Je ne vais pas aborder une iènieme étude philosophique/existentielle de ne pas boire/fumer sur la santé et sur la vie, mais depuis quelques temps j'ai appris quelques trucs.
Il a de ça peu de temps,
j'étais comme toi, j'étais ni fumeur/buveur/drogué j'étais sportif. C'est toujours le cas, plus ou moins. Seulement, suivant tes fréquentations, et le type de soirée auquel tu va, tu est obligé d'être confronté à ça.
Dans l'absolu, être sain c'est bien, mais quelques plaisirs de la vie sont tout à fait appréciable. On va dire que dans de minces proportions, boire ou fumer (pas la clope...) de temps en temps, ça peut te détendre,
mais il ne faut pas en faire une habitude.
Personnellement, je fume très très peu, mais de temps en temps, ça donne vraiment un coté alpha dans certaines soirées (Ouais dur à croire hein).
Je précise que je ne fume pas la clope. Et je conduis, donc je boit peu aussi. Je sais que c'est mal, mais en ayant toujours le pouvoir sur soi même, on peut se limiter. J'ai beaucoup d'amis qui fument ça régulièrement et ça me gène, moi c'est vraiment pour le fun et pour avoir une
petite "claque" de temps en temps.
Faire ces actions, ça permet d'une part le "Mirroring" parce que tu fais ce que font les autres, donc ça te rapproche inévitablement de certaines HB, mais ça te permet aussi de comprendre l'état d'esprit des gens sous ces effets à ce moment là. On va dire que j'expérimentais ce que les autres expérimentais pour savoir ce qu'ils ressentaient et comment tirer ça à mon avantage.
Dans certains cas, ça réduit tes chances, dans d'autres ça les augmente sensiblement...
Vivre c'est mourir, donc de toute façon, pourquoi ne pas profiter un minimum des choses à dose raisonnable ?
Sinon autant vivre ermite dans une grotte, après s'être coupé les ****** et manger de l'herbe tout les jours.