[Anonyme57]

- Voyage au bout de la Nuit, Céline.
- Crimes et Châtiments, Dostoïevski.
- American Psycho, Bret Easton Ellis
- Moins que Zéro, Bret Easton Ellis
- Suites Impériales, Bret Easton Ellis
- 1984, George Orwell
- Contes de la folie ordinaire, Charles Bukowski
- L'Ethique, Baruch Spinoza
- Les liaisons dangereuses, Laclos
- Les chants de Maldoror, Isidore Ducasse
- Caligula, Albert Camus
- L'homme qui voulait être heureux, Laurent Gounelle
- Dieu voyage toujours incognito, Laurent Gounelle
- Alyss, Patrick Sénécal
- Le Guerrier Pacifique, Dan Millman
- Le parfum, Patrick Süskind
- Trois essais sur la théorie sexuelle, Sigmund Freud
- L'attrape-coeur, J. D. Salinger
- Je suis une légende, Richard Matheson
- Nouvelles, Stephen King
- Le vieux qui lisait des romans d'amour, Luis Sepùlveda
- Les Orphelins du mal, Nicolas d'Estiennes d'Orves
- Fractures, Frank Tilliez
- Les fourmis, Bernard Werber
- L'encyclopédie du savoir relatif et absolu, Bernard Werber
- Ouvrages de vulgarisation scientifique, Albert Jacquard
- Ouvrages de développement personnel, Jacques Salomé
- Voyage au centre de la Terre, Jules Verne.

[Grands-Pas]

je ne cherchais absolument pas à critiquer le fait d'"augmenter sa culture litteraire" personel, et je ne crois pas qu'il faille faire parti d'une élite pour cela, je voulais juste faire remarquer que ta formulation, qui traduit ton objectif ( "avoir une culture littéraire EN BETON) me semblait inapropriée par rapport à la méthode utilisée (accumuler à plusieurs un paquet de références en mélangeant les genres, les registres, les pays d'origines, les mouvements,....)

je voulais juste initier une petite remise en question tout de suite, après dans l'absolu c'est toi qui a ouvert ce topic tu fais ce que tu veux.

[Fabre]

Dans ce sens là c'est plus clair.

Après je trouve , et c'est d'expérience, que c'est beaucoup plus démotivant de parler pendant des heures d'un courant ou d'une époque puis de lire les œuvres liées que l'inverse.

Cela étouffe la lecture, elle est déjà calibrée laisse moins place au plaisir.

[Bandini62]

Mes préférés :

- En avoir ou pas (Ernest Heminghway) Une magnifique parabole sur le combat de l'homme contre l'adversité, ou le Thème cher à Heminghway comme quoi l'homme ne gagne jamais complètement.
- La trilogie : Sexus, Plexus, Nexus La cruxifiction en Rose d'Henry miller (d'incroyables envolées verbales et un ton cru ou il dit tout).
-Les jours s'en vont comme des chevaux sauvage dans les collines (Charles Bukowski)
-Ainsi parlait Zarathoustra (Nietzsche)
et Voyage au bout de la nuit de Céline, le premier livre qui m'ai mit KO, c'est simple lit du Céline puis retourne à ton auteur préféré et ressens la différence, il laisse des marques.

[Bandini62]

Ah j'allais oublier les deux terreurs que sont Mark Safranko et Dan fante,
deux auteurs contemporain autrefois underground. Fante je le lis d'une traite à chaque fois que le bouquin fasse 200 ou 400 pages, il a une façon de conter particulière, ses romans sont tous autobiographique (comme Safranko), il y parle de sa vie ses combats (alcoolisme, drogue, boulots minables, femmes), avec une telle force, qu'on se laisse happer par l'histoire.
Ce que j'aime chez lui c'est son côté direct sans concession, pas de fioritures, contrairement à beaucoup d'auteurs qui cache dissimule par peur de perdre des lecteurs lui y va, se met à nu, montre la vie dans sa vérité la plus crue et insuffle émotions et poésie même dans les moments le plus sordide de sa vie.
Les anges n'ont rien dans les poches premier Dan Fante que j'ai lu et Confession d'un Loser ou Putain d'Olivia de Mark Safranko ou il écrit beaucoup sur sa relation aux femmes.
Au passage on possède des goût communs Strife et Anonyme57, je relis souvent Camus et Dostoievsky.

[Johann]

Je vois beaucoup D'Orwell, mais pas celui qui ma le plus intéressé : Dans la dèche à Paris et à Londre, biographie de George Orwell dans sa période de misère

Sinon, tout les Hemingway, tout les Bernard Werber, je plussoi pour Stephen King, La conjuration des imbéciles (j'ai eu un peu de mal à le lire), les pavé classiques français aussi (zola, stendhal...), Exercices de Style de Raymoind Queneau également, Le parfum de Suskind (incontournable a mon gout!).

Si tu aime bien Hemingway ou le roman noir, il y aussi Horace Mccoy que j'ai bien aimé, notament avec on Achève bien les chevaux ou encore Adieu la vie, adieu l'amour. Et je vais bientôt essayer Dashiell Hammet, qui est apparemment un précurseur du roman noir.

Et je me demandais si tu considérait la BD comme faisant partie de la culture littéraire ?

[JavierHernandez]

Je vous préviens tout de suite je suis dans ma phase "lecture lycéenne" donc je vais vous pondre des ouvrages très "scolaires"...

Les romans que je juge très importants sont :

- Du Maupassant. (tout est bon...)

- Germinal/Assommoir de Zola.

- Le Rouge et le Noir, de Stendhal.

- Le père Goriot/Le lys dans la vallée, de Balzac. (je devrais même pas dire les auteurs... )

- Mme Bovary/ L'éducation sentimentale, de Flaubert.

Ca c'est pour le realisme. Des livres que j'ai tous lu et aimé, donc vous allez pas trop vous faire chier normalement. Pour un mouvement plus "récent", vous avez :

- Voyage au bout de la nuit, de Celine. (dur à lire je trouve...)

- L'etranger/ La peste, de Camus.

Quelques livres de Sartre/Vian, mais comme je ne connais pas trop encore je me retiens de sortir des conneries.

Niveau théâtre il est INDISPENSABLE d'avoir de solides références sur les pièces de Molière (Le Tartuffe, l'Avare, le Misanthrope...), Beaumarchais (Le barbier de Seville, Le mariage de Figaro...) au niveau grec aussi (Avec Racine, Corneille...) etc...

Y'a aussi la période argumentation, avec les contes philosophiques très sympa de Voltaire (Candide, Zadig), Montesquieu (Lettres persanes), Diderot (supplément au voyage de Bougainville), voila ce que je sais en gros.

Niveau romantique, quelques romans de Chateaubriand (Graziella...), c'est tout ce que je connais...

Voila.