[Mr. Kong]

Si on dit à la petite fille que oui, elle peut jouer aux voitures, porter des pantalons, devenir ingénieur, joueur au foot avec les garçons, tout ceci en restant une fille valeureuse, belle et fière. Que cela ne fait pas d'elle une anomalie de la nature. Que les gens ne la tabassent pas/rejettent car elle a des loisirs/comportements plus masculins que la moyenne. Et bah cette fille grandira en s'aimant et non en rejetant son corps, elle ne sentira pas étrangère à son corps.
Elle n'aura aucune envie de changer toute la biologie de son corps par des procédures médicales couteuses/douloureuses/fastidieuses/irréversibles voire se charcuter la poitrine et les organes génitaux.

C'est plus compliqué que ça je crois.

Quand arrivera l'adolescence puis l'âge adulte les beaux discours ne suffiront plus.
La jeune fille qui a continué son trip masculin, mettons qu'elle porte des treillis et qu'elle ait des épaules larges à la Mauresmo, elle sera discriminée sur le marché amoureux.

Celle qui a consacré ses loisirs au fitness et au make up tombera pile poil dans la demande masculine.

Ce n'est pas si culturel qu'on le dit
Ce n'est pas la société, ni les individus qui décident
"Attraction is not a choice"
Il y a un conformisme auquel nous sommes tous confrontés.

________

Pour le taux de suicide chez les trans
Il expose selon mes sources APRÈS la transition
Pour mémo en Suède 80% des transitionnés font marche arrière

Je suis fermement convaincu pour ma part que tout cela est très lié à un phénomène de mode

Ce sont des problématiques qui tombent littéralement du ciel à partir des années 2000
Aucune occurrence auparavant dans l'histoire de l'humanité
(L'homosexualité quant à elle est vieille comme le monde)

[Toby66]

Si, plein de fois.

Le chevalier d'eon, les sioux, et d'autres occurrences historiques. D'ailleurs nuancées chaque fois : malédiction chez l'un, nounous attitrés chez les Mohicans...on imagine mal confier ses gosses à un travelo chez nous pas vrai ?

C'est pas un effet de mode, c'est plutôt un spot sur une extrême minorité numérique, qu'on classait avant autrement.

Par exemple, le concept d'homosexuel comme on l'entend maintenant n'existait pas avant la chrétienté.

Chez les Romains l'important était de dominer, et de niquer sans différence de statut social si on était dominé.

Pareil chez les Vikings.

Enculer un esclave ne posait aucun souci, mais se faire baiser par lui c'était un tabou extrême avec une déchéance sociale forte à la clé.

Bref tout ça bouge sans cesse. La réalité biologique reste la même, mais les perceptions changent tout le temps.

[Mr. Kong]

Parce que tu considères qu'un travesti est du même ressort qu'un trans

Je vois la continuité
Mais je vois aussi la différence

Toujours est-il que se charcuter les organes génitaux est nouveau, et évidemment traumatisant
C'est selon mon point de vue une limite à ne pas franchir, qui implique des ressorts morbides

La "réalité biologique" qu'est ce à dire ?
Même pas 0,001% de l'humanité est concerné par des hormones qui contredisent le sexe.
Les autres sont perdus dans leur tête

Anyway
La sur-morbidité que produit ce phénomène parle d'elle-même : rien de souhaitable ni d'heureux là dedans
Le "spot" comme tu dis est à interpréter selon moi dans le faisceau d'idéologies contemporaines qui semblent n'avoir pour finalité que la destruction de l'occident.

[Toby66]

Faut voir.

Moi je vois un danger plus grand, c'est la quête identitaire absurde.

C'est bien que ce pourcentage ridicule ai une visibilité médicale crédible si besoin. Parce que j'aime l'idée qu'une société ne laisse personne au bord du chemin et que le fort doit aider le faible et inversement, parce que malheureusement certaines personnes ne deviendront jamais fortes, pour plein de raisons (constitution, gènes déficients ect) et que l'euthanasie et l'eugénisme m'apparaissent barbares.

Par contre, la quête identitaire à outrance, l'originalité poursuivie pour son égo blessé, non. Et ça disparaîtra dans une autre particularité qu'il sera bon d'afficher. Maintenant c'est le végétalisme et la sexualité, demain ce sera des branchies va savoir.

[Noir]

Pareil, j'ai du mal avec les trans et tout ces machins.
Je les vois comme des claqués dans leur tête.

Tout ce qui est crise identitaire qui dure = Adultes fracassés.
Quand ça commence à l'adolescence, ça doit se finir aussi à l'adolescence.

Ma meilleure amie d'enfance. On s'entendait trop bien. Vers 13-14 ans, elle a commencé à devenir paumée de chez paumée, en pleine crise identitaire.
J'arrivais plus à la suivre et chaque jour, je me disais qu'elle ne passerait pas la semaine. Ma mère ne voulait même plus qu'on se fréquente, elle en avait peur.

A 16 ans, à une fête de village, je l'ai recroisée en train de galocher une gonzesse devant un type qui avait voulu la draguer. (Belle FZ publique, au passage.)
Là, elle me dit : Ouais, j'aime les filles, maintenant.
Des photos de cul, féministe assumée puis une vingtaine de tatouages et de piercings/cheveux bleus plus tard, elle était revenue aux mecs. Elle a même eu des gamins.

J'ai reçu de ses nouvelles il y a peu... elle sortait d'hôpital psy après une cure de plusieurs mois.


De ce que je me souviens, elle me disait toujours qu'elle détestait son corps, qu'elle était malheureuse. Sa famille était aussi WTF que la mienne, d'ailleurs.

J'ai dans l'idée que tout se joue dans l'enfance.
Quand les tiens sont fracassés, les chances que tu rencontres des problèmes dans ta construction psychique sont évidemment très élevées.
Pour sûr, si on fouillait le passé de ces gens trans et cie, on trouverait toujours les mêmes récurrences familiales.

[Ohyeah]

Envoyé par Mr. Kong

Parce que tu considères qu'un travesti est du même ressort qu'un trans

Je vois la continuité
Mais je vois aussi la différence

Toujours est-il que se charcuter les organes génitaux est nouveau, et évidemment traumatisant
C'est selon mon point de vue une limite à ne pas franchir, qui implique des ressorts morbides

La "réalité biologique" qu'est ce à dire ?
Même pas 0,001% de l'humanité est concerné par des hormones qui contredisent le sexe.
Les autres sont perdus dans leur tête

Anyway
La sur-morbidité que produit ce phénomène parle d'elle-même : rien de souhaitable ni d'heureux là dedans
Le "spot" comme tu dis est à interpréter selon moi dans le faisceau d'idéologies contemporaines qui semblent n'avoir pour finalité que la destruction de l'occident.

+1 j'ai la même vision à ce sujet

Que parmi tous les trans/non binaires, ya 1% des gens qui ont réellement un problème médical.
Les 99% restants sont exactement comme les autres personnes complexées qui vont faire des opérations chirurgicales pour tenter de supprimer le complexe pour finir par tomber dans l'engrenage vicieux avec un enchaînement d'opérations.

Ces gens là n'ont pas besoin d'opérations ou qu'on tolère leur crise d'identité, ils ont besoin d'apprendre à s'aimer et accepter leur corps.

Je n'ai pas regardé en détail, mais je suis sûr que cette frange de la population ont la plupart du temps des parents flingués/médiocres/etc.
D'où le fait qu'ils partent en couilles durant l'enfance/l'adolescence.
Certains deviennent des criminels, certaines tombent dans la pornographie, certaines développent d'énormes complexes qui les obsèdent, d'autres font des crises d'identités sexuelles et se disent trans/non binaires/etc.

Ces gens là avaient juste besoin d'un bon papa et d'une bonne maman, problème réglé.
Un père qui lui montre qu'être un homme (pour le fils) c'est cool, que tu veuilles faire du foot, de la baston, de la peinture ou des vêtements.
Bon tu devras quand même soulever de la fonte et cultiver ton esprit. Non négociable.
Une mère qui lui montre qu'être une femme (pour la fille) c'est cool, que tu veuilles faire de la mode, du marketing, de la danse ou du handball.
Bon tu devras quand même faire du sport et cultiver ton esprit. Non négociable.

Que t'es pas obligé d'être l'archétype du mâle alpha ultra viril pour être un homme. (Même si vaut mieux s'y tendre).
Henry cavill est un homme.
Eric zemmour est un homme.
Olivier rousteing est un homme.

Que t'es pas obligé d'être l'archétype de la l'hyperfemelle ultra féminine pour être une femme. (Même si vaut mieux s'y tendre).
Margot robbie est une femme.
Michelle obama est une femme.
Marie curie était une femme.

Comprendre que ya des règles dans ce monde, des dynamiques sociales à maîtriser. Que le monde ne tourne pas uniquement autour d'eux. Donc inutile de ouin ouin h24 de l'injustice du monde.
Si tu casses ton poignet et déhanche ton boule quand tu marches (en tant que garçon), ok supposons que cela soit ta nature, mais des gens te voudront du mal, et dans la famille on ne pleure pas et on ne fait pas la victime. Donc tu vas faire des sports de combat/soulever de la fonte. Puis tu casseras la gueule de tout ceux qui t'insulteront de PD ou tafiolle.
C'est comme ca que le monde fonctonne. Soit tu bouffes soit tu te fais bouffer, que tu sois henry cavill, zemmour ou rousteing. Yaura toujours des gens qui voudront t'emmerder.

Sauf que ces gens ont été éduqués comme des victimes donc se comportent comme des victimes. Cela n'a rien à voir avec des goûts vestimentaires/loisirs ou tes affinités sexuelles.

[Mr. Kong]

C'est bien que ce pourcentage ridicule ai une visibilité médicale crédible si besoin. Parce que j'aime l'idée qu'une société ne laisse personne au bord du chemin et que le fort doit aider le faible et inversement, parce que malheureusement certaines personnes ne deviendront jamais fortes, pour plein de raisons (constitution, gènes déficients ect) et que l'euthanasie et l'eugénisme m'apparaissent barbares.

Mouais
C'est sûr que c'est bien pour eux
Après personne n'a parlé d'euthanasie hein calmos

Mais le constat que je fais dépasse cette micro population
On parle de milliers de suicidés qui n'avaient pas cette bizarrerie hormonale (=disphorie véritable)

Deux théories quant à ce phénomène :
- l'ère de la féminisation est celle de la faiblesse morale face à l'adversité, de la commisération facile et de l'approche victimaire. On aurait donc une société qui croit vraiment bien faire mais qui agit de façon morbide en laissant faire ce genre de dérive. Un peu comme une mère isolée qui cède à tous les caprices de son fils en croyant faire de l'éducation bienveillante et qui se retrouve au bout du compte avec un criminel.
- un lâcher gigantesque de boules puantes, l'idée étant d'utiliser les bons sentiments afin de détruire les structures sociales occidentales. Un peu comme faire croire que l'immigration répond à un humanisme plutôt qu'à des intérêts économiques mesquins de la technocratie


Bref on justifie d'une manière ou d'une autre de charcuter les gens avec de bonnes intentions
Quand on regarde les stats cela ne tient pas deux secondes, c'est plus proche du satanisme malveillant que d'une grandeur d'âme à base de tolérance.

C'est toujours le même procédé, exemple de la Pma/Gpa, on va nous faire larmoyer sur un cas isolé avec des bons sentiments alors qu'en réalité l'idée est de vendre des bébés pour que des conasses aussi fortunées que narcissiques façon Amber Heard puissent s'épargner la moindre vergeture (l'exemple n'est pas gratuit cette crevarde a bien eu recours à une mère porteuse).

[Toby66]

Honnêtement ça me dépasse.

Je ne sais même pas comment, concrètement, on différencie une dysphorie réelle d'un complexe.

C'est du cas par cas selon moi. Et potentiellement un imbroglio pas possible lié au business qui en découle, entre hormones et chirurgie ça doit brasser pas mal sur la fragilité de certains/nes.

Je ne sais pas quoi penser. A minima des lois pour protéger le corps de l'enfant jusqu'à 16 ans minimum, de lui-même et de parents tarés. Ca me semble pas déconnant d'interdire toute modification profonde avant 16 ans.

[Mr. Kong]

Envoyé par Toby66

Honnêtement ça me dépasse.

Je ne sais même pas comment, concrètement, on différencie une dysphorie réelle d'un complexe.

C'est du cas par cas selon moi. Et potentiellement un imbroglio pas possible lié au business qui en découle, entre hormones et chirurgie ça doit brasser pas mal sur la fragilité de certains/nes.

Je ne sais pas quoi penser. A minima des lois pour protéger le corps de l'enfant jusqu'à 16 ans minimum, de lui-même et de parents tarés. Ca me semble pas déconnant d'interdire toute modification profonde avant 16 ans.

Analyse hormonale
Ça me semble faisable

Pour le reste tu vises juste, dans le mille : quand ça rapporte du pognon, on sait nous convaincre que c'est cool (une Gpa coûte 10k€ je ne sais pas pour une reassignation sexuelle. Mais visiblement pour 80% des cas faudra recoller le zizi découpé quelques temps auparavant, malins ces fdp).

Oui, protéger les enfants...
Tellement pas la priorité de nos chers dirigeants.

[Rurii]

"J'ai dans l'idée que tout se joue dans l'enfance.
Quand les tiens sont fracassés, les chances que tu rencontres des problèmes dans ta construction psychique sont évidemment très élevées.
Pour sûr, si on fouillait le passé de ces gens trans et cie, on trouverait toujours les mêmes récurrences familiales."

En psychologie, une des première chose que l'on apprend, c'est qu'une maladie psychique à deux origines :
- une prédisposition génétique
- lié à l'environnement, principalement l'environnement familial

Si tu es prédisposé génétiquement à développer une schizophrénie parce que plusieurs personnes dans ta familles le sont ou l'on été, alors tu as de grandes chances d'en développer une. Mais, si ton environnement est favorable, que tu ne vis pas de trauma important non plus, tu as une chance de ne pas en développer une.

A l'inverse, tu peux ne pas avoir d'antécédent génétique, mais si ton cadre familial est dégueulasse et que ton esprit n'arrive pas a créer les barrières suffisantes pour les gérer tu vas développer des maladies mentales.

Si on revient à la dysphorie de genre à proprement parlé, il me semble qu'en psychologie c'est tout de même étudié comme une maladie mentale (contrairement à l'homosexualité qui n'en est plus une), mais ça fait débat.

Ce qui pose question c'est surtout l'action des parents dans ce phénomène. Si on prend comme exemple cette vidéo :Stella, enfant transgenre - C a Vous - 25/02/2021 - YouTube

On peut se demander si cet enfant ne fait pas tout pour être conforme à l'image de sa mère.

Si cet enfant avait eu d'autre parents, est ce qu'il serait réellement comme ça ou est ce qu'il aurait juste eu cette phase là dans son enfance ? Bref, il faut se questionner sur le rôle des parents et leur prise de décision.

Ce que je trouve aberrant dans la dysphorie de genre, c'est comment est ce qu'on a pu autoriser des gens à changer de sexe sans avant consulter des psychologue/psychiatre. Comment tu pouvais te pointer dans une clinique, demander à changer de sexe et y être autoriser, sans avis préalable d'un expert de la santé mentale.

Encore plus pour les enfants, sachant qu'on sait depuis belle lurette, que tous se rejoue à l'adolescence. Bloquer le système hormonale d'un enfant de 6 ans faut quand même le faire, surtout qu'on a aucune connaissance sur les problèmes de développement physique et psychique avec un changement hormonale à cet âge.