Citation:
Ici, pas de langue de bois ou de discours prédéfinis, ce que nous allons tenter de faire c'est bien de réfléchir, ensemble
|
ok c'est parti j'envoi du lourd, si les gros mots choquent vous pouvez les griser SVP ? Merci.
Ma thèse est que le beta-isme est nécessaire à la civilisation.
Psy évo. C'est la civilisation qui produit une abondance de beta.
Je lis énormément de littérature PUA, psy-évo, mating behavior studies, Sex Market Values, blogs, etc... et une question émerge :
Si l'on part de l'axiome que l'alpha-mâle, par définition, fuck-close plus que le beta-mâle,
pourquoi y a-t-il autant de beta puisqu'ils ne se reproduisent pas ?
C'est clairement un désavantage d'être un beta du point de vue reproduction et transmission des gènes.
Dans la nature, pour devenir un alpha, il suffit d'attendre son tour. Les plus jeunes sont des beta car pas encore assez gros pour gagner des combats. Les plus vieux sont beta car trop faibles.
Les mâles ont donc une petite fenêtre de temps, l'âge mûr, pendant laquelle ils sont alpha car au top de leur forme physique.
Ils fuck-close les jeunes femelles, qui porteront leurs bébés.
Chez les hommes, ce modèle à existé dans la préhistoire, mais il a disparu à l'arrivée de la civilisation.
Pourquoi ?
Parce que la civilisation, c'est le travail. L'homme civilisé travaille pour produire de la richesse. Mais pendant qu'il travaille ou qu'il fait la guerre, pour créer, entretenir, et améliorer sa civilisation, l'homme ne veut pas que sa salope de femme hypergamous fuck-close ailleurs, et lui fasse des bébés qui ne seront pas les siens.
L'homme civilisé a donc créé des sociétés patriarcales, dans lesquelles les femmes sont surveillés, forcées d'être monogame, slut-shamées si elles dévient du modèle de la chaste et innocente Madone ("amoureuse et fidèle jusqu'à ce que la mort vous sépare, c'est écrit dans le contrat de mariage")
Ces modèles de société ont fonctionné pendant des millénaires à tel points que les mâles ont finir par y croire, que leur mères et leurs soeurs n'étaient pas des putes.
Mais la vérité, c'est que de tout temps, la femelle est restée ce qu'elle était au départ, à savoir une chienne en chaleur poly-amoureuse et multi-orgasmique, programmée pour être excitée à mort par le ou les alpha-mâle du moment.
L'amour platonique et maternel pour son beta de mari qui se tue au travail ou à la guerre n'est pas, et n'a jamais été à son programme génétique.
Au moment où les sociétés patriarcales s'effondrent un peu partout dans le monde, sous la poussée dissolvante du marché et du libéralisme à tout crin, la nature profonde des femelles, n'étant plus bornée par aucun interdit, se révèle au grand jour sous l'oeil ébahi du beta, élevé devant le Club Dorothée, les Bisounours, et une quantité considérable de niaiseries romantiques.
Le réveil est difficile pour le beta. La réalité est aussi difficile à vivre pour la femelle, car si les sociétés ancestrales brimaient les femmes, elles les protégeaient aussi. Car le mari beta ne voyait aucun inconvénient à vieillir tranquillement à côté de sa chère femme qu'il avait connue jeune et belle.
Il est plus difficile à la femelle de 40 ans de se recaser après le divorce. D'ailleurs elles constituent l'essentiel de la clientèle des sites de rencontre.
Certains peuples du Sud, n'ayant aucune civilisation à défendre, ou n'ayant jamais adopté le modèle familial à l'occidentale, sont particulièrement à l'aise avec les femelles libérées.
Prophétie : la libération de la femelle a provoqué l'éclatement de la cellule familiale européenne, et va entrainer par effet domino la fin de la civilisation occidentale.