[Marcel]

Salut à tous chers ADSiens. J’ai besoin de vous partager une réflexion, et trouver des pistes d’amélioration. Ce qui va suivre sera à prendre dans un contexte de séduction, car c’est le domaine où ma problématique est la plus flagrante.

J’ai un gros manque d’affection à combler, et c’est quelque chose que j’ai beaucoup de mal à maitriser. Une des conséquences de ce manque est que je m’attache très vite à peu et inconsciemment. Une autre conséquence est que lorsque je suis avec une fille j’ai toujours le besoin de faire des câlins. Même si j’en vois une uniquement pour du cul je vais toujours lui faire des câlins et beaucoup discuter. Souvent après avoir fait nos petites affaires. Je me sentirais limite mal de juste coucher avec une fille, de repartir ensuite sans avoir cette « tendresse ».

En fait le problème est que je n’arrive pas à gérer ces choses-là. Au jour d’aujourd’hui je m’estime incapable d’avoir sereinement un plan cul, vu comment le dernier s’est terminé (on s’est tous les deux attachés, dans les faits on avait pas du tout une relation que pour du cul).Je suis assez dépendant de ces choses-là, ce qui m’handicape pas mal pour vivre correctement ce que je veux faire. Mes actions sont soulageantes à très court terme, et encore… C’est très frustrant de ne pas savoir se maîtriser.
La seule fois où je ne l’étais pas c’était avec mon ex, car j’avais le loisir de combler ce gouffre affectif. Une relation qui s’est mal terminée en partie pour ça et pour d’autres choses, mais c’est un autre sujet.

Maintenant que j’ai fait un bref topo je peux vous exposer ce que j’ai prévu pour mieux vivre ce manque :

- J’ai toujours vu les filles comme le seul moyen de remplir ce manque. Je suis assez froid physiquement avec mes parents, ma famille et même avec ma petite sœur. Je ne suis câlin qu’avec les filles. Je me demande si je peux trouver un espèce de défouloir affectif, pour avoir des relations moins imprégnées de ce manque.
- Je pense avoir suffisamment de recul sur moi-même pour repérer les situations à risque. Je m’explique : chaque occasion pour moi de combler mon manque affectif est une occasion de m’attacher et de souffrir. Si je peux les éviter un maximum je dois le faire, comme par exemple ne pas perdre de vue mes objectifs avec une nana, si je me laisse vivoter je sais très bien que je vais chercher à combler mon manque avec elle. Pas très séduisant en plus

Tout ceci implique un travail de tout les jours, et de rester toujours critique mes actions. Comment rendre ce travail de contrôle moins difficile ? J’espère que trouver un défouloir peut rendre le manque moins pénible, et donc plus facile à gérer. C’est comme quand on arrête de fumer, moins on a de cigarettes autour de soi quand on arrpete plus c’est facile de se contrôler.
Un autre point à ne pas négliger est d’éviter les choses dans ma vie qui exacerbent ce manque affectif. Je ne détaille pas volontairement ce point, le sujet d’aujourd’hui c’est mon manque et pas ce qui influence ce manque.

En conclusion :

Objectifs : mieux vivre et accepter mon manque, sortir de la fatalité, et pourquoi pas en faire une force si c’est possible.
Moyens : trouver un défouloir, éviter les situations glissantes, toujours aller à l’essentiel, comme se limiter au strict minimum avec les targets dont l’objectif n’est clairement pas d’avoir une relation platonique et épistolaire. Si j’ai besoin de parler j’ai d’autres personnes pour ça.

Si vous avez des remarques, interrogations, conseils, expériences n’hésitez pas

[xy01]

J'ai lu des tas de choses sur la dépendance affective....mais rien n a marché. Quand j'y entre j'ai beaucoup de mal à en sortir!

[Oncle Barney]

Envoyé par Netskil

J’ai un gros manque d’affection à combler, et c’est quelque chose que j’ai beaucoup de mal à maitriser. Une des conséquences de ce manque est que je m’attache très vite à peu et inconsciemment. Une autre conséquence est que lorsque je suis avec une fille j’ai toujours le besoin de faire des câlins. Même si j’en vois une uniquement pour du cul je vais toujours lui faire des câlins et beaucoup discuter. Souvent après avoir fait nos petites affaires. Je me sentirais limite mal de juste coucher avec une fille, de repartir ensuite sans avoir cette « tendresse ».

En soi, je ne vois pas où est le problème. Je suis pareil. J'ai besoin souvent plus de tendresse que de cul. Et j'assume. Parce que j'ai besoin d'une connexion avec la fille, j'ai besoin de lui faire confiance. Et ça passe par ça.
Donc quel est le problème exactement? Penses tu que c'est ce qui te mène à cet attachement dont tu parles ensuite?
Je suis la preuve en tout cas que ce n'est pas le cas et que la tendresse ne provient pas d'un besoin se s'attacher.

Envoyé par Netskil

Au jour d’aujourd’hui je m’estime incapable d’avoir sereinement un plan cul, vu comment le dernier s’est terminé (on s’est tous les deux attachés, dans les faits on avait pas du tout une relation que pour du cul).Je suis assez dépendant de ces choses-là, ce qui m’handicape pas mal pour vivre correctement ce que je veux faire. Mes actions sont soulageantes à très court terme, et encore… C’est très frustrant de ne pas savoir se maîtriser.

Quand tu es dans cette situation de plan cul - prenons par exemple la dernière fois que ça t'es arrivé - qu'attends tu de la fille au départ? Est ce que tu es dans l'instant présent et tu profites des sensations? Est ce que tu te projettes avec elle sur ce que vous allez faire? Est ce que tu essaies de te mettre à sa place pour savoir ce qu'elle pense? Qu'est ce qu'il se passe dans ta tête?

Envoyé par Netskil

- J’ai toujours vu les filles comme le seul moyen de remplir ce manque. Je suis assez froid physiquement avec mes parents, ma famille et même avec ma petite sœur. Je ne suis câlin qu’avec les filles. Je me demande si je peux trouver un espèce de défouloir affectif, pour avoir des relations moins imprégnées de ce manque.

Déjà, je suis très gêné par l'emploi de "défouloir affectif". On est en train de parler d'un besoin fondamental de l"être humain quand toi tu en parles limite comme une maladie. Tu confonds l'origine de ton problème avec la MANIFESTATION de ton problème. C'est comme si tu disais que dormir était un problème et que tu cherchais des palliatifs à ça
Commence donc par considérer ce qui t'arrive d'un oeil moins dur.

Ensuite, t'es tu renseigné sur l'origine générale d'un tel manque affectif? As tu fait des recherches?
De ce que je lis de ton message, je pense que tu manques d'information sur le sujet (ce qui te fait avoir cette perspective un peu agressive sur ce qu'il t'arrive)
Si je te dis ça, c'est pour évite de te faire parler ici de ton enfance et ta famille, pour que tu fasses ce travail seul chez toi.
Une fois que tu auras compris ça, tu changeras déjà pas mal ta vision du problème

Envoyé par Netskil

- Je pense avoir suffisamment de recul sur moi-même pour repérer les situations à risque. Je m’explique : chaque occasion pour moi de combler mon manque affectif est une occasion de m’attacher et de souffrir. Si je peux les éviter un maximum je dois le faire, comme par exemple ne pas perdre de vue mes objectifs avec une nana, si je me laisse vivoter je sais très bien que je vais chercher à combler mon manque avec elle. Pas très séduisant en plus

Ce que je te propose, c'est de faire au cas par cas. Prendre le taureau par les cornes et écrire comme tu le fais ici à chaque fois qu'il y a une situation potentielle. C'est là que tu vas pouvoir travailler ça, à chaud. Et tu verras au cas par cas ce qu'il en est.

Mais comprends qu'il est improductif de réfléchir de manière trop générale, en parlant de ton problème de manière si absolue (telle une maladie comme je te l'ai dit). J'ai l'impression que tu globalises ton mal, tout ça semble flou. Parce que c'est ce discours qui rend le changement si difficile. Alors que si tu prends chaque problème un par un, tu circonscris ça à une situation et tu mobilises ton énergie juste pour cet élément, sans en faire des caisses.

Est ce que tu vois le truc?

[Marcel]

Envoyé par 'Barney'

En soi, je ne vois pas où est le problème. Je suis pareil. J'ai besoin souvent plus de tendresse que de cul. Et j'assume. Parce que j'ai besoin d'une connexion avec la fille, j'ai besoin de lui faire confiance. Et ça passe par ça.
Donc quel est le problème exactement? Penses tu que c'est ce qui te mène à cet attachement dont tu parles ensuite?
Je suis la preuve en tout cas que ce n'est pas le cas et que la tendresse ne provient pas d'un besoin se s'attacher.

En fait le truc c'est que je sur-investit toutes mes relations, sérieuses ou non. Je ne m’enflamme pas à la moindre occasion non plus. Le truc c'est que je suis extrêmement réservé en dehors, et lorsque je me sens en confiance avec une fille je me lâche complètement, d'où ces " débordements" d'affection, qui dans ma vision des choses (assez déformée) n'ont pas forcément lieu d'être. Aussi quand je me lâche je vais beaucoup parler, je vais donc voir la personne en face de moi comme quelqu'un à qui je peux me confier, d'où l’attachement. Je vais donc confondre une fille qui sait écouter dans toutes circonstances et une fille qui veut s'impliquer avec moi.

Envoyé par 'Barney'

Quand tu es dans cette situation de plan cul - prenons par exemple la dernière fois que ça t'es arrivé - qu'attends tu de la fille au départ? Est ce que tu es dans l'instant présent et tu profites des sensations? Est ce que tu te projettes avec elle sur ce que vous allez faire? Est ce que tu essaies de te mettre à sa place pour savoir ce qu'elle pense? Qu'est ce qu'il se passe dans ta tête?

Avec cette fille ou les deux dernières (y'a eu du mouvement depuis mon dernier message) je les vois dans un cadre de coup d'un soir, que je revois ensuite, comme faire des dates où je couche à chaque fois. Depuis quelque temps je me dis que je ne veux rien de sérieux car je ne m'estime pas capable de gérer une LTR correctement. Et quand on se voit vu que je me lâche beaucoup j'ai souvent du mal à savoir ce qu'elles veulent, elle préfèrent m'écouter. J'ai pas encore trouvé de filles directives sur ce qu'elles veulent.

Envoyé par 'Barney'

Déjà, je suis très gêné par l'emploi de "défouloir affectif". On est en train de parler d'un besoin fondamental de l"être humain quand toi tu en parles limite comme une maladie. Tu confonds l'origine de ton problème avec la MANIFESTATION de ton problème. C'est comme si tu disais que dormir était un problème et que tu cherchais des palliatifs à ça
Commence donc par considérer ce qui t'arrive d'un oeil moins dur.

Tu as vu juste, bravo. En fait j'ai un problème avec ma valeur, j'infériorise beaucoup, mais pas par rapport aux autres, juste une dévaluation de ce que je suis. j'ai beaucoup de mal à accepter que l'on puisse me dire que je suis un mec bien, intéressant, plaisant, où même que je suis un bon coup (entendu hier, pas encore digéré). Je pense pouvoir dire sans faire d'erreurs que ce problème de valeur conduit à mes sur-investissements, ce que je voyais comme un manque d'affection. Je pense avoir bien replacé le rapport cause-conséquence ici.

Envoyé par 'Barney'

Ensuite, t'es tu renseigné sur l'origine générale d'un tel manque affectif? As tu fait des recherches?
De ce que je lis de ton message, je pense que tu manques d'information sur le sujet (ce qui te fait avoir cette perspective un peu agressive sur ce qu'il t'arrive)
Si je te dis ça, c'est pour évite de te faire parler ici de ton enfance et ta famille, pour que tu fasses ce travail seul chez toi.
Une fois que tu auras compris ça, tu changeras déjà pas mal ta vision du problème

ça fait assez longtemps que je ne suis pas allé voir ma psy, je pourrais traiter les causes profondes de ce sujet avec elle, on avait commencé à effleurer la chose il y a quelques moi, mais j'avais suspendu mes séances pour me donner à fond dans mon année, je ne pouvais plus me permettre.

Envoyé par 'Barney'

Ce que je te propose, c'est de faire au cas par cas. Prendre le taureau par les cornes et écrire comme tu le fais ici à chaque fois qu'il y a une situation potentielle. C'est là que tu vas pouvoir travailler ça, à chaud. Et tu verras au cas par cas ce qu'il en est.

Est-ce qu'un journal serait adapté pour ce type de réflexions ? ou disons plutôt que j'y ai déjà pensé, sans savoir si je serais capable de tenir un journal correct.

Envoyé par 'Barney'

Mais comprends qu'il est improductif de réfléchir de manière trop générale, en parlant de ton problème de manière si absolue (telle une maladie comme je te l'ai dit). J'ai l'impression que tu globalises ton mal, tout ça semble flou. Parce que c'est ce discours qui rend le changement si difficile. Alors que si tu prends chaque problème un par un, tu circonscris ça à une situation et tu mobilises ton énergie juste pour cet élément, sans en faire des caisses.

J'étais aussi absolu car j'ai écrit ce message sous le coup d'un malaise global. toutes les choses difficiles qui ont pu m'arriver depuis au moins 2/3 ans ne sont pas toutes digérées ni évacuées. Vu que j'exprime très peu rien de ce qui est rentré est ressorti. Je sais que ce n'est pas sain, tout fini par ressortir.

Envoyé par 'Barney'

Est ce que tu vois le truc?

Déja merci pour ton message, et oui j'ai une vision plus claire. j'ai pas mal vidé mon sac hier soir avec cette fille (http://forum-seduction.artdeseduire....-new-post.html), disons qu'elle a trouvé le moyen de me faire parler sur ce qui me tracassait depuis quelques jours, donc j'ai tout lâché. Autrement dit j'ai versé quelques larmes, ce qui est très rare chez moi, trop peut-être. Maintenant ça va un peu mieux, même si je reste quelqu'un de très torturé (ce sont ses mots, je les trouvent très juste).

[Oncle Barney]

Envoyé par Netskil

En fait le truc c'est que je sur-investit toutes mes relations, sérieuses ou non. Je ne m’enflamme pas à la moindre occasion non plus. Le truc c'est que je suis extrêmement réservé en dehors, et lorsque je me sens en confiance avec une fille je me lâche complètement, d'où ces " débordements" d'affection, qui dans ma vision des choses (assez déformée) n'ont pas forcément lieu d'être. Aussi quand je me lâche je vais beaucoup parler, je vais donc voir la personne en face de moi comme quelqu'un à qui je peux me confier, d'où l’attachement. Je vais donc confondre une fille qui sait écouter dans toutes circonstances et une fille qui veut s'impliquer avec moi.

Ce comportement est autant révélateur pour ces filles avec qui tu te lâches qu'avec le reste des gens. Ce sont les 2 faces d'une même pièce.

Tu as besoin selon moi de trouver un équilibre dans l'ensemble de tes relations sociales.
Je suis persuadé que si tu bosses tes relations avec les inconnus, avec tes amis et avec ta famille, ce que tu nous décris là va grandement s'améliorer.

Envoyé par Netskil

Et quand on se voit vu que je me lâche beaucoup j'ai souvent du mal à savoir ce qu'elles veulent, elle préfèrent m'écouter. J'ai pas encore trouvé de filles directives sur ce qu'elles veulent.

Au lieu d'attendre que ce soit l'autre qui enclenche la sortie de ce processus, et si tu te demandais ce que TU pouvais faire pour changer un peu les choses?

Si elles préfèrent t'écouter, c'est peut être d'une part que tu parles beaucoup, et d'autre part qu'elles sentent que t'as besoin de beaucoup extérioriser.

Donc demande toi ce qu'il se passerait si tu te mettais à les faire parler d'elles (et aussi demande toi ce qui fait que tu ne le fais pas actuellement, ce que je suppose qu'il ne se passe pas tellement actuellement)

Envoyé par Netskil

Tu as vu juste, bravo. En fait j'ai un problème avec ma valeur, j'infériorise beaucoup, mais pas par rapport aux autres, juste une dévaluation de ce que je suis. j'ai beaucoup de mal à accepter que l'on puisse me dire que je suis un mec bien, intéressant, plaisant, où même que je suis un bon coup (entendu hier, pas encore digéré).

C'est ce qu'on appelle l'estime de soi et notre monde tourne en fonction de celle ci.
As tu lu Imparfait Libre et Heureux de Christophe André? Tu vas te retrouver dans ce qu'il dit et mieux comprendre ce qu'il se passe en toi à propos de la valeur que tu te donnes

Envoyé par Netskil

Je pense pouvoir dire sans faire d'erreurs que ce problème de valeur conduit à mes sur-investissements, ce que je voyais comme un manque d'affection. Je pense avoir bien replacé le rapport cause-conséquence ici.

C'est une piste intéressante. Tu surinvestis tes relations intimes pour compenser ton manque de valeur. Comme si vu que tu considères partir de très bas, tu penses devoir compenser en en faisant 100 fois plus que l'autre. Correct? N'hésite pas à creuser ça

Envoyé par Netskil

ça fait assez longtemps que je ne suis pas allé voir ma psy, je pourrais traiter les causes profondes de ce sujet avec elle, on avait commencé à effleurer la chose il y a quelques moi, mais j'avais suspendu mes séances pour me donner à fond dans mon année, je ne pouvais plus me permettre.

Je t'encourage vivement de reprendre avec elle. Note bien ce qui ressort de notre discussion, ce qui te parle le plus. Plus tu lui fourniras de détails sur ce qu'il se passe au présent, plus elle pourra faire un diagnostic précis.

Envoyé par Netskil

Est-ce qu'un journal serait adapté pour ce type de réflexions ? ou disons plutôt que j'y ai déjà pensé, sans savoir si je serais capable de tenir un journal correct.

C'est vrai qu'on est très exigeant ici niveau journal. Si on juge que quelqu'un le tient mal, on le punit sévèrement et on le ban 6 mois...
Ou alors c'est ta faible estime de soi qui te fait dire que tu n'es pas pas capable, en plus d'un niveau d'exigence envers toi même totalement inadapté

Parce que ce journal, il est avant tout pour TOI. Tu n'as pas à te conformer à quoique ce soit. C'est simplement un support pour garder trace de ce que tu vis au jour le jour, et pour te faire faire un exercice d'introspection.

Envoyé par Netskil

J'étais aussi absolu car j'ai écrit ce message sous le coup d'un malaise global. toutes les choses difficiles qui ont pu m'arriver depuis au moins 2/3 ans ne sont pas toutes digérées ni évacuées. Vu que j'exprime très peu rien de ce qui est rentré est ressorti. Je sais que ce n'est pas sain, tout fini par ressortir.

Ca c'est un gros souci. Tu accumules les émotions négatives ce qui au bout d'un moment te surcharge et t'abîme de l'intérieur. Et ce à cause de ce problème d'expression et d'extériorisation.

Tu as besoin d'apprendre à gérer tes émotions, à les accueillir quand ils sont là, à mettre des mots dessus pour les comprendre, puis d'agir pour les évacuer ou les calmer.
C'est un gros chantier qui s'annonce! Mais tu vas pouvoir reprendre le contrôle de toi petit à petit, et ça ça n'a pas de prix.

Envoyé par Netskil

même si je reste quelqu'un de très torturé (ce sont ses mots, je les trouvent très juste).

Je pense que tu es à un moment charnière de ta vie, où tu vas vraiment t'attaquer à ton passé et tes mécanismes hérités de ton vécu. Je ne sais pas si c'est pour maintenant où si tu n'es pas encore assez mûr (dans le sens prêt à t'attaquer à l'ascension de la montagne), en tout cas tu as de sérieuses pistes ici