39% des français aujourd'hui sont célibataires, une personne sur deux à Paris, et c'est très étonnant. Et j'appelle ça le grand paradoxe de l'ère numérique, c'est-à -dire, que à l'époque ou les réseaux sociaux sont censés nous rapprochés, et bah finalement il est devenus de plus en plus difficile de se rencontrer et de se faire connaissance.
Il y a de plus en plus de sites de rencontre, des applications de rencontre, etc. qui donnent une illusion d'abondance, qui font des promesses de rencontre, qui sont plus souvent les plus déçus et à force de répétitions montent en amertume. Et les exclus du marché de la séduction dans la vrai vie le sont tout autant dans la vie virtuelle.
Un site de rencontre s'est un terrain qui est linéairement bilabié contre les hommes parce que dès le début, un homme paye pour consulté des fiches que les femmes mettent gratuitement à disposition.
Donc, c'est dès le début une démonstration de manque de confiance en soi de la part de l'homme qui doit payé alors que les femmes n'ont pas à payé, et on est même aujourd'hui au 21ème siècle.
On est malheureusement dans un schéma ou les hommes proposent et les femmes disposent, c'est-à -dire, que les hommes sollicitent beaucoup, et les femmes sont tellement sollicitées que c'est ça qui fait qu'on se trouve dans ce schéma là . Et ces sollicitations ne sont pas forcément équitables, c'est-à -dire, que il y a un aspect faussement démocratique sur les sites de rencontre parce qu'un homme si il n'a pas la photo qui va bien, si il n'est pas le grand brun ténébreux qui fait en particulier plus d'1m80 parce qu'il faut savoir que la taille c'est un critère utilisé par beaucoup de femmes pour triés tout ce choix pléthorique d'homme. Et bah sur internet comme dans la vrai vie, tous n'ont pas la même chance de trouver l'amour.
Alors les Happy fiew qui réussissent à passer les tests de sélection, bah commencent à faire un échange, se livrent en tout intimité dans une illusion de complicité connivence et il y a deux problèmes avec ça. Bah d'abord, il y a sur les sites de rencontre, un certain art, une certaine tradition du mensonge, et deuxième surement le plus important, quant on a un échange écrit et bah il manque la foule de micro-signes non verbaux qui vont traduire si le feeling passe ou pas.
Donc du coup, on est en train de faire une projection amoureuse inconsidéré, on va s'excité comme ça dans la correspondance amoureuse, ça peut durée des jours, ça peut durée des semaines, ça peut dans certain cas durée des mois... et tout ces investissements émotionnelles, et bah bien souvent il va partir en fumée dans les 5 secondes quant on va passé à une rencontre réelle autour d'un verre par exemple parce que là il y a la richesse des micro-signes non verbaux qui va arrivé, et on va peut-être sentir que le feeling n'est peut-être pas là .
C'est une déception qu'au bout de quelques semaines peut être très violente, et cette déception là , elle inscrite au cœur même de la rencontre virtuelle. Et l'ironie là -dedans, c'est que il faut une certaine solidité dans son estime de soi pour encaissé ces déceptions à répétition. Alors qu'en réalité, bah les personnes les plus fragiles passent finalement de manière plus privilégié par les canaux de la rencontre virtuelle.
Et avec les applications que sont Tinder, Lovoo, Happn, etc. Bah ce phénomène là de déception, elle est accentué parce que dans un univers de choix quasiment infinis et bah la plupart des hommes sont zappés d'un coup d'index, et les rares hommes qui réussissent à avoir des rendez-vous, bah s'aperçoivent bien souvent que rencardé une femme ne veut pas dire conclure avec elle, et encore moins de démarré une conversation. Parce que le problème s'est que quant on est un homme et qu'on ne sait pas mené la danse de la séduction. Et bah bien souvent on va finir en allant nul part, on va pédalé dans la semoule, et c'est de plus regrettable aujourd'hui qu'on peut espéré qu'il y ait beaucoup plus de femmes qui puissent avoir le bout d'initié et de faire avancer la relation. Or tout due moins au début de la rencontre, j'aperçois très souvent que les femmes préfèrent les hommes qui mènent.
Ensuite, il y a la sexualisation parce qu'un homme qui ne sait pas sexualisé avec une femme, et bah il va finir dans la FRIENDZONE, vous savez cette zone ou les femmes mettent inconsciemment avec les hommes qu'elles s'entendent très bien, et avec qui elles ne coucheront jamais.
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Mode linéaire
