La dernière pièce du puzzle
Salut les gens,
J'ai lu un document intutilé "How to approach girls on the street directly & naturally" écrit par Andy Yosha de "PUA Training" et tout est devenu clair, comme un éclair de lumière à travers mon esprit, c'est comme ça que je veux m'y prendre avec les femmes : Les arrêter dans la rue et les attirer.
Ensuite, j'ai planifié la manière dont j'allais personnellement m'y prendre, pas les mots mais la situation, je me suis dit :
"Bon, comme à peu près tous les jours, je sors me promener et profiter des senteurs exquises de l'été et du soleil qui me réchauffe le coeur. Si je rencontre une femme sublime, je lui dirai simplement bonjour et que j'ai envie de savoir qui elle est."
La conversation devrait ensuite bien se dérouler car je suis confiant en face des femmes, aussi belles soient-elles, et je sais entretenir une conversation. En ce qui concerne le langage du corps, c'est au point également, j'ai la maîtrise du regard et de la voix.
Mais, y a un hic :
Au début, je pensais que ce qui me bloquait c'était la peur du rejet, la peur la plus répandue et en même temps la plus paralysante qui soit, mais en fait je viens de comprendre le blème : C'est l'ENTOURAGE qui m'empêche d'agir. Bon, dans le pire des cas, j'essuie un rejet, rien de grave. En fait, j'en ai rien à foutre de ce qu'elle pense quand l'interaction prend fin mais je redoute la réaction des gens qui étaient suffisamment proches pour assister à la scène et la manière dont je dois agir en conséquence, ce qui signifie que les événements extérieurs ont encore une trop grande emprise sur moi.
Donc j'aimerais bénéficier de vos conseils concernant cette difficulté, qui est très probablement insignifiante mais dont les réponses me sont insuffisantes pour passer outre.
Merci à tous.
P.S. : Cette appréhension sur le regard d'autrui vient très certainement du fait que quand j'étais au lycée j'étais moche et extrêmement timide donc on se foutait souvent de ma gueule. Je me rappelle on m'appelait "Le moche", puis un jour j'suis devenu un peu bien, on m'appelait "Le un peu bien", puis j'ai développé ma personnalité à un point que j'imaginais pas atteindre au départ, et là on est bon là, manque plus qu'à corriger ce dernier bug qui empêche mes rouages de tourner.
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