Art De Seduire   Retourner sur ArtDeSeduire.com - Techniques et Conseils en séduction
Précédent   Forum seduction et drague - Forum artdeseduire > >

Téléchargez votre guide!
Réponse
 
Outils de la discussion Modes d'affichage
  #21  
Vieux 05/08/2015, 14h23
Avatar de Harv'
Harv' Harv' est déconnecté
Master
 
Date d'inscription: juillet 2013
Messages: 2 523
Par défaut

Citation:
Envoyé par Make-Me Voir le message

Alors, pour vous : est-ce que la dépression est tellement banalisée qu'elle est l'excuse ultime pour se poser en victime, ne pas vouloir avancer et rejeter tout conseil (une solution de "confort" en somme pour certains SOS) ? Peut-on parler d'une génération dépressive quand des statistiques révèlent pourtant que la jeunesse est plus optimiste que jamais ?
Je dirais plutôt que la dépression c'est la conséquence de ne pas avancer et de stagner, tu n'arrives à rien donc tu déprimes et tu veux encore moins faire d'efforts à ce moment là.

Pour être passé par là je peux te dire que c'est pas forcément un mensonge, c'est une période très dure à vivre, mais qui peut aussi te permettre de te poser les bonnes questions. Pour moi ça a été à la fois la pire période de ma vie mais aussi celle qui m'a permis de me bouger le cul pour ne plus jamais revivre ça, et c'est donc le fondement de ma vie épanouie.

Si j'avais continué à végéter sans déprimer, je serais toujours dans le même état je pense, à me mentir à moi même et à gâcher ma vie.

Mais ça va parce qu'elle n'a pas duré longtemps. Si ça avait été plus long, ou si j'avais replongé (tu restes fragile dans les mois qui suivent), j'aurais eu besoin d'aide extérieure, un psy peut beaucoup aider je pense dans certains cas !

Après je sais pas si le forum est le reflet de la jeunesse : ici on a essentiellement les gens qui ont souffert de ne pas savoir séduire et qui se sont donc sentis différents ou rejetés une partie de leur vie (avant de changer), c'est normal que t'aies un taux de dépression plus élevé dans les gens qui recherchent "comment avoir une copine" sur google que chez les gens qui recherchent "quelle destination au soleil choisir pour les vacances"
Réponse avec citation

Découvrez notre produit :
  #22  
Vieux 05/08/2015, 15h05
Make-Me Make-Me est déconnecté
Banned
 
Date d'inscription: juin 2015
Localisation: Anywhere but here
Messages: 2 533
Par défaut

Citation:
Envoyé par AutelDuLustre Voir le message
Croire qu'il suffit de se mettre un coup de pied au cul est naïf. Parfois même, la cause même de cette précarité est cette philosophie exacerbée qui conduit à l'inaction.

Quoi qu'il en soit, il faut surtout retenir que les problèmes peuvent être multiples et que donc les solutions fourre-tout, limites bourrines, à l'américaine ne marchent pas pour tout le monde (elles peuvent même avoir l'effet contraire) et donc que des actes qui sont pour certains opposés au développement personnels sont pour d'autres des facteurs de développement.
Entièrement d'accord avec toi. Quand on se prendre de toute part des coups dures de la vie, le coup de pieds au cul ne va pas forcément être le stimuli adéquat et peut empirer les choses.

Pour le côté fourre-tout, c'est le problème de la généralisation. On m'aurait conseillé de sortir et rencontrer quand j'allais au plus mal, je pense que j'aurais péter encore plus un plomb et cela m'aurait enfoncer car je n'en avais pas la possibilité et les moyens à l'époque.

En revanche, j'étais conscient que c'était une solution et cela a déclenché chez moi la volonté de remédier à cela et la chose la plus pesante pour moi a été de demander de l'aide (psychiatre, pole emploi, groupe de soutien, famille, associations, etc.). Une horreur que de se rabaisser à demander de l'aide, à être "un cas soss", j'avais l'impression de mendier pour mon bonheur... Au final, j'ai eu l'aide nécessaire et m'en suis sorti en 6 mois.

Il ne me serait en revanche pas venu à l'esprit de demander sur internet, ce n'est que maintenant que je le réalise et que j'aurais pu avoir cette possibilité. J'aurais refusé net tout conseil dans l'état dans lequel j'étais, car j'étais "un incompris" et le monde s'acharnait contre moi. C'était faux bien sûr, je n'avais juste pas encore la volonté de changer en commençant par demander de l'aide aux personnes les plus avisées. Si c'était à refaire en tout honnêteté, je ne sais pas si j'aurais le courage de réagir à l'identique et de m'en sortir. (je rejoins ce qui a été dit sur le fait que la guérison est parfois plus douloureuse que le mal).
Réponse avec citation
  #23  
Vieux 05/08/2015, 15h09
Avatar de Bob Leponge
Bob Leponge Bob Leponge est déconnecté
Sage
 
Date d'inscription: janvier 2013
Localisation: Dans son Ananas
Messages: 4 756
Par défaut

Citation:
Envoyé par 'Barney' Voir le message
Quand ils disent ça, ils parlent d'un ressenti, de la même manière qu'ils se disent complètement amoureux. C'est l'A-D-O-L-E-S-C-E-N-C-E
C'est une période d'intense bouleversement hormonale, neurologique et psychologique.
Citation:
Envoyé par Gottcha Voir le message
Certains sont encore ados après 30 ans alors. (il ya tellement de cas en SOS, que je ne peux cibler personne)
Je trouve ça plutôt condescendant comme réaction : "ils se disent amoureux". Comme si vous vous placiez en autorité pour définir ce que c'est que le vrai amour. Mais je m'égare totalement du sujet.

Tu as plusieurs origines d'une dépression. Quand tu tombe dedans, tu en es victime. Ayant connu récemment une période de forte déprime à cause d'un rejet, je peux dire que la volonté seule ne suffit pas à se sortir de ça en claquant des doigts. C'est plus complexe que ça.

Les émotions sont en général complexes, quelqu'un peut se sentir seul alors qu'il a plein d'ami. Quelqu'un peut se sentir vide, alors qu'il a tout ce qu'il lui faut. Quelqu'un peut se sentir abandonné, alors que cette personne a un/une compagne/nion qui lui exprime son amour tous les jours.

Je ne me suis jamais retrouvé dans un état de déprime profonde (celle qu'on confond avec la dépression pendant très longtemps, généralement le coup d'une journée max, après j'en avait marre d'être déprimé et de ne rien faire, et donc je me bougeais les fesses, qu'importe ce que je faisais, même si c'était juste sortir marcher. Le sentiment d'impuissance est fort. Quand tu te vois sombrer, essayant de te débattre sans succès, sans que rien ne te fasse remonter la pente, tu entres dans un cercle vicieux, et ce qui te fera en sortir dépend de l'individu.

Le seul conseil que je peux trouver être viable dans ce genre de cas, c'est de dire à au de bouger, d'agir, peu importe ce qu'elle fait (ça peut être tout simplement de méditer, de marcher, de bouger de la ville, parler à quelqu'un, ranger son appart...). Essayer une solution, puis une autre, revenir à une solution, mais de prendre conscience que même s'il est victime de son état, il a 100% la responsabilité de ce qu'il fait de sa vie.

Le problème n'est pas l'émotion, c'est ce qu'on en fait. Je me suis reconnu dans ce que tu as dit, plusieurs fois j'ai failli me cacher derrière la déprime/dépression pour ne pas agir, mais je ne l'ai jamais fait, parce qu'à partir du moment où je le fais, j'ai perdu
__________________
"Until you learn to trust your own actions and learn to pursue women with your own unique style and personality, you have learned absolutely nothing"
Mark Manson
Réponse avec citation
  #24  
Vieux 05/08/2015, 15h20
Make-Me Make-Me est déconnecté
Banned
 
Date d'inscription: juin 2015
Localisation: Anywhere but here
Messages: 2 533
Par défaut

Citation:
Envoyé par Bob Leponge Voir le message
Le seul conseil que je peux trouver être viable dans ce genre de cas, c'est de dire à au de bouger, d'agir, peu importe ce qu'elle fait (ça peut être tout simplement de méditer, de marcher, de bouger de la ville, parler à quelqu'un, ranger son appart...). Essayer une solution, puis une autre, revenir à une solution, mais de prendre conscience que même s'il est victime de son état, il a 100% la responsabilité de ce qu'il fait de sa vie.
Aïe... j'avais essayé ça aussi car c'était le conseil d'un psychiatre. Résultat : je sortais, je voyais plein de plaisirs inatteignables pour moi donc je me sentais encore plus mal. Méditer, ça me rendait anxieux. Parler à quelqu'un, j'étais imbuvable et refusait les conversations si elles n'allaient pas dans la violence. Ranger son appart, cela me faisait voir à quel point j'étais arrivé bas. etc. (pourtant je considère encore cela comme une mauvaise passe et pas une dépression comme période).

En revanche, prendre conscience que j'étais à 100% responsable de ce que je faisais, ça c'est ce qui m'a aidé. J'étais dans la merde et ne demandais pas de l'aide car trop fier ? C'était donc moi le responsable. En plus je m'étais vraiment foutu dans la merde en prenant de mauvaises décisions.

A mes yeux, c'est un conseil vraiment viable comme tu le dis si bien. Après, est-ce que quelqu'un qui est vraiment en dépression (donc c'est une condition physique de ce que mes vdd ont très bien expliqué) pourra recevoir un tel conseil sans l'enfoncer encore plus (on rejoins encore ce que AutelDulustre disais) ?
Réponse avec citation
  #25  
Vieux 05/08/2015, 15h25
Avatar de tron
tron tron est déconnecté
Sage
 
Date d'inscription: septembre 2010
Localisation: Montpellier
Messages: 10 205
Par défaut

Après ça dépend du degré de dépression, je pense qu'il doit exister des gens tellement déprimés qui peuvent même plus allumer la télé.

A mon avis une dépression sérieuse (sachant que pour être dépressif il faut être dans un état particulier pendant plus de 2 semaines il me semble, si ça fait 4 jours qu'on est comme ça c'est pas de la dépression au sens médical) ne laisse pas de place aux conseils classiques types coaching.
La dépression c'est typiquement le genre de maladie qui fait passer les vacances sous sa couette.
__________________
Tout est une question de perception.

Dernière modification par tron ; 05/08/2015 à 15h27
Réponse avec citation
  #26  
Vieux 05/08/2015, 15h30
Make-Me Make-Me est déconnecté
Banned
 
Date d'inscription: juin 2015
Localisation: Anywhere but here
Messages: 2 533
Par défaut

Parenthèse sur les traitements médicamenteux :

J'ai fait 3 psy, aucun ne m'avais aidé à m'en sortir finalement. J'ai supplié pour avoir un traitement, le 3ème à voulut en me prévenant que cela allait juste supprimer la douleur mais pas les problèmes. J'ai arrêté au bout de 3 jours car transformé en zombi. Mauvais dosage peut-être ? Je sais que ce sont des traitements de fonds et qu'il faut du temps, mais quel horreur de ne plus ressentir d'émotions, même plus cette douleur qui a été finalement le déclencheur pour avancer... Je rejoins Gottcha là dessus.

Côté angoisse, les anxiolytiques en revanche c'est plutôt de la balle ! Le fait d'être anxieux me paralysait, enlever cette sensation me permettait de mieux réfléchir et surtout enfin d'agir sans avoir peur des conséquences. Le soucis : on peut tomber accroc ou s'en servir comme d'une solution de simplicité, j'en prenais avant des entretiens ou examens, heureusement j'ai découvert récemment des exercices de respiration pour dégager l'anxiété tout naturellement ! Je rejoins encore Gottcha : un coach de vie peut amener à de meilleurs résultats qu'un psy (selon les cas... comme toujours !).
Réponse avec citation
  #27  
Vieux 05/08/2015, 15h32
Avatar de Oncle Barney
Oncle Barney Oncle Barney est déconnecté
Sage
 
Date d'inscription: novembre 2012
Localisation: Bordeaux
Messages: 17 072
Par défaut

Citation:
Envoyé par tron Voir le message
Après ça dépend du degré de dépression, je pense qu'il doit exister des gens tellement déprimés qui peuvent même plus allumer la télé.

A mon avis une dépression sérieuse (sachant que pour être dépressif il faut être dans un état particulier pendant plus de 2 semaines il me semble, si ça fait 4 jours qu'on est comme ça c'est pas de la dépression au sens médical) ne laisse pas de place aux conseils classiques types coaching.
La dépression c'est typiquement le genre de maladie qui fait passer les vacances sous sa couette.
Prenons l'exemple d'un cas particulier de la dépression (même si c'est encore sujet à beaucoup de débat): le burn out.

C'est le cas de la personne que je coache actuellement. Hé bien impossible de lui faire faire quoique ce soit. Elle n'a aucune force pour ne serait ce que prendre du recul sur elle. Et les manifestations physiques sont importantes puisqu'elle peut passer d'insomnies à des vomissements qui la cloue au lit.
Dans ces cas là, on laisse la main à un psychiatre tout simplement, le temps que sont état se stabilise (grâce aux médocs sur le court terme, au travail psy sur le moyen terme), et après ça on peut envisager de reparler de coaching
__________________
Appelez moi Barney tout court
~ En Retraite ~
Réponse avec citation
  #28  
Vieux 05/08/2015, 15h36
Avatar de tron
tron tron est déconnecté
Sage
 
Date d'inscription: septembre 2010
Localisation: Montpellier
Messages: 10 205
Par défaut

Make-me
Perso j'ai vue un psychiatre, il m'a aidé et m'a sorti de ma dépression en 4 semaines. J'ai testé un anti-dépresseur qui avait pas marché et un autre qui m'a aidé définitivement. On dit qu'on doit en prendre régulièrement mais j'avais juste besoin d'un boost émotionnel, j'avais besoin de savoir ce que ça faisait d'être heureux pour le revivre.

Les psychothérapies je pense sont pas trop adaptées aux dépressifs (sauf celles prévues pour comme les TCC), les médicaments le sont mais il faut savoir dés le début qu'on peut en tester 4 ou 5 avant de trouver le bon sachant qu'un médicament fait effet en deux semaines. J'ai pas eu d'effet secondaire.
Je crois pas qu'on puisse devenir accro si on est bien suivi.

Je rejoins quand même ton psy quand il dit que le médicament ou même le coaching résout pas forcément le problème, si le problème est une angoisse particulière déclenchée par un événement alors la réapparition de cette événement peut faire replonger (ou pas).
Enfin l'important reste d'abord de sortir de la dépression on verra après.



Citation:
Envoyé par barney
Dans ces cas là, on laisse la main à un psychiatre tout simplement, le temps que sont état se stabilise (grâce aux médocs sur le court terme, au travail psy sur le moyen terme), et après ça on peut envisager de reparler de coaching
Même moi en tant que futur psychothérapeute je serai amené à faire ça, je vais pas regarder un mec se décomposer sous mes yeux alors que je sais qu'en genre deux mois il pourra revenir frais. La différence c'est que je peux faire la psychothérapie en même temps (pas une psychanalyse) mais ça sera beaucoup moins efficace.
__________________
Tout est une question de perception.

Dernière modification par tron ; 05/08/2015 à 15h44
Réponse avec citation
  #29  
Vieux 05/08/2015, 15h59
Avatar de Bob Leponge
Bob Leponge Bob Leponge est déconnecté
Sage
 
Date d'inscription: janvier 2013
Localisation: Dans son Ananas
Messages: 4 756
Par défaut

Citation:
Envoyé par Make-Me Voir le message
Aïe... j'avais essayé ça aussi car c'était le conseil d'un psychiatre. Résultat : je sortais, je voyais plein de plaisirs inatteignables pour moi donc je me sentais encore plus mal. Méditer, ça me rendait anxieux. Parler à quelqu'un, j'étais imbuvable et refusait les conversations si elles n'allaient pas dans la violence. Ranger son appart, cela me faisait voir à quel point j'étais arrivé bas. etc. (pourtant je considère encore cela comme une mauvaise passe et pas une dépression comme période).
C'est ce qu'on appelle une période d'essai-échec. Chercher des solutions, si ça marche pas, on change, mais essayer quand même. Demander de l'aide a été ton exutoire, d'autre, ce sera autre chose. Un blogueur est sorti de la dépression (la vrai maladie) par la méditation, un autre par une refonte de son alimentation. Les solutions seront différentes pour chacun, c'est pour ça que le seul conseil qu'on puisse vraiment donner à quelqu'un, c'est de chercher, lui donner des solutions possibles.

Après en effet, quelqu'un en vrai dépression peut ne pas pouvoir faire face à cette période d'essai-echec, parce qu'il n'a pas la force mentale pour. Dans ce cas, comme le dit Tron, je pense que les médocs sont la seule solution. Certes, ça ne réglera pas le problème, mais faut pas négliger l'utilité d'un pansement, qui est de combler la plaie le temps que ça aille mieux. Ca sert à ça, avoir un esprit plus réceptif aux solutions, pour inverser le sens de la spirale.

P.S HS : L'anxiété pendant ta méditation était normale
__________________
"Until you learn to trust your own actions and learn to pursue women with your own unique style and personality, you have learned absolutely nothing"
Mark Manson

Dernière modification par Bob Leponge ; 05/08/2015 à 16h28
Réponse avec citation
  #30  
Vieux 05/08/2015, 16h58
paulz paulz est déconnecté
Banned
 
Date d'inscription: juillet 2014
Messages: 2 933
Par défaut

Sur la question de la médicamentation et de la psychologie, la " psychiatrie " est une discipline scientifique toute récente en réalité, avant Freud, la dépression n'existait pas au sens médical, elle se nommait tout simplement melancholie ou tristesse, le domaine psychiatrique, et encore plus le milieux de la psychologie, reste une branche fructueuse ou l'on trouve de tout. Il faut, enfin, préciser que le pharmaceutique est le lobby le plus puissant au Etat-Unis, et surtout le plus fructueux, loin devant le complexe militaro-industriel, on est pas dans du grand n'importe quoi en faite.

L'avantage avec les maladies que j’appellerais " non palpable ", qu'on ne peut pas toucher, c'est qu'on peut faire rentrer tout et n'importe quoi dedans, comme une simple déprime passagère, ce qui fait fructifier l'affaire du psychiatre, et du laboratoire d'anti-depresseur. On n'invente tout et n'importe quoi dans ce millieux, avec toujours de nouveaux traitement la clée.

Il me parait évident qu'il y a une sur-mise en avant de la dépression, qui est trés intéressante pour le lobby pharmaceutique, dans la mesure ou tout être humain normal travers des périodes difficiles, et donc, est sujette a la consomation du marché des anti-depresseur, c'est une manne financière enorme. Est-ce que tous ça veut dire pour autant que la depression n'existe pas, je ne le crois pas, les maladies comme les troubles bipolaire sont influencé directement par la production de sérotonine, on est bien dans une problématique physique et palpable.

La vrai dépression entre dans le même phénomène. Il est relativement dangereux d'assimiler véritable depression avec féniantise ou faiblesse passagère, pourtant, la différence me semble necessaire et importe a faire, pour ne pas finir par médicamentaliser tous le monde. Enfin, des tarrées de la tête j'en ais vue des bien allumée dans ma vie, il me semble évident que certains troubles psycologique existe, et doivent être traité, ou tout du moins controlé : j'ai connue un mec qui avait des délires mystique, et qui me prenait pour un Ange vous voyez le truc. Même si je suis convaincu que la psycologie et la médicamentation est " quasi " inutile. Et qu'on a surtout affaire a un grand marché d'escroc qui créait une maladie avec une description trés vague, pour faire rentrer tous le monde dedans, inventé un médicament qu'on peut presque a presque cent pour cent des terriens, ça fait clignoter des Dollars partout dans le marketing des laboratoires.

Dernière modification par paulz ; 05/08/2015 à 17h14
Réponse avec citation
Réponse


Règles de messages
Vous ne pouvez pas créer de nouvelles discussions
Vous ne pouvez pas envoyer des réponses
Vous ne pouvez pas envoyer des pièces jointes
Vous ne pouvez pas modifier vos messages

Les balises BB sont activées : oui
Les smileys sont activés : oui
La balise [IMG] est activée : oui
Le code HTML peut être employé : non

Navigation rapide


Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 10h35.