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  #31  
Vieux 26/09/2020, 14h44
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Le festival du double jeu

Avec l’arrivée des beaux jours, on déplaça notre QG de dragueurs sur le toit de la cité de la mode près de la seine dans un bar boîte en plein air : la Nuba (ce lieu eut d’autres noms par la suite mais on lui préféra toujours l’ancien avec la bande).
Lors d’une partie de babyfoot on sympathisa avec un groupe de filles et je finis par sortir avec l’une d’entre elles pendant la troisième mi-temps. On se fréquenta pendant environ un mois de manière régulière puis je lui dis que je ne cherchais pas à me poser dans l’intention de mettre fin à notre relation et elle fut désagréablement surprise.

Quand j’étais encore avec elle on avait prévu de se retrouver un soir au festival Solidays dans le parc de Longchamp. On avait pris le pass trois jours avec Vincent comme l’année d’avant car on avait bien aimé l’ambiance et les concerts. En parallèle, j’avais choppé une autre nana lors d’un stage d’escalade UCPA, c’était la seule fille potable d’un petit groupe et j’étais fier d’avoir tiré mon épingle du jeu. Elle était bénévole lors du festival donc le but du jeu était de ne pas me faire chopper dans les bras de l’autre. C’était un peu risqué mais je m’en foutais, cela devenait même un jeu. J’allais boire un verre avec l’une puis je retrouvais l’autre une heure après à un concert dans une logistique millimétrée. J’aurais pu aussi me faire griller par des connaissances me voyant deux fois avec deux nanas différentes mais ça ne se produisit jamais ni même à Paris, c’est l’avantage des grandes villes.

Rien n’est perdu

Cerise sur le gâteau du festival, alors que j’étais seul en train de savourer la musique électro envoutante de Petit Biscuit, je croisais par hasard la fille que j’avais choppé à la soirée du nouvel an et qui m’avait claqué entre les doigts. Elle se mit face à moi et me demanda si je me rappelais d’elle. J’avais un gros trou de mémoire gênant donc elle évoqua la nuit du Réveillon puis tourna les talons et s’en alla sans un mot. Je restais planté là en essayant désespérément de me rappeler son nom, heureusement Vincent avait une meilleure mémoire et j’arrivais à retrouver son numéro.

Je lui proposai de se revoir et contre toute attente elle accepta. Ce fut dans notre quartier, au Follies, un café pratique pour les dates car on y était assis côte à côte face à la rue. Je la sentais bien plus disposée que la dernière fois, la discussion fut décontractée et je me laissais aller à quelques libertés tactiles qu’elle autorisa tacitement jusqu’au baiser. Puis je lui proposai d’un air faussement innocent d’aller chez moi pour écouter de la musique dont nous étions en train de discuter. Bien entendu cela se termina par une partie de jambes en l’air torride, je la pris les jambes renversées en arrière, sa chatte était toute humide et mon piston glissa parfaitement dans des mouvements de va et vient vigoureux. Comme elle quittait Paris définitivement on profita des derniers jours qu’il lui restait pour se voir fréquemment.

Record de vitesse

Pendant la fête de la musique à Paris, on se balada avec la bande dans les rues en écoutant les concerts en plein air, l’ambiance était joyeuse. Vincent était chaud comme la braise et suivait les traces de Christophe en allant accoster plein de nanas ce qui lui permit de récupérer pas mal de numéros. Cela n’aboutissait pas toujours mais c’était quand même amusant et encourageant pour la suite. On finit en fin de soirée au café chéri histoire de boire un dernier verre dans ce lieu mythique. L’endroit était quasiment désert mais je repérais quand même une fille mignonne au comptoir que j’abordais prestement avec le culot de la dernière chance. On alla discuter en terrasse, le sujet se porta par hasard sur la religion quand elle me dit être catho. J’aimais débattre en donnant la contradiction pour mieux approfondir les sujets et encore plus sur le thème du catholicisme où j’avais quelques griefs à son encontre. Ma position était devenue libertaire sur le sexe et réactionnaire sur les relations homme-femme à savoir que nous avions des caractères différents (en général) et qu’il fallait l’assumer sans se sentir ni supérieur ou inférieur mais plutôt complémentaires au lieu de chercher obstinément l’égalité en tout. Ces deux sujets ne laissaient jamais les filles indifférentes avec le risque de déplaire mais au moins elles réagissaient et parfois adhéraient à certaines de mes idées ou du moins appréciaient la remise en cause du discours dominant dans les médias à l’époque. Cette fois-ci, elle fut davantage amusée que choquée et j’opérais progressivement un rapprochement tactique et tactile qui s’avéra encourageant, la connexion buccale eut donc lieu. N’y tenant plus, je lui proposai sans transition d’aller chez moi, elle hésita un peu puis se laissa convaincre par mes arguments langoureux. Résultat, on se retrouva au lit moins d’une heure après s’être rencontré au bar : record battu !
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  #32  
Vieux 26/09/2020, 14h45
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A la recherche d’une autre vie avec plus de sens

En parallèle de ces histoires de sexe, je m’interrogeais beaucoup sur le sens de la vie, sur notre société, je lisais des livres sur différents sujets d’actualité ou sur l’Histoire de notre pays. J’avais aussi envie de redécouvrir mes origines notamment du côté de mon père issu du milieu de la boucherie que je ne connaissais pas bien. Ainsi je décidais de rejoindre mon oncle agriculteur et éleveur de porc dans le Limousin pour passer une semaine avec lui et sa famille pendant l’été. C’était important pour moi de savoir d’où je venais, d’avoir cet enracinement pour pouvoir grandir ensuite sans forcément suivre la même voie. Je souhaitais également me frotter à une existence plus concrète et voir de mes propres yeux l’envers du décor de mon mode de vie de pur consommateur. Du moins temporairement pour m’en faire une idée car je n’étais pas encore prêt à changer étant donné les bienfaits que j’en tirais à ce moment.

Dans l’arène


Juste avant de partir en vacances chez mon oncle, je ne pouvais pas rater le fameux bal des pompiers de Paris, notamment la soirée dans le lieu magique des arènes de Lutèce. On y entra avec Vincent, Christophe et Thibault comme des gladiateurs prêts à livrer le combat de la séduction face à des fauves félines au regard perçant, gracieuses mais redoutables. L’expérience nous invitait à essayer d’isoler la proie. Ensuite c’était une lutte à main nue où la parole était reine, le regard, les gestes, rien ne devait être laissé au hasard. Un moment d’égarement et c’était la sentence de frustration par abstinence mais l’espoir de la récompense nous donnait du cœur à l’ouvrage. « Avé César, ceux qui veulent baiser te saluent ! »

On se déplaça de groupe en groupe en essayant de capter des regards, de susciter l’intérêt. Notre avantage était qu’il y avait peu de gladiateurs intrépides comme nous donc moins de concurrence et plus d’effet de surprise positif pour les filles. Je finis par jeter mon filet sur une petite nana toute mimi en lui annonçant la prochaine chanson par instinct et comme j’eus la chance de ne pas m’être trompé, je l’invitai à danser. La musique latino très sensuelle me facilita la tâche et ce fut rapidement emballé. On dansa un long moment ensemble collés l’un à l’autre puis, lorsqu’elle chercha à aller aux toilettes je lui proposai carrément d’aller chez moi plutôt que d’attendre une heure à faire la queue. Elle me répondit « pourquoi pas » avec un regard complice et nous y allâmes. Le hic c’était que je partais en vacances le lendemain chez mon oncle et j’avais lancé une lessive juste avant donc mes vêtements étaient étendus partout dans mon studio pour sécher. Je la prévins par un léger euphémisme que « ça allait être un peu le bazar » mais comme elle me le dirait plus tard dans un texto assassin : j’étais « bien loin de la réalité ».

Je rangeais tant bien que mal pour faire de la place puis on passa aux choses sérieuses, c’était une fille petite mais bien foutue, une sportive au corps svelte. Au matin je lui fis un massage tout nu, mon sexe se tendait en se frottant sur ses fesses bombées, je n’y tins plus, j’enfilai une capote et la pénétrai doucement dans cette position : ce fut bon ! Ensuite douche, petit déj et je la raccompagnai au métro. Elle se rendit compte à la lumière du jour de l’état de propreté de ma cuisine et de ma salle de bain, ce qui la convaincrait de ne pas me revoir en m’expliquant plus tard dans son fameux message que je semblais « ignorer l’existence de l’éponge ». C’était bien envoyé mais je lui fis remarquer qu’elle ne s’était pas enfuie en courant, loin de là.

Déceptions et incompréhension

Voici une histoire typique de plusieurs rencontres que je fis dans lesquelles tous les signaux pour conclure étaient au vert mais au dernier moment je tombais sur une impasse. Cela m’arriva avec une nana plus âgée que moi rencontrée au café chéri. Elle avait l’air très cultivée d’après son parcours, notamment un ancien poste de professeur à sciences po et elle semblait aussi très ouverte sur le sexe, n’hésitant pas à faire des blagues graveleuses. Son profil me plut, j’étais curieux de mieux connaitre son histoire personnelle et ses idées. Elle ne céda pas à mes avances le premier soir mais elle me lança un défi pour se voir une prochaine fois. Il fallait que je retrouve son nom que j’avais oublié en utilisant les informations qu’elle m’avait données dans la soirée sachant qu’elle était assez bien référencée sur internet. Je me lançai donc à sa recherche et je finis effectivement par la retrouver en exploitant la piste de professeur à science po en histoire de la mode ou quelque chose du genre. J’eus donc le droit de la revoir et afin de me donner toutes les chances de conclure je l’invitai à dîner chez moi.

Je mis les petits plats dans les grands, tout excité à l’idée d’un échange riche intellectuellement puis sexuellement. Mais je fus déçu sur les deux plans. Au fil de la conversation je m’aperçus que ses idées étaient parfois très caricaturales, sans nuances, à la limite de la prétention notamment sur des sujets que j’avais récemment beaucoup étudié comme l’économie. Cela m’agaçait mais j’avais envie d’aller jusqu’au dessert donc je me rapprochais d’elle, l’embrassais puis l’allongeais sur le canapé en la caressant. Je commençais à la déshabiller lorsqu’elle m’arrêta brusquement en me disant que finalement elle n’en avait plus envie, qu’elle était gênée de la situation et préférait rentrer chez elle. Elle s’excusa piteusement de sa volte-face après m’avoir chauffé pendant plusieurs jours avant le dîner. J’en fus bouche bée mais je n’insistai pas, abrégeant la discussion d’un ton amer. L’image que je me faisais d’elle, une femme intelligente et coquine, ne correspondait pas du tout à la réalité, elle était plutôt immature et coincée. Cela m’apprendrait à faire des plans sur la comète.
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  #33  
Vieux 26/09/2020, 14h46
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I love America

Heureusement il était facile d’oublier ces histoires à Paris en passant à une autre, surtout en cette saison. Dans la même semaine, nous étions avec Christophe et Thibault au Comptoir Général lorsque je repérais une jolie blonde toute seule qu’ils m’encouragèrent à aller voir. Je suivis leur conseil et vins à sa rencontre en lui demandant tout simplement ce qu’elle faisait là. C’était une américaine en mission de quelques semaines à Paris pour un reportage télé. Ce bar devait être bien noté dans les guides touristiques car on y croisait beaucoup d’étrangères de passage. Grâce encore à mon niveau d’anglais, j’arrivais à maintenir une conversation intéressante et la confiance s’installa. Je m’enhardis en laissant trainer ma main sur sa cuisse tandis que nous discutions et voyant qu’elle laissait faire je l’embrassais, parcours classique mais toujours plaisant.

On sortit ensuite prendre l’air en marchant au bord du canal Saint Martin, c’était romantique et je ne manquai pas de lui faire découvrir la vue sur les écluses en haut d’une passerelle. J’en profitai pour la coller à moi en frottant doucement mon genou contre son entrejambe tout en lui faisant un bon french kiss. Le désir monta et pour ne pas troubler l’ordre public on rentra chez moi à l’abri des regards. Après l’effeuillage elle me suça sur le canapé puis monta sur moi sans capote, mon excitation était trop forte pour être contrôlée, je lui demandai juste si elle prenait la pilule et à peine eut-elle le temps d’acquiescer que je jouis en elle. Ce ne fut pas la première ni la dernière fois que je couchais avec une inconnue sans capote malgré les risques, c’était très con mais ma raison avait tendance à s’incliner dans ce genre de situations face à ma libido impatiente.

On se retrouva plusieurs fois pour faire des galipettes dans son appart Airbnb en plein centre de la capitale, c’était une fille enjouée, curieuse, sexy et torride au lit. Je fis mon premier 69 avec elle et, perdu pour perdu, on continua de baiser sans capote.

Argentina en Paris

Finalement on était restés en contact avec Lucia et, pendant une période où je me sentais seul, je lui avais proposé de venir me voir en France. On s’était finalement mis d’accord sur deux semaines au mois d’août. Même si j’étais très content de la revoir, je dois avouer que je regrettais d’être monopolisé pendant cette période bénie pour la drague à Paris. Mais qu’importe, autant profiter de sa venue et puis c’était une manière de la remercier de son accueil tendre et chaleureux à Buenos Aires. Donc je lui fis visiter un maximum d’endroits emblématiques de Paris et ses alentours ainsi que des régions typiques de la France comme la Bretagne et l’Auvergne.

On s’entendait très bien et on commençait à bien se connaître sur tous les plans. Elle était toujours disponible et enthousiaste tout en s’adaptant à mon caractère pensif et à mes silences. La veille de son départ on s’enfila chacun deux pintes de Chouffe à l’heure de l’apéro et les effets planants se firent rapidement sentir. On retrouva mes potes Vincent et Christophe sur le toit de la Nuba mais nos pensées étaient ailleurs, on avait très envie l’un de l’autre. N’y tenant plus, on quitta la soirée précipitamment pour aller dans notre chambre d’hôtel situé sur une péniche juste à côté, nous l’avions loué pour notre dernière nuit ensemble à Paris. Une fois arrivés, Lucia me dit qu’elle avait envie de me lécher sur tout le corps puis me demanda crûment de la baiser fort. Par docilité intéressée je la pénétrais fermement par derrière en lui attrapant les cheveux d’une main et en faisant claquer l’autre sur ses fesses. L’instinct animal prenait temporairement le contrôle du corps avec le consentement de la raison pour assouvir des pulsions sexuelles puis, lorsque la tension redescendrait après l’échange des fluides, la raison reprendrait sa place presque comme si de rien n’était. C’est un équilibre à trouver avec le temps, au gré des expériences et qui ne sera probablement jamais parfait mais moins dommageable que de nier ses pulsions.
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  #34  
Vieux 26/09/2020, 14h47
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Le grand chelem

Avant son dernier week-end avec moi à Paris, Lucia avait passé quelques jours avec de la famille habitant à Amsterdam et je restais seul dans la capitale. Mes potes n’étant pas dispos, j’avais décidé de sortir quand même au café chéri histoire de prendre l’air et, qui sait, peut-être faire une rencontre ? L’ambiance était assez calme en cette période estivale, je réussis quand même à aborder une nana en y allant au culot sur la piste de dance. Elle était tellement surprise de ma démarche qu’elle pensait que l’on s’était forcément déjà rencontré avant, elle croyait se souvenir de moi à l’école et pendant un temps je jouais le jeu pour plaisanter. Ensuite, on sortit fumer dehors et je l’embrassai, elle voulait continuer la soirée avec une pote en boîte mais ça ne m’intéressait pas donc je récupérais son numéro pour une prochaine fois.

Aussitôt après avoir raccompagné Lucia à l’aéroport quelques jours plus tard, je proposais à cette fille d’aller boire un verre le soir-même et elle accepta. On se retrouva au café Follies puis je la ramenai chez moi mais le débarquement anglais nous obligea à en rester aux préliminaires. Elle ne payait pas trop de mine mais elle avait de beaux seins et je n’avais jamais couché avec une asiatique. On alla dîner ensemble deux jours plus tard mais elle me laissa en plan sans explications sur le pas de ma porte. Ce ne fut que plus tard qu’elle m’expliqua sans plaisanter que c’était parce qu’on avait partagé l’addition alors que j’avais mangé plus qu’elle...

Entretemps, Fanny me recontacta innocemment après plusieurs mois de silence et on alla boire un verre dans un café pas trop loin de chez elle. Je fus agréablement surpris de la revoir et je me doutais que ce n’était pas uniquement pour me raconter ses vacances qu’elle était venue. On finit par s’embrasser assez naturellement puis je la suivis chez elle, dans son nouvel appartement. En entrant dans son immeuble j’eus une impression de déjà-vu. Effectivement je réaliserais plus tard que c’était le même immeuble où j’avais été un an auparavant pour retrouver la nana d’un soir rencontrée à la Boumette !
Je continuais sur ma lancée le jeudi de la même semaine en retrouvant Vincent et Christophe au Papa Cabane. C’était un bar en plein air près de Bercy, ouvert seulement l’été et construit avec des palettes en bois. Mon regard se posa sur Constantine, aux cheveux mi blonds mi roux et dont la jolie robe verte laissait apparaitre des formes généreuses. Elle faisait la queue toute seule pour commander à boire. Par défi avec les potes je tentai une approche sous leurs regards amusés. Le temps d’attente dans la file fut suffisant pour sympathiser puis nous fîmes la jonction entre nos groupes d’amis. Thibault m’accompagna tandis que Vincent continua sa tournée de drague. A la fin de la soirée je récupérais le numéro de Constantine en lui donnant rendez-vous pour le week-end.
Grisé par cette succession de conquêtes je pris de plus en plus confiance et le lendemain soir au café chéri j’interpellais une nana à la fermeture du bar qui se baladait avec un sceptre lumineux acheté à la sauvette. Cela me donna une bonne accroche, j’étais chaud et je ne me gênais pas pour lui faire passer le message de manière subliminal que j’aimerais passer la nuit avec elle. Elle nous proposa à Vincent et moi de la rejoindre avec ses potes au café Charbon près d’Oberkampf. On suivit son scooter avec la moto de Vincent. Sur place je fis monter la température sans trop m’intéresser à ses amies, Vincent s’en occupait. On finit par s’embrasser puis on décida de rentrer à pied chez moi. L’une de ses potes lui lança d’un air grivois un truc du genre « j’espère qu’il va bien te la mettre au fond ». La couleur était annoncée, on s’éloigna en donnant l’air de ne pas avoir entendu mais le souhait de son amie fut exaucé. Le matin, au réveil, on remit le couvert : je la fis jouir en la caressant puis je la pénétrais, elle me prévint qu’elle ne mouillait plus trop et que ça commençait à lui faire mal donc je me mis sur le dos et elle sur moi, cette position fit rapidement effet. Ensuite, après une douche, je la raccompagnai à son scooter.
En fin de journée je continuais mon marathon de dragues en retrouvant Constantine sur les quais de Seine en face de Bercy. Elle était toute fraîche, plus jeune que moi de plusieurs années. Comme elle devait bosser tôt le lendemain matin on se sépara en début de soirée après s’être embrassés. J’étais sur un nuage d’euphorie, je rejoignis la bande de dragueurs à la Nuba puis on se motiva à terminer la soirée au club de la Bellevilloise. Décidé à ne pas m’arrêter en si bon chemin je rattrapais une nana sur la piste de danse après l’avoir aperçue au comptoir. Ce fut rapide car elle voulait rester avec ses amies mais elle me donna son numéro et on se revit ensuite pour passer quelques nuits ensemble un peu trop bruyantes à mon goût.

Dimanche, je reçus Constantine chez moi pour dîner. En parlant de cuisine la veille, j’avais saisi l’occasion pour l’inviter à goûter à mon art culinaire. A peine était-elle arrivée que je ne résistais pas à lui enlever sa petite robe sexy, elle aussi en avait très envie, on fit l’amour avant même de passer à table. Puis on remit le couvert et elle me glissa d’un air malicieux « tu m’as tuée ». Cette semaine de folie se terminait en beauté.

American pie


La rentrée approchait, Fanny me proposa d’aller ensemble à la Braderie de Lille et j’étendis l’invitation à Vincent et Christophe. La veille du départ j’allais à la pendaison de crémaillère de Constantine et ses collocs à laquelle étaient conviés également mon inséparable duo de dragueurs qui ne se firent pas prier. Nous avions six ou sept ans d’écart avec la moyenne d’âge du groupe et ça se ressentait, on se serait cru à une soirée étudiante comme dans American Pie. Nous n’étions pas habitués à faire des grosses soirées dans les apparts, on privilégiait plutôt les bars.

Au milieu de la soirée, Constantine me susurra à l’oreille d’aller dans la salle de bain située juste à côté de l’immense salon cuisine où étaient tous les fêtards et elle me rejoindrait discrètement. C’est là où était l’unique toilette donc il ne fallait pas que l’on perde de temps. Aussitôt enfermés tous les deux, elle défit mon pantalon et se mit à genoux pour me sucer. Je n’en croyais pas mes yeux, là on était vraiment dans American Pie ! N’y tenant plus je la relevai et la pris debout contre le mur mais des amies jalouses ou à l’envie pressante commencèrent à tambouriner sur la porte, on se rhabilla donc en vitesse. Ce ne fut que partie remise, on se retrouva plus tard dehors pour se rouler des patins tandis que je lui caressais le sexe contre son pantalon. En fin de soirée, alors qu’il n’y avait plus grand monde et que nous étions installés dans un canapé, elle commença à me branler doucement à l’insu des personnes qui discutaient autour. Cette fois-ci on monta dans sa chambre située en mezzanine avec un rideau en guise de séparation et on baisa en silence tandis que les autres continuaient de faire la fête.

Le lendemain je me levais tôt pour attraper un train en direction de Lille où je rejoignis aussitôt Fanny. Je n’étais même plus étonné par cette vie multiple que je menais sans me poser de questions, passant d’une fille à l’autre. J’étais grisé, la vie me paraissait tellement simple désormais, mon plaisir personnel devenait mon unique boussole, je ne faisais plus de plans à long terme, je vivais au jour le jour.

On se reperdit de vue assez rapidement avec Fanny qui attendait plus d’engagement de ma part, ce à quoi je n’étais pas prêt, en particulier après cet été de folie que je venais de vivre. Par contre je commençais une relation ambiguë avec Constantine en tirant partie de notre relation stable pour avoir la garantie d’une activité sexuelle régulière tout en continuant de bénéficier d’une liberté de mouvement alors que je ne l’avais pas avertie de mes intentions. Pire, mon attitude laissait penser le contraire, voulant jouer sur tous les tableaux je me pris à l’inviter à des soirées où je la présentais à mes amis. Grave erreur qu’elle me reprocha logiquement quand je mis fin à notre relation.

Dernière modification par stephub ; 27/09/2020 à 02h49
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Vieux 26/09/2020, 23h11
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Envoie un mp à Ted69, c'est un des modérateurs.

Si t'es gentil, il le fera gentillement...

Malgré mon jeune âge, les American Pie ont vraiment apporté une touche de fraîcheur à mon jeu de séduction.
__________________
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  #36  
Vieux 10/10/2020, 11h39
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Salut, bon bah pas de réponse du modérateur mais je peux publier la suite si ça vous intéresse.
Bon week-end
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  #37  
Vieux 01/11/2020, 17h56
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CHAPITRE 5 : EXPLORATION DES ILES

« Je ne sais pas où je vais,
Ça je ne l’ai jamais bien su
Mais si jamais je le savais,
Je crois bien que je n’irais plus »
La rue Ketanou, Où je vais





Retour vers le passé 2

Malgré ma nouvelle vie de dragueur et ma métamorphose intérieure en l’espace de deux ans, le souvenir de Sonia continuait de revenir dans ma mémoire vive à intervalle régulier. Je tapais de temps en temps son nom sur Google pour avoir des nouvelles et regarder à quoi elle ressemblait mais cela ne suffisait pas à satisfaire ma curiosité. Lorsque j’avais appris sa relation avec l’autre type qui m’avait brisé le cœur, j’avais effacé son numéro de mon répertoire et je l’avais bloqué sur les réseaux sociaux donc c’était désormais encore plus difficile d’obtenir de ses nouvelles. Finalement je me décidais à la débloquer pour la recontacter dans l’intention de faire face à mon passé douloureux, maintenant que j’étais plus fort. Une sorte d’exorcisme.

Elle répondit à mon message sans paraitre trop surprise et on commença à échanger quelques nouvelles. Peu de temps après, je lui proposais de se voir. Elle accepta en me redonnant son numéro pour se fixer un rendez-vous à la rentrée fin septembre au parc de l’île de la Jatte, proche de chez elle.

J’arrivais un peu en avance pour avoir le temps de me préparer psychologiquement. On ne s’était pas revus depuis presque sept ans. Je ne savais pas trop ce que l’on allait se dire ni ce qu’il se passerait mais je n’étais pas trop anxieux, ma nouvelle carapace était désormais épaisse et je n’attendais plus grand-chose donc j’avais peu à perdre. Je me tenais debout face à la Seine avec de l’autre côté de la rive les tours du quartier d’affaires de La Défense qui s’élevaient dans le ciel. Soudain, je reçus son appel pour me prévenir qu’elle arrivait. Je tournai la tête et j’aperçus sa silhouette au loin qui s’approchait lentement vers moi. Le temps s’arrêta, je fus saisi par cet instant où elle apparut comme sortie tout droit de mes songes. La fille qui m’avait procuré beaucoup de joie mais par la suite davantage de douleur s’approchait de moi, me laissant découvrir peu à peu avec émotion les traits de son visage et les formes de son corps.

Retour sur terre, je fus un peu déçu, elle avait changé physiquement. Peut-être que ces longues années sans la voir avaient altéré mes souvenirs et que mon imagination avait ensuite comblé les trous avec plus ou moins de justesse. Sa voix qui m’avait tant envouté par le passé avait aussi changé, elle était plus frêle, moins affirmée, son visage s’était légèrement amaigri.

L’une de mes raisons pour la revoir était de lui montrer que j’avais progressé, que je n’étais plus le jeune homme gentil, timide et mal dans sa peau qu’elle avait connu, notamment à notre avant-dernière rencontre en Italie. Je ne voulais pas lui laisser ce souvenir de moi.

Il n’y avait pas d’intention de ma part de la séduire, simplement prendre de ses nouvelles et peut-être lui raconter ce que j’avais vécu et en quoi j’avais changé. Mais je n’aurais finalement ni la force ni l’envie, on se donna simplement des nouvelles assez classiques sur notre travail et la famille. Elle avait eu des soucis de santé qui l’avaient gêné dans sa vie quotidienne mais heureusement les examens médicaux n’avaient rien décelé de grave.
Sonia travaillait désormais à la Défense et avait acheté un appartement près de ce quartier. D’ailleurs elle me proposa de nous y abriter lorsque la pluie nous surprit. Etrange situation où je me retrouvais une nouvelle fois chez elle comme à Milan mais cette fois-ci je ne me faisais pas d’illusion. Nous prîmes le thé, j’hésitais à lui raconter l’impact indirect qu’elle avait eu sur ma vie mais je ne trouvais pas les mots donc je préférais en rester là et puis de toute façon elle commença à me faire gentiment comprendre qu’il était temps de m’en aller. Nous ne nous sommes pas revus depuis, je n’en ressens pas le besoin si ce n’est de la simple curiosité.
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Vieux 01/11/2020, 17h57
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Les affaires reprennent

Sans transition, je repris la drague un soir d’octobre au café chéri et je choppais une blonde avec qui ça devint rapidement très chaud entre nous en dansant sur la piste. Elle me tournait le dos puis s’accroupissait et remontait doucement en frottant ses fesses contre mon sexe dur, j’avais envie de la prendre sur le champ. L’issue de la soirée me paraissait évidente mais il n’en fut rien, à ma grande surprise elle s’engouffra à la fermeture du bar dans un taxi avec ses deux sœurs sans même me donner son numéro. J’étais dégouté.

Qu’à cela ne tienne, deux semaines après je retournais au café chéri avec mon petit frère. On but un verre puis il rentra chez lui car il bossait tôt le lendemain. Il était à peine onze heures du soir, pile au moment où les videurs rangeaient les tables et les chaises pour laisser de la place à l’intérieur afin de danser plus aisément. C’était par conséquent à ce moment que commençait la période propice à la drague car les nanas étaient plus accessibles en étant debout. Donc je décidais de rester seul à la surprise de mon frère. Bien m’en eut pris car je remarquais une brune assez classe au comptoir qui m’observait également. Je m’approchai d’un pas assuré et on entama la discussion : elle avait quelques années de plus que moi et me demanda ironiquement pourquoi je n’allais pas voir les plus jeunes. Je répondis avec un sourire charmeur que je faisais ce qu’il me plaisait sans me soucier du jugement des autres. Elle apprécia mon attitude désinvolte donc je continuai sur la même tonalité. Ses potes et elle étaient de gros fêtards et je me retrouvais rapidement embarqué dans des tournées de tequila paf endiablées. Je finis par l’emballer même si un de ses potes me dit bizarrement de me méfier. A la fermeture du bar on se dirigea chez moi mais elle refusa de monter, elle voulait que je la ramène chez elle en moto. J’avais bu plus que de raison mais comme je l’ai dit précédemment, celle-ci avait tendance à s’incliner devant la possibilité de conclure. Heureusement elle n’habitait pas trop loin et je fis attention à rouler lentement. Elle habitait un grand appartement de fonction du ministère des finances qu’elle partageait avec son jeune fils, heureusement ce n’était pas son tour de garde donc j’avais le champ libre.

On s’installa dans son canapé en se pelotant puis on se déplaça dans sa chambre mais je n’arrivais pas à bander à cause de l’alcool, elle mit donc fin abruptement aux caresses en me disant un truc du genre « ça ne sert à rien comme ça ». Plus tard dans la nuit je me réveillai avec la trique, elle ne dormait pas non plus mais comme je n’avais plus de capote et que nous étions très excités, on fit l’amour sans protection, je tâchai juste de ne pas jouir en elle. C’était stupide de ma part et la suite m’inciterait à faire plus attention.
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Vieux 01/11/2020, 17h58
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Dragues à l’étranger

Europe centrale avec Christophe

Quelques jours plus tard, au mois de novembre, je partis seul à la découverte de l’Europe centrale en train. Tout d’abord en Autriche sur les traces de mon écrivain préféré Stefan Zweig à Salzburg puis à Vienne. Ensuite direction Prague, Bratislava et enfin Budapest où Christophe me rejoindrait pour le week-end final.

Le voyage se passa bien, je contemplais les magnifiques paysages de la région de Salzburg avec des montagnes majestueuses surplombant des lacs immenses en étant confortablement installé sur un siège ou pendant des balades à pied. Les trajets en train étaient également propices à la méditation et à la lecture mais la solitude du soir devenait pesante. Arrivé à Prague, je me motivai à essayer de faire des rencontres. Tout d’abord dans un bar typique en m’adressant à mes deux jeunes voisines attablées à côté de moi. On discuta pendant un bon moment puis elles s’en allèrent après m’avoir donné quelques bonnes adresses. Suivant l’exemple de Thibault, qui m’avait raconté s’être servi avec succès de Tinder pendant un voyage en Amérique du Sud, je réactivais mon compte. Comme j’avais tout compris avec Free, le réseau 4G dans toute l’Europe me facilita la connexion. Je découvris les profils des nanas de Prague, c’était amusant même si finalement assez similaire à Paris avec une préférence pour les françaises !

N’étant là que le week-end, je le précisais dans mon descriptif en anglais pour éviter les malentendus et je lançais des hameçons en espérant que la pêche serait bonne. Le lendemain j’avais un match avec une russe du nom de Lola en vacances à Prague avec une copine. Au début je crus à une arnaque car elle était très jolie sur les photos et son nom me surprenais pour une russe mais notre discussion me rassura. On s’échangea nos numéros et je lui proposai d’aller boire un verre le soir-même dans un bar dansant au style rétro des années soixante que m’avaient conseillé les deux praguoises rencontrées la veille.

Je la retrouvai à l’entrée avec sa copine, elle était aussi jolie dans la réalité que sur ses photos. On rentra à l’intérieur et rapidement elle me fit comprendre d’un ton ironique et hautain que le lieu ne lui convenait pas. Son attitude tranchée me fit penser à Irina et ça n’était pas pour me déplaire, c’est sans doute un trait de caractère assez répandu chez les femmes russes. L’expérience m’apprit qu’il ne fallait pas trop s’en émouvoir, mieux vaut assumer ses goûts quitte à parfois déplaire plutôt que de s’incliner et donc décevoir. Elle trouva la musique ringarde mais je l’invitais quand même à danser histoire de créer de la complicité en la séparant de sa copine. C’était plutôt encourageant, puis on rejoignit son amie qui commençait à s’ennuyer. Histoire de me rattraper je leur proposais d’aller dans un club qui était recommandé par le Guide du Routard. Bien mal m’en eut pris, c’était une boîte glauque où tous les groupes de touristes mâles et bourrés se retrouvaient dans l’espoir de chopper. La musique électro était sans mélodie et le son était trop fort. Malgré tout je ne me dégonflais pas et leur offris un verre puis j’invitais Lola sur la piste de danse. Après quelques pas en décalage complet avec la musique, je la serrais dans mes bras et l’embrassais enfin. Ensuite elle retourna voir sa copine qui en avait marre de la soirée donc on finit nos verres et chacun rentra chez soi. Heureusement il nous restait encore un jour pour conclure.

On se vit le lendemain soir, seulement tous les deux cette fois-ci. Après avoir bu un cocktail dans un bar, on sortit dehors, je la dirigeais à pied vers mon quartier comme si de rien n’était. En arrivant au bas de mon immeuble je lui proposai de me suivre et elle accepta. On entra dans ma chambre, elle défit ses bottines et je l’allongeai sur le lit. Puis je la caressais en la déshabillant doucement. Je pris mon temps, elle commença à émettre des gémissements de plaisir lorsque je la pénétrais. Je la regardais se contorsionner, cachant sa tête sous l’oreiller par pudeur mais je le lui enlevais en la rassurant avec des caresses sur ses seins, ses cheveux. Elle planta ses ongles dans mon dos tandis que mon sexe dur s’enfonçait dans son vagin humide puis vint la jouissance finale. On resta ensuite longtemps serrés l’un contre l’autre sachant que le temps nous était compté. Au milieu de la nuit elle prit une douche et retourna à son hôtel en taxi car elle partait tôt le lendemain matin.

De mon côté je continuais mon périple en faisant un arrêt rapide à Bratislava sans grand intérêt puis je retrouvais mon compère Christophe à Budapest pour quatre jours. On découvrit les immenses bars underground de la capitale, bondés de touristes, avec de nombreuses salles aux décors dignes d’un lieu de tournage et qui occupaient parfois un immeuble entier. On tenta quelques approches sans trop de succès donc je réutilisais mon appli Tinder et ça marcha. Je matchais avec une hongroise qui parlait bien anglais, elle bossait dans l’équipe d’organisation du grand festival de musique Sziget. On se donna rendez-vous le lendemain en milieu de soirée, Christophe m’accompagnait et elle était également avec des amis. On se retrouva dans un bâtiment qui contenait plusieurs clubs de styles de musique variés, il y en avait pour tous les goûts. On discuta tout d’abord dans un bar à l’entrée puis elle nous emmena dans un club qui passait du rock Indie. Là, je déployais tous mes talents de dragueur diplômé sur piste de danse et l’étau se resserra petit à petit. Lorsque je parvins à l’embrasser langoureusement, elle me confia avoir eu deux ex français qui n’embrassaient pas aussi bien : l’honneur de la France était lavé !
Christophe était déjà parti depuis un moment lorsque l’on décida de s’en aller. Heureusement notre appart était sur le chemin de la hongroise donc cela me laissait un peu plus de temps pour la convaincre de finir la nuit ensemble. Elle me rétorqua qu’elle n’était pas pour les coups d’un soir mais je sentais qu’elle m’appréciait donc je m’accrochais. Finalement je ne descendis pas à mon arrêt de bus prétextant que je préférais la raccompagner jusqu’à chez elle pour sa sécurité. Lorsque nous arrivâmes à son immeuble, elle céda à la tentation.

C’était un peu le foutoir dans son appart mais j’étais bien mal placé pour donner des leçons. Elle mit la musique d’Amélie Poulain dont nous avions parlé pendant le trajet puis elle s’approcha de moi, je l’embrassais tout en la déshabillant. Je la pris debout contre sa cuisine puis on continua au lit. Elle était bien foutue avec de beaux seins arrondis et de jolies fesses bien rebondies, on baisa pendant un moment. Puis, comme je mettais du temps à jouir, je me tournai sur le dos et elle se mit sur moi, je l’aidais dans ses mouvements de haut en bas en appuyant mon bras sur son épaule pour que mon sexe s’enfonce profondément en elle et je finis par éjaculer. De retour le lendemain matin à l’appart, j’étais tout fier devant Christophe. Il était désormais temps de rentrer.
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Vieux 01/11/2020, 17h59
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Lisbonne avec Thibault

Début décembre, je continuais sur ma lancée de découverte des capitales européennes en m’envolant avec Thibault pour Lisbonne. C’était une ville très pittoresque, un grand village de maisons colorées adossées sur des collines et reliées par le tramway. L’ambiance dans les multiples troquets était très chaleureuse avec de bons petits plats. On se balada dans les rues l’après-midi puis on sortit dans les bars le soir. Thibault m’expliqua que malgré les histoires assez nombreuses qu’il avait eu avec les filles, il ne se sentait pas à l’aise pour draguer. Je lui fis part de mon expérience personnelle, de mes difficultés au départ et comment je les avais surmontées à ma manière après une prise de conscience. Je fis le parallèle avec la métamorphose de Walter White dans Breaking Bad (toute proportion gardée). Après avoir subi sa vie pendant de longues années avec son lot de petits renoncements de chaque jour par manque d’affirmation de soi, il finit par se rebeller contre toutes ces règles tacites de la société ou de son entourage qui le bridaient suite à un élément perturbateur : l’annonce de sa maladie incurable. Il devint alors progressivement un autre homme, ou plutôt il devint l’homme qui était caché en lui, retenu par ces normes de bonnes conduites suivant la morale de l’époque. Evidemment le résultat final ne fut pas positif pour tout le monde car c’était avant tout une aventure individuelle mais le personnage principal de cette série vécut un certain épanouissement, il alla au bout de ses capacités et de ses désirs jusqu’à se brûler les ailes au soleil de sa nouvelle puissance.

Thibault me raconta qu’il avait regardé des vidéos de Youtubeurs qui proposaient un programme de drague en commençant modestement par cinq prises de contact par jour avec des nanas sur des choses très simples comme demander l’heure. Je l’encourageais dans cette voie et il commença par un groupe d’espagnoles dans la rue en leur posant une question banale. Le contact passa bien, c’était encourageant donc on continua la méthode en faisant la tournée des bars. Quelques heures et verres plus tard on retrouva le groupe d’espagnoles et on sympathisa. Elles comptaient aller dans une boîte près des quais et elles nous proposèrent de les suivre. On hésita mais on récupéra quand même leur numéro et finalement on prit un taxi pour les rejoindre. Elles étaient déjà en train de faire la queue donc on s’incrusta mais bizarrement elles paraissaient plus distantes avec nous. Au moment de rentrer dans le club, elles passèrent devant le videur comme si elles ne nous connaissaient pas, celui-ci nous arrêta et nous sortit l’excuse classique de la soirée privée. Dégoûtés, on rentra se coucher.

Le lendemain soir on retrouva Martin, mon pote avec qui j’avais fait le marathon et qui se trouvait à Lisbonne avec ses amis le même week-end que nous par un pur hasard. On retourna dans le quartier des bars, le Bairro Alto, où l’on commençait à avoir nos habitudes. D’ailleurs on croisa à nouveau une française rencontrée la veille dans la rue, elle était avec une copine et on discuta pendant un moment au comptoir puis on passa à un autre bar. L’alcool bon marché coulait dans nos veines, on emmena Martin et ses potes dans un bistrot que l’on avait repéré la veille et qui ressemblait au café chéri par sa lumière rouge tamisée avec de la bonne musique et une piste de danse. Thibault était super chaud, il abordait des nanas à la pelle et je me mis dans son sillage. On fit connaissance avec de sympathiques allemandes lors d’une partie de babyfoot. Je tentai une approche avec l’une d’entre elles tandis que Thibault retourna sur la piste. Quand je le rejoignis après m’être fait gentiment éconduire, il était en bonne compagnie avec une fille du coin accompagnée d’une copine qui était malheureusement moins ouverte à la discussion. On termina ensuite tous les quatre dans une boîte où le videur nous avertit d’un air sérieux qu’il fallait payer six euros pour l’entrée sachant que le vestiaire et deux bières étaient inclus : on était bien, loin de Paris ! Après avoir bu mes deux consommations en observant la gent féminine à la recherche d’une ouverture, je me résolus à rentrer seul. Le lendemain matin, la chambre de Thibault était vide, j’étais content pour lui avec une petite pointe de jalousie. Il me fit bien rire avec son programme initial très modeste alors qu’en deux jours il se tapait une nana ! Soit dit en passant encore une jeune maman seule.

Madrid avec Vincent

Petit saut dans le futur afin de rester dans le thème : au mois de juin, Vincent avait prévu un voyage professionnel à Madrid et il me proposa de le rejoindre le week-end. On se loua un chouette appart dans un quartier animé de la capitale. Le temps était idéal, un grand soleil radieux illuminait les rues piétonnes où déambulait une foule joyeuse qui finissait bien souvent attablée sur l’une des nombreuses places de la ville. On retrouvait l’ambiance des bars à tapas d’Andalousie d’un précédent voyage et on se régala des mets locaux. C’était le début de la coupe du monde avec le premier match spectaculaire Espagne Portugal riche en actions d’éclats et en rebondissements, l’ambiance était très animée. On fit beaucoup de pauses dans les cafés pour regarder les matchs dont bien sûr le premier de l’équipe de France qui fut bien décevant contre l’Australie mais heureusement ils sauraient se rattraper de la plus belle des manières !

Ensuite on passa à la visite nocturne des endroits animés de la capitale pour repérer les bars propices à la drague en se basant sur la norme café chéri. On en trouva un qui n’était pas très spacieux mais la musique était bonne et il n’y avait pas de chaises à l’intérieur donc tout le monde restait debout, ce qui facilitait les prises de contact. On s’exerça avec Vincent sans trop de réussites puis on se dirigea dans le centre à la recherche d’une boîte. On rencontra des françaises avec qui on sympathisa mais elles étaient en plein barathon avec leur groupe de l’auberge de jeunesse et on n’avait pas assez de motivation donc on préféra rentrer se coucher.

Le lendemain on se fit un bon déjeuner à l’heure espagnole puis on se balada au hasard des rues en faisant une petite sieste dans un parc par respect des coutumes locales. A la nuit tombée, on resta dans notre quartier qui était plus authentique que le centre et on testa les bars locaux à la recherche de rencontres. Vincent s’en sortit mieux que moi, je l’attendais dans la rue en fumant tandis qu’il discutait à l’intérieur avec une jolie anglaise. Puis on retourna au petit bar de la veille qui nous rappelait le café chéri, Vincent se débrouilla bien avec une belle blonde puis on engagea la discussion en binôme avec deux espagnoles. Elles n’étaient pas très jolies mais on décida quand même de tenter notre chance car il était déjà tard. On les suivi dans un autre bar, l’alcool nous aiderait peut-être à se décider. Finalement elles mirent fin à nos hésitations en nous conseillant d’aller voir ailleurs car on méritait mieux et elles s’en allèrent. Fatigués, on rentra se coucher une nouvelle fois bredouille mais c’était déjà bien d’avoir pu s’exercer. No pasamos.
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