[UMale]

Personnellement, le gout de l'alcool m'est assez indifférent, donc je vois pas trop l'intérêt d'en boire, j'ai pas plus de couille ni rien, mais c'est vraie que quand une HB demande "Je te met un vodka-orange?", "Non juste un jus d'orange", ca passe mal. Du coup je me prend un verre que je garde assez longtemps, les gens ne vont pas regarder a quel vitesse tu bois non plus.

Aucun verre = désavantage séduction
Quelques verres = neutre
Grosse cuite = anti-séduction.

Comme tout, faut savoir trouver le juste milieu, mais je pense que s'intégrer un minimum dans la norme est essentielle en séduction, après tu est catalogué mec bizzar sauf si tu as une excellent inner game et que tu arrive a en faire une force. Reste que c'est plus simple de prendre 2 ou 3 verres...

[Snill]

La chicha c'est deuspi franchement. Ca rend pas accroc, ni rien. Puis c'est un truc occasionnel en général ce truc là, donc de toute façon...

[Wunjo]

Envoyé par Steelcrate

Quels sont les risques ?

Cancer, mais après ça dépend aussi comment est préparée la chicha si c'est avec ou sans substances illicites et si c'est de l'eau ou un autre liquide.

[Choco]

Plutôt intéressant comme sujet Je vais pas vous dire ce que je consomme parce que fondamentalement tout le monde s'en fou, par contre j'aimerais amener ma contribution aux interrogations de jauni, mais d'abord :

Envoyé par LowFreq

Merci Stallion et Omega. J'ai pareil avec mes amis. Ma peur c'est vraiment par rapport aux targets. Ca coince souvent quand tu dis "Je prendrais un coca" et qu'elle te regarde genre "Quoi !?!?!?!? Tu bois pas? T'es pas normal".
Mais apparement tout est question d'IG. Sois sûr de toi et ça passera sans problème

Rien ne pourrait être à mon sens plus élégant d'un point de vue séduction (On est ici pour ça) que de répondre "Oh, je buvais régulièrement avant, j'en ai plus envie maintenant". Interrogation de la demoiselle inévitable. Et là, vous l'achevez d'un raisonnement similaire à ce que Derek nous a écris :

Si tu passes une mauvaise soirée, n'accuse pas le fait que tu n'as pas bu. C'est que tu n'as pas mis assez l'ambiance, c'est que tu as fait de mauvais choix, que ton innergame était mauvais. Cela te coutera plus au démarrage, mais tu seras le grand gagnant au final. Toi, pour être bien tu n'auras pas besoin de tout ça au bout du bout.

Et là "OW' MAN, il est différent celui là". Bing. Si vous campez suffisamment votre position, pour peu qu'elle maitrise la tolérance, dans 95% des cas elle n'aura de toute façon rien à vous rétorquer. Soit on gagne son respect par notre vécu, soit au moins on découvre qu'elle est intolérante et après on fait ce qu'on veut (Personnellement, probablement lui dire ses 4 vérités avant de lui dire au revoir). Dans les 2 cas, la situation est finalement intéressante.

Ce qui m'amène à toi, jauni ; tu as l'air de considérer le fait qu'on puisse être heureux en regardant TF1 et la téléréalité comme "un problème". (Lis correctement la suite avant de réagir juste sur ça.) De mon côté, je vois ça comme des gens qui ont un vécu et un conditionnement différent, qui ont donc bien sûr des attentes différentes de la vie, et je suis heureux si ils sont heureux comme ça. Doux équilibre des choses.

Je dis "Un problème" car tu envies cette situation que tu trouves "simple" et dont tu aimerais pouvoir te contenter. Or, ça ne correspond pas à toi, ton conditionnement, ton vécu ; pourquoi bon sang dès lors te faire une telle projection dans leur vie. Elle n'est ni meilleure ni moins bien que la tienne, elle est simplement différente. Accepte le : c'est à toi de voir ce qui t'épanouis selon tes propres caractéristiques, oublie ce genre de projections inutiles.

Je serai par exemple personnellement malheureux à regarder TF1 ou de la téléréalité, je serai heureux en découvrant une nouvelle des infinies curiosités de ce monde. Accepte ce dont tu as besoin plutôt que de remettre perpétuellement ça en question.

Pour moi, ensuite, une des clefs du bonheur est la tolérance par rapport à ces besoins différents. Quant à tes interrogations sur le sens de notre existence, je dirais que notre monde est suffisamment riche et merveilleux pour qu'on puisse consacrer nos existences à sa découverte et être comblé par une telle beauté, pourquoi s'obstiner à chercher une fin à une route lorsque empreinter celle-ci suffit déjà à nous combler ?

[Jodimaria]

C'est une bonne chose ce que tu dis, et honnêtement ne changes pas: Au contraire, assumes le, rigoles en. Je trouve qu'au autraire, sa met un sentiment de rareté, de différence, car c'est devenu limite normal de se droguer de fumer... Sa sert a rien de d'y mettre pour entrer dans une catégorie: assumes toi, c'est mieux, je suis exactement comme toi.

[jauni]

Envoyé par Choco

Ce qui m'amène à toi, jauni ; tu as l'air de considérer le fait qu'on puisse être heureux en regardant TF1 et la téléréalité comme "un problème". (Lis correctement la suite avant de réagir juste sur ça.) De mon côté, je vois ça comme des gens qui ont un vécu et un conditionnement différent, qui ont donc bien sûr des attentes différentes de la vie, et je suis heureux si ils sont heureux comme ça. Doux équilibre des choses.

Je dis "Un problème" car tu envies cette situation que tu trouves "simple" et dont tu aimerais pouvoir te contenter. Or, ça ne correspond pas à toi, ton conditionnement, ton vécu ; pourquoi bon sang dès lors te faire une telle projection dans leur vie.

Tu crois que je me force à cogiter et à voir des agencements de concepts?
Quand je me pose une question, (ou quand je vois qu'un truc cloche, ce qui induit un questionnnement), j'ai un tas d'éléments de réflexion qui me viennent à l'esprit, et cet assemblage forme une opinion.
Parce que la différence, elle est visible, elle est palpable. Je sas très bien que je ne suis pas normal, et que j'entrerai plus difficilement que la plupart dans une CZ sociale. D'ailleurs je crois que je n'ai jamais été dans une CZ intellectuelle, où je me suis dit "je suis comme tout le monde, ça ne risque pas de partir en couille si je l'ouvre".

Le concept de normalité? Tu peux le nier, mais les gars qui font des films en font leur business. Un film doit s'adresser à un max de personnes, et ressembler à son audience (mirroring).
C'est pourquoi le héros de blockbuster est toujours un couillon qui a de la chance.
6 Tricks Movies Use to Make Sure You Root for the Right Guy | Cracked.com
"So is the idea that the people who enjoy stuffy, intelligent, ivory tower entertainment like operas and classical music are the enemy? Because that means they're not like us, the Joe Sixpack movie-goer?"
Et le méchant écoute de la musique classique, il va à l'opéra, il a des goûts sophistiqués, c'est un aristocrate, c'est un génie super intelligent, il n'aime pas les chiens, il n'a pas des idées politiquement correctes (ou qui sortent juste des sentiers battus)...

Déjà, j'ai 3 points de méchant à dedans: musique, chiens, opinions.
Et Les gens que je rencontre n'ont pas beaucoup de points, surtout pas 3 en même temps.

La différence, oui. Mais quitte à être différent, autant être du bon côté de la barrière et pouvoir pointer du doigt les autres.

Elle n'est ni meilleure ni moins bien que la tienne, elle est simplement différente. Accepte le : c'est à toi de voir ce qui t'épanouis selon tes propres caractéristiques, oublie ce genre de projections inutiles.
Accepte ce dont tu as besoin plutôt que de remettre perpétuellement ça en question.

Si t'es cul-de-jatte ou paraplégique, est-ce que tu ne penserais pas avec regret à ce que tu aurais pu faire si tu avais des jambes, comme tout le monde? Quand tu vois des gamins courir, des amis te dire "pas ce soir, je vais en boîte", "pas demain on a rando", quand tu entends "je vais te foutre un coup de pied au cul"?
L'idée "normale" et répandue fait dire aux gens qui n'ont rien à se reprocher que la la différence c'est bien, que c'est à cultiver, tout ça.
Non, c'est un handicap, banane.

Tiens, vendredi soir, je parlais à une HB7 que j'avais déjà croisée mais à qui je n'avais pas encore parlé en face à face. Elle m'a demandé mon prénom, je lui ai répondu que je me souviens qu'elle me l'avait déjà demandé il y a 1 mois dans un autre établissement lors de la première danse, et je lui ai ressorti ce dont on avait parlé ce jour-là (et je ne me suis pas souvenu de son prénom parce que je sature à ce niveau).
Ca ne lui disait rien du tout.
Et là, je t'assure que je me sentais comme un attardé. Différent, à côté de la plaque.

Ne pas y penser, facile à dire.
Quand tu te le rappelles régulièrement à toi-même, quand les gens autour de toi te le font remarquer ("on va l'appeler wikipédia", "c'est dingue, comment tu fais pour te souvenir de tout ça?"), tu te remets fatalement en question.

Je serai par exemple personnellement malheureux à regarder TF1 ou de la téléréalité, je serai heureux en découvrant une nouvelle des infinies curiosités de ce monde.

Si tu arrives à un point où tu n'es plus capable de voir et vouloir ce que tu n'as pas, dans un cadre où tu as tout ce que tu peux imaginer (puisque ton imagination est limitée par tes connaissances), ne serais-tu pas plus heureux?
J'ai ma télé LED, mon téléphone dernier cri, [s]une femme[/s] la pétasse de Sellig (cf. son sketche), mes loisirs (12h le jeu télévisé, 19h les actus people/télé réalité, 21h je vais boire un coup avec les copains avec qui je vais parler de ces émissions...), des gens à qui je vais dénoncer la corruption du monde ("ouais t'as un complot NWO", "ouais de toutes façons c'est les ricains", "de toutes façons c'est les chinois"), des gens plus cons dont je peux me moquer (télé réalité, confessions intimes...), des gens meilleurs mais que je vais traiter de pédé d'intellectuel péteux. Avec en plus un boulot routinier à blaguer avec les copains du bureau, l'émotion récurrente du foot, et chaque année les vacances à la grande motte.

Une vie bien remplie, haletante, sécurisée aussi bien intellectuellement que matériellement, pleine d'émotions, avec des découvertes régulières à la télé, des sujets de discussion partagés avec les autres personnes...

En gros, pouvoir être plus proche du Nirvãna bouddhiste, en ayant résolu le problème du désir, et donc de la souffrance. (cf. 4 nobles vérités de Bouddha)

Pour moi, ensuite, une des clefs du bonheur est la tolérance par rapport à ces besoins différents. Quant à tes interrogations sur le sens de notre existence, je dirais que notre monde est suffisamment riche et merveilleux pour qu'on puisse consacrer nos existences à sa découverte et être comblé par une telle beauté, pourquoi s'obstiner à chercher une fin à une route lorsque empreinter celle-ci suffit déjà à nous combler?

Tu as probablement une dualité entre l'aspect découverte, épanouissement, enrichissement personnel et l'aspect CZ, famille, positionnement social.
Tu as un monde à explorer, mais tu as aussi besoin d'un "chez moi" pour te reposer et te sentir entouré. Une maison dans laquelle retourner si la route te semble difficile, avec des gens proches qui ont de la sympathie.

Dans mon "chez moi", il n'y a presque personne. Je ne peux pas m'en contenter, je ne peux pas l'accepter sans broncher.

[Artefact]

Bon j'ai pas lu les messages, y en a trop.

Envoyé par LowFreq

personellement, je n'entre dans aucune des catégories pré-citées. Je me demande donc si tout cela m'avantage ou au contraire me réduit mes chances (je ne me metterai pas à fumer parce que ça me donne plus de chances) dans le game ?

Alors moi non plus je ne bois pas, fume pas, bois pas de café, me drogue pas, etc.
Pour ce qui est des soirées, je suis excité et complétement taré de nature. Je fais des choses que même mes amis bourrés ne pourraient jamais faire.
Pour ce qui est du game, ça a toujours été un avantage pour moi, et ça me permet de faire du C&F

E : Ah ! Tu bois pas ? Tu fumes pas ?
M : Ouais. Et j'aime pas le foot ! Je suis le mec parfait en quelques sortes...

Et ça fait toujours sourire.

[NoRules]

Personnellement, actuellement je fume seulement quand on me propose une clope, je bois en soirée (jusqu'à la cuite parfois) ou à table un bon vin c'est génial, les joints en fin de soirée je ne les refusent pas et le café seulement à la fac pour me maintenir réveillé.

Bref je ne me force jamais à prendre quelque chose, c'est juste pour le plaisir et la plupart du temps en compagnie d'autres personnes. Franchement l'ivresse d'un bon vin ou un bon trip avec des potes et de la bonne musique, c'est presque orgasmique!
Mais il ne faut pas que ça devienne une addiction, une mauvaise habitude ou un besoin maladif (le café ça ne compte pas pour moi), je suis à 100% pour les excès dans la fête et la bonne humeur mais ça ne doit pas devenir un mode de vie (j'ai pas envie de finir dans le club 27).

Il m'est arrivé de fréquenter des fête sans tabac, alcool ni joints et honnêtement je m'y suis moins bien amusé que dans celle avec ces dites substances, et jamais quelqu'un ne m'a forcé à consommer quoi que ce soit alors que je ne te raconte pas l'accueil qu'on m'a déjà fait parce que je ramenais une bouteille ou un peu d'herbe en voulant faire partager, tu te retrouve alors à être le pestiféré de la soirée, ça ne t'arrivera JAMAIS parce que tu refuse de boire de l'alcool, donc j'ai vite choisi mon camp ^^.

Par contre les soirées avec de la coke (ou avec des drogues de synthèses), je pense qu'il n'y a pas pire, les gens deviennent vite agressifs, boivent plus d'alcool parce que ça donne la sensation de mieux tenir, raconte leurs vies sordides, deviennent jaloux, cupides, enfin ce n'est pas une drogue qui fait ressortir les bons cotés de l'homme. En plus le truc c'est qu'on se fait royalement chier si l'on ne se drogue pas, donc je n'y remettrai plus jamais les pieds (ni le nez).

Il ne faut pas se priver par principe, mais si la tentation ne se manifeste pas, très bien reste comme tu es, tu n'en sera que plus heureux. Par contre refouler sans cesse ses envies et pulsions c'est mauvais, parce qu'on fini toujours par craquer et la c'est une chute de très haut. L'homme a besoin de soupapes de décompression que ce soit par le sexe (là par contre je suis un vrai addict ) la drogue ou n'importe quel activité qui génère assez d'endorphine et donc du plaisir.

Putain de Carpe Diem!