magazine ouvert. Je ne sais pas ce qui s'est passé entre les deux protagonistes. Mais moi je n'avais qu'une envie. Essayer de monter avec un objet enfoncé dans les fesses.
A la maison, dans le grand coffre au grenier, qui contenait mes jouets de petites filles, il y avait un jeu de petites quilles en plastique. Elles me semblaient présenter la taille idéale. Ça ne rentrait pas. Ça me faisait même mal. Je l'ai enduite de crème grasse. Miracle. Ça rentrait mieux pour dépasser juste ce qu'il fallait. Une quille d'environ dix centimètres dont le socle restait à l'extérieur.
J'avais la curieuse sensation de devoir faire caca mais sans pouvoir. Aucun plaisir. Juste de la gêne et de l'inconfort. Je suis allée au centre équestre avec cette quille enfoncée dans les fesses. Une fois sur le cheval, toute gênée d'imaginer que quelqu'un pourrait deviner, je faisais le même constat. Aucun plaisir. Juste de l'inconfort et l'envie artificielle de faire caca. Peur de me blesser au galop.
Je me souviens avoir soutenu le regard insistant de mon entraîneur jusqu'à lui faire baisser les yeux. Je venais malgré tout de remporter une nouvelle victoire. J'ai passé mon heure d'équitation sodomisée par cette quille en plastique. Ce qui a participé à me détourner, et à tout jamais, de toute pratique anale.
J'ai vécu quelques belles aventures dans ce centre équestre. Je relaterais les histoires les plus racontables. J'espère ne choquer personne...

Désolé pour la mise en exergue hors contexte :D

Je sens que Talisman est en toi.
Ou l'Oncle Bob ???!!!

William, si c'est toi, arrête tes conneries :D


En fait j'en suis pratiquement sûr.

De quoi parlez-vous ? Qui sont ces personnes ? Merci de m'éclairer.

des écrivains érotico-trollesques habitués des lieux.

La soirée d'une voyeuse

Je gare la voiture à l'entrée du parcours sportif. Je chausse mes baskets. Il y a environ 500 mètres jusqu'au premier mirador. Il est en lisière de forêt. Il est 16 h30. Il fait beau, il y a du soleil. Je suis en jean et en T-shirt. Mon petit sac à dos. J'ai du chocolat.

Je monte dans le petit habitacle situé à quelques mètres au dessus du sol. Je tire l'échelle pour la remonter. Personne ne peut donc monter. Je reste assise en tailleur. Avec ma petite paire de jumelles, à travers les planches, je peux mâter dans toutes les directions.

Je n'attends pas longtemps. Voilà un couple. Ils marchent en flânant. Environ la trentaine. Ils s'arrêtent souvent pour s'embrasser. Ils disparaissent au bout du sentier. Voilà une promeneuse de chien. La salope ne ramasse même pas les crottes de son clébard.

Un joggeur arrive. Il regarde dans toutes les directions. Il sort son sexe au-dessus de son short. Il pisse contre un arbre. Toute petite queue toute molle. Il secoue les dernières gouttes et continue son running. Une belle foulée toutefois. Il disparait en haut du chemin.

Un autre couple. Certainement illégitime. Ils se tiennent par la main. Ils se retournent souvent. Pas la conscience tranquille. La jeune femme tripote un peu la braguette du monsieur en costume cravate en pleine forêt. Amusant. Ils s'en vont. Dommage...

Voilà un cycliste sur son VTT. Enfin le vicelard tant attendu. Il cache son vélo dans les fourrés. Il se planque derrière le grand panneau avec le plan du site. Il se touche. Il mâte discrètement. Il tient son sexe en main. Il se masturbe. Il est penché en avant pour mieux voir.

Le saligaud a certainement vu quelqu'un. C'est une jeune femme qui promène son chien. Va t-elle ramasser ses crottes ? Oui ! Elle a un petit sachet à la main. L'exhibitionniste se prépare à donner son spectacle. Je le vois prêt à surgir tel un diable de sa boîte.

Pas de chance. Le chien l'a reniflé. Il se met à aboyer. Le type, pitoyable, repéré avant même d'avoir donné son show, remballe. Il y a une petite vieille qui arrive en plus. La jeune femme ne se doute de rien et continue son chemin. J'observe le vicelard qui guette encore.

Il ne va tout de même pas s'exhiber devant la grand mère ! Non. Il remonte sur son VTT pour pédaler à toute vitesse. Je grignote mes carreaux de chocolat noir. Il est 18 h. Je descends l'échelle pour retourner au sol. Je croise quelques joggeurs. J'ai faim. Je rentre...

C'est moi où ça pue le Fake? Sans compter que ça a pas sa place ici, enfin j'en vois pas l'utilité.

Vilain fake

Pour prouver que t'es pas un fake, poste une photo de tes seins avec marqué "Diego <3" dessus.