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  #1  
Vieux 25/07/2017, 14h56
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Par défaut Comment se fixer des objectifs professionnels?

Bonjour,

Cette question va sûrement paraître simpliste pour bcp d'entre vous mais pour ma part, elle a toujours été un grand mystère. Ces dernières années, autant sportivement que socialement, j'ai effectué une large progression... mais professionnellement c'est le néant.

Je n'ai aucun objectif professionnel... pourtant je voudrais tellement m'en fixer et arrêter d'avancer aveuglement. Je vous explique:
Depuis tout petit, je n'ai jamais su quoi faire comme métier même après avoir reçu mon CESS (= bac général en France). J'ai été fortement influencé par mon entourage et j'ai fait 3 études complètement différentes: informatique, éducation physique, marketing. J'ai arrêté car ça ne me convenait pas.

Après avoir été inactif pendant plus d'un an, je vais entamer une formation dans la vente en septembre. Je me suis renseigné et j'ai participé aux séances d'infos. Mais j'ai l'impression de choisir cette formation parce que je n'ai pas d'autre choix, car je n'arrive pas toujours pas à savoir, à 26 ans, ce que je veux faire le reste de ma vie.

Cette situation m'affecte énormément. J'ai compris que si je veux avoir entièrement confiance en moi, je dois être d'abord comblé professionnellement. Lorsque je rencontre quelqu'un, je redoute toujours quand la personne va me demander ce que je fais dans la vie. Après, il y a un certain malaise qui s'installe, sûrement de ma faute car j'ai du mal d'assumer.

C'est pas facile d'en parler, mais je sens comme un étau se resserrer et j'ai besoin de conseils. De plus, je n'ai personne à qui en parler. Ma famille pense plus à faire des blagues sur mon statut de chômeur qu'à vouloir comprendre le fond de mon problème.

Dernière modification par LockeR ; 25/07/2017 à 15h13
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  #2  
Vieux 25/07/2017, 17h37
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Bonjour Locker.

Avant de te répondre, comprends bien que ce que je vais te dire n'engage que moi, et que d'autres personnes peuvent évidemment avoir une philosophie du travail bien différente.

La première question qu'il faut se poser selon moi c'est pourquoi travailler?

Souvent on se demande ce qu'on veut faire, ce qui nous plait, dans quel domaine on serait le mieux? Et ce sont des questions légitimes évidemment mais selon moi la première question c'est POURQUOI bien avant le COMMENT.

Perso ma motivation ca a été ma femme. Pas parce qu'elle est vénale mais parce que je savais qu'elle avait un certain niveau de vie que je voulais pouvoir suivre, et qu'elle même attachait une grande importance à la carrière.
C'est probablement pas le top comme motivation de départ, c'est mieux que ca vienne de toi évidemment, mais moi c'est ce qui m'a lancé dans la vie professionnelle "légale".

D'un autre coté je ne voulais pas sacrifier mon lifestyle, et j'avais besoin de beaucoup de temps pour voyager. J'ai donc choisi d'être commercial indépendant, j'essayais de faire mon chiffre annuel en 6 mois, et les autres 6 mois je voyageais.
En bon commercial de province je ne faisais pas un taf que j'aimais, mais j'étais quand même super motivé, et donc efficace et donc je progressais et j'évoluais.

Tu vois ou je veux en venir? Choisir un boulot comme une finalité, et donc choisir quelque chose qui te plait c'est une solution certes, mais pas la seule.
Tu peux aussi voir ton boulot comme un moyen pour accéder à autre chose.

Trouve toi une source de motivation, quelque chose qui te permettra de persister et de t'améliorer.


Quand aux gens qui te font des remarques sur ta condition de chômeur, tu leur pisses dessus: famille ou pas famille.
Si quelqu'un est assez con pour être fier de "travailler" libre à lui. La "valeur travail" tu l'emmerdes. Bosse pour bouffer, pour voyager, pour le plaisir bref peu importe. Mais ne bosse jamais pour cette pression sociale de merde qui nous explique que pour être un mec bien il faut être une pute du système.
Ceux qui évaluent ton grade social en fonction de ton poste professionnel ou de ton salaire ce sont des connards incultes et je pèse mes mots.

Le malaise dont tu parles, il est là parce que tu n'assumes pas, pas parce que tu ne travailles pas retiens bien ca. Tu n'es pas ton travail.
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  #3  
Vieux 25/07/2017, 17h52
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C'est puissant ce que tu dis Notic.


Citation:
Envoyé par Notic Voir le message
Souvent on se demande ce qu'on veut faire, ce qui nous plait, dans quel domaine on serait le mieux? Et ce sont des questions légitimes évidemment mais selon moi la première question c'est POURQUOI bien avant le COMMENT.

Perso ma motivation ca a été ma femme. Pas parce qu'elle est vénale mais parce que je savais qu'elle avait un certain niveau de vie que je voulais pouvoir suivre, et qu'elle même attachait une grande importance à la carrière.
C'est probablement pas le top comme motivation de départ, c'est mieux que ca vienne de toi évidemment, mais moi c'est ce qui m'a lancé dans la vie professionnelle "légale".

D'un autre coté je ne voulais pas sacrifier mon lifestyle, et j'avais besoin de beaucoup de temps pour voyager. J'ai donc choisi d'être commercial indépendant, j'essayais de faire mon chiffre annuel en 6 mois, et les autres 6 mois je voyageais.
En bon commercial de province je ne faisais pas un taf que j'aimais, mais j'étais quand même super motivé, et donc efficace et donc je progressais et j'évoluais.

Tu vois ou je veux en venir? Choisir un boulot comme une finalité, et donc choisir quelque chose qui te plait c'est une solution certes, mais pas la seule.
Tu peux aussi voir ton boulot comme un moyen pour accéder à autre chose.

Trouve toi une source de motivation, quelque chose qui te permettra de persister et de t'améliorer.

Tu as réussis à mettre des mots sur des pensées que j'ai ces derniers temps et que je n'arrivais pas à formuler.

Merci amigo!
__________________
Tout est parfait
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  #4  
Vieux 26/07/2017, 14h16
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@Notic:

C'est vrai que j'ai tendance à chercher à trouver mon idéal avant de me poser la question du pourquoi. Je n'y accorde surement pas assez d'attention, tu as raison. Ma motivation pour travailler serait plutôt matériel : une voiture. Ensuite, ce serait d'avoir mon petit chez moi. Dans les deux cas, ça tourne autour de l'indépendance.

Oui j'ai bien compris où tu voulais en venir Même si on ne fait pas ce que l'on aime, la motivation pour le faire est plus importante !

Je ne dis pas non plus que je me fais juger car je ne travaille pas, les gens qui me dénigrent pour ça, je ne m'y intéresse pas. Après la famille, ça reste la famille j'essaie juste de ne pas me laisser affecter.. même si par moment ils se demandent pq je tire la gueule.

Je te remercie d'avoir partagé ton point de vue

Dernière modification par LockeR ; 26/07/2017 à 14h22
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  #5  
Vieux 26/07/2017, 15h06
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Témoignage rapide :

Mon beau père s'amusait à me chier dessus en tant que chômeur (sachant que j'avais eu des postes dont il ne pouvait rêver). Je bâtissais pendant 1an et aujourd'hui ça marche et gagnes suffisamment pour ne pas avoir bossé réellement ces 2 dernières années.

Lui ? Il s'est fait viré comme un malpropre à 5ans de la retraite. Qui est le parasite aujourd'hui quand il ne fout rien ? Avec une petite délation à popole et le voilà sans un sous si j'étais une enflure.

La roue tourne, on emmerde royalement ceux qui chient sur les chômeurs, car être "demandeurs d'emploi" ou "chercheur d'emploi", ça ne fait pas de nous des faignasses. Ca arrive à chacun car la roue tourne et là tu vois celui qui ne comptais que sur son job et non sur lui.

Courage à vous deux mais pouvez-vous vous poser juste une question :

Que faut-il faire pour arriver à être heureux ?

C'est tout con comme question car le "pourquoi" est la bonne question, je remercie grandement mon VDD pour vous le proposer, c'est très profond et c'est le début de la solution.

Allez, d'autres questions en vrac :

- Que voulez-vous bâtir ?
- Etes vous créatif et inventif ?
- Améliorer l'existant, est-ce copier bêtement pour vous ?
- Travailler avec qui ? (ne travaillez pas seul, un bon conseil que je vous donne)
- Comment vous voyez-vous dans 5/10/50ans ?
- L'argent fait-il le bonheur ?
- Avoir une voiture, ok, mais faut-elle qu'elle soit de luxe ou c'est juste le moyen de transport qui vous intéresse ?
- Préférez-vous les choses utiles que celles qui donnent un "social proof" ?
- Où en êtes-vous sur le regard des autres ?
- Avez-vous assez confiance en vous pour déplacer des montagnes ?
- Quels sont vos rêves de gamin ? Sont-ils aujourd'hui possible ?
- De quelles aides avez vous besoin ?
- Etes-vous motivés ?

- Pourquoi voulez-vous bosser ?

Cette dernière, elle est excellente et ça réunit un peu tout avant. J'aurais pu en mettre une cinquantaine de plus sûrement. C'est le pourquoi qui importe, et il s'agit que de vous, pas du climat ambiant, pas de la famille, du qu'en dira-t-ton, de la société, de votre pays, de votre famille, de vos amis, de votre queue, etc.

Soyez maître de votre destin et oui,; c'est dure, faut parfois faire le sacrifice de bosser comme un con 14H par jour pendant 1an pour bâtir. Les gens vous prendront pour un fou, laissez dire tant que vous savez "pourquoi" vous bossez. Ca rapporte, plus tard, mais va falloir se sortir les doigts du cul pour aller vers ses rêves, ses idéaux, quitte à se couper des vieux (et je parle bien des petits jeunes d'aujourd'hui) qui pensent comme les grands parents, la preuve :

Citation:
car je n'arrive pas toujours pas à savoir, à 26 ans, ce que je veux faire le reste de ma vie.
C'est comme pour Testobobo (je t'adore toujours autant dans tes réflexions pertinentes) : un job, ce n'est pas ta vie ou le reste de ta vie. C'est comme si mon boulot me définissait et tout le monde dans mon entourage a compris que ce n'était pas cela : c'est ma morale, mes idéaux envers mon prochain. Fuck le job en tant que tel, c'est toi qui fait ton job désormais et on emmerde complètement ce vieux monde du "je fais quoi le reste de ma vie". Cassez vos chaînes, c'est votre génération qui doit montrer l'exemple désormais et pas un vieux de 33 balais comme moi.

Rrrrahhh ces petits jeunes qui pensent comme des vieux cons...
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  #6  
Vieux 26/07/2017, 22h21
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AlexandreDeMacedoine AlexandreDeMacedoine est déconnecté
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Bonsoir,

J'ai été confronté au même problème mais j'ai choisi néanmoins de toujours avancer et de prendre ce qui arrivait. J'arrive maintenant à 1 an et demi de mon premier travail et je commence à sentir un vide. D'ailleurs, j'avais aussi envie de demander conseil mais pas grave.

La première chose est que le travail est pour la plupart des gens un besoin (indirect : argent) et non pas seulement une envie !
Donc je pense qu'il faut être pragmatique et donc apprendre à faire des concessions, choisir quelque chose qui ne nous motive pas à 100% mais qui est quand même associé à quelques éléments importants pour nous.

Le travail peut être un moyen, un moyen d'atteindre une autre situation. Les postes au départ sont rarement à 100% satisfaisants : tu commences donc tu n'es pas à une position ultra-bandante et tu dois faire tes preuves.
L'idée est selon moi de réfléchir plutôt aux endroits où ces travaux peuvent t'amener et de dresser les tableaux liés à cette évolution.

Après tu peux les jauger selon quatre axes :

- ce que tu aimes
- ce que tu aimes moins
- tes forces
- tes faiblesses

Voilà
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  #7  
Vieux 26/07/2017, 22h32
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Excellent !

Oui, on évolue dans un même poste pour des tâches mieux payés et plus intellectuels.

Malheureusement les conditions de travail se détériorent en France. Même la startup a ses difficultés.

Hanneman offre une piste : créez votre boulot les gars. Tout le monde peut le faire (avec des risques) mais le barrage premier est le climat et de devoir désapprendre ce que l'on nous as inculqués.

Je ne dirais jamais "si je l'ai fais, vous pouvez le faire", car c'est vraiment hard de se mettre en danger. C'est du sacrifice pour un avenir meilleur et je comprend qu'on ne le fasse pas, j'en ai chié, vraiment, d'ailleurs mon malaise et mal-être s'est ressenti ici à mes débuts.

Donc, j'arrêtes aussi le "si je suis devenu attirant, tout le monde le peu", bien que merde, si j'ai réussi dans ce domaine, c'est complètement fou !!

Filles puis boulot, et si on prenait à l'inverse sans dire "je l'ai fais alors vous aussi" ?

Putain, j'étais dans le mauvais conseil pendant tant d'années j'ai l'impression, mais c'est bien le message de nos gourous (non, pas Sélim, arrêtez de voir le mal partout !). Pourtant, ça m'a fait bougé et réussir là où je voulais. Ma réussite ne sera pas à la hauteur de la votre pour ceux qui veulent la Ferrari !
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  #8  
Vieux 27/07/2017, 15h58
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C'est marrant hier soir j'ai reçu un email du forem (pole emploi) me proposant la formation qui m'intéressait il y a deux mois, mais qui n'était ni disponible ni planifiée ! Apparemment c'est chose faite et j'ai reçu une invitation à m'y inscrire

@Make-Me
C'est vrai qu'en relisant ma phrase...
Citation:
"car je n'arrive toujours pas à savoir, à 26 ans, ce que je veux faire le reste de ma vie."
...ça fait penser à une personne en fin de carrière. Alors que lorsque je l'ai écrite, je pensais que c'était une question de jeune de 18 ans.

J'ai bien compris où tu voulais en venir. J'ai déjà réfléchi à la question de travailler avec qui? En tout cas travailler seul n'est sûrement pas une option pour ma part. Tu as déjà expérimenté ça?

33 balais c'est encore jeune ! Arrête donc de penser comme un vieux con voyons
Merci pour tout ce que tu as dis, ça m'ouvre l'esprit et me permet de réfléchir plus productivement !

@AlexandreDeMacedoine

Oui bien d'accord avec toi, c'est comme grimper à une échelle, on y va échelon par échelon. Je te souhaite bon courage!
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  #9  
Vieux 27/07/2017, 16h14
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Hello LockeR,
message touchant.

Les autres membres ont déjà donné de très bonnes pistes,
je vais ajouter un éclairage différent, venu en lisant récemment un bouquin sur les "late bloomers", des gens qui trouvent leur but, leur raison de vivre, vers 40-50-60 ans.

Tu as 26 ans.
Je te dirais que tu as la chance d'être en avance sur ton questionnement.

Essaie de répondre aux questions posées plus haut.
Renseigne-toi, rencontre du monde.

Je n'ai jamais cru que TOUT LE MONDE ferait le job qui lui plaît. Je pense que c'est irréaliste.
Certains sont plus doués pour faire le dos rond et encaisser les sales journées dans des jobs qu'ils n'aiment pas. (Typiquement, Eros, mon meilleur ami. Il n'aime pas son job mais sait pourquoi il y est, pourquoi il le fait, quel objectif il veut atteindre. Il a pris un truc où il était plutôt bon, mais son dream job est à mille lieues de ce qu'il y a écrit sur sa fiche de paie. Parfois j'ai peur pour lui, j'ai peur qu'il gâche son talent qu'il pourrait mettre à profit ailleurs. Mais après, je me rappelle qu'on n'est pas tous égaux face au risque. Face à la prise de risque.)

A toi de voir le matelas financier dont tu disposes si tu veux prendre du temps pour "te trouver".
A toi de voir la force intérieure, la force de caractère que tu as pour encaisser tous les gens qui te demandent au quotidien "bon alors tu fous quoi ?"

Si j'ai un seul conseil applicable immédiatement : lis WIRED, Frenchweb, Maddyness, regarde où ça recrute, regarde quelles sont les bonnes idées du moment, mais surtout, apprends une compétence qui te servira toute ta vie : la vente.

On est tous vendeurs à un moment donné dans notre vie. En séduction, en entretien d'embauche, face à une fonctionnaire qui a notre sort entre ses mains.
Quel que soit le domaine vers lequel tu décideras de t'orienter : lis d'abord INFLUENCE et MANIPULATION de Cialdini, et CARNEGIE.

Bonnes lectures, bonne réflexion,
on est là
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  #10  
Vieux 27/07/2017, 17h33
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Carnegie le livre qui a changé totalement ma vie professionnelle!

Je suis passé en un an du commercial qui va faire son plein avec des pièces jaune à top vendeur de ma boite. (Bon on n'était que 7 mais quand même!) Au de là des résultats, ca m'a aidé à trouver du plaisir dans un boulot que je détestais, en prenant ca comme un jeu ou je conscientisais toutes mes interactions dans le but d'atteindre un objectif.
C'est à la fois simple et extrêmement puissant.

Vraiment ce livre "Comment se faire des amis" et "Le Prince" de Machiavel, ce sont ceux qui m'ont le plus aidé dans le commerce.
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