On parle de cerveaux "sexués" et pas pour le kino! mais bien pour le rôle de l'hypothalamus. Le facteur hormonal est important sur l'activité neurologique. Les femmes auront une activité plus intense hormonale sur une période donc neurologique, là où les hommes en sont exclus.
Chez les tous petits enfants la structure est similaire, à l'adolescence les connexions cérébrales divergent, se câblent différemment.
Ce qui compte pour le sujet du post c'est l'influence de l'environnement sur le cerveau de chaque individu et non de sexe féminin/masculin.
En fonction de l'éducation, du milieu social, des fréquentations, on apprendra plus ou moins à extérioriser ses émotions. Les variables sont phénoménales.
Lors d'une rupture d'une relation ayant compté, on la gère différemment mais elle est émotionnellement intense pour les deux et pas forcément au même moment.
La structure cérébrale est similaire, les activités neurologiques sexuées, non. Celles cognitives: variables selon l'environnement socio-culturel, éducatif.
Le ratio émotionnel est semblable, l'usage est différent.
Ce qui est certain, les cerveaux se complètent en théorie mais ne se comprennent pas facilement.
Enfin, toujours accepter/choisir une personne qui nous veut du bien moralement. En cas de rupture, cet aspect trop souvent oublié aura aussi son sens.
Triste à dire mais réaliste.