[don Diego de la Vega]

Selon sa théorie, un être complet, accompli (selon ses termes), dont les besoins sont satisfaits : fondamentaux, sécurité, amour/affects, estime de soi, n'a plus de besoins.

Outre le fait que cela recoupe finalement un peu la délire stoïcien (auquel j'adhère), cela me fait surtout penser qu'un tel homme, accompli, n'aurai plus de besoin sexuel, et beaucoup moins de désir séxuel, étant donné que la plupart des rapports (sexuels, voir pas que) que l'on a, notre séduction, s'avère bien souvent être dicté par :
Le besoin de se rassurer, son égo, son estime de soi
Le besoin d'amour, d'affection
Le besoin de se faire comprendre ("les plans culs psy" ou on philosophe au lit after sexe)
Le besoin de se vider, d'extérioriser ses affects (colère, etc... qui s'accumule), etc...
Et d'autres...

On en arrive donc à une diminution drastique du nombre de rapport sexuel ?
Et par extension, de séduction ?

Si on adhère à ce raisonnement, le but ultime de la séduction/développement perso', ce serai au final... de baiser moins !

Nope. Tant que tu verras des petits culs dans la rue, tu auras des pulsions.
Je ne vois pas comment se couper de ça, sauf en habitant dans une grotte retiré du monde en ermite.

[Oncle Barney]

Faut pas oublier un truc: le besoin de sexe est avant tout dicté par nos hormones. Suffit que le robinet se ferme ou dysfonctionne pour que ce soit le bordel dans notre libido. Difficile ainsi de faire une séparation nette entre les aspects psycho et bio (mais ça je te l'apprends pas fuzz )

Du coup, je pense pas qu'on puisse vraiment trancher ta question :-/

[Oncle Barney]

Ya des fois comme ça où on oublie le truc le plus évident, encore plus quand c'est censé être notre domaine

Par contre, tu n'éviteras pas cette remarque pertinente de ma part: PATATE!