Discussion: Blog père divorcé
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Vieux 15/02/2018, 15h58
don Diego de la Vega don Diego de la Vega est déconnecté
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Citation:
" il la poussait à travailler mais se plaignait de son manque de disponibilité."

Je ne me plaignais pas. Je la poussais à se rendre compte qu’elle avait trois enfants. Je la poussais à s’en occuper. J’obtenais des cris par lesquels elle prétendait que je voulais l’asservir, que j’étais un macho, que je voulais la cantonner au ménage, à la maison, aux enfants…

Ca c’est l’aspect psychologique de son attitude.

L’aspect politique c’est que présenter comme une certitude que je me plaignais de son manque de disponibilité est une destruction de la loi dans la société par l’expert qui l’écrit et les juge qui la croit. Je rappelle en effet que pendant la période ainsi narrée par une auxiliaire de justice, des documents validés par l’Etat, dont la falsification est soumise à des sanctions graves prouvait que j’ai toujours gagné plus d’argent qu’elle.

L’idée d’une période où je serais resté à la maison pendant qu’elle travaillait est inepte. Le reste est encore plus impossible que je la pousse à travailler tout en lui reprochant son absence.

Mais l’impossible ne leur fait pas peur, ils ont tout les pouvoirs même celui de tuer sans risque et ils s’en servent pour imposer leur vision du monde dans lequel les pauvres femmes sont de bonnes mères, dans lequel les hommes sont porteurs de tout le mal, à tel point qu’on peut leur faire tout le mal qu’on veut et qu’on peut leur faire.

En gros, dans cette affaire, la base de reproche qui a servi de prétexte aux juges pour confier la garde des enfants à la mère, fut que "Mr Rppl" (auteur du blog) privait la mère de son rôle de mère en endossant la charge quotidienne des soins aux enfants.

Curieux procès kafkaïen dans lequel l'homme oppresse quoi qu'il fasse.


(pour info, ce blog se lit de bas en haut)

Citation:
« leur père n’arrête pas de leur dire que leur mère est folle, qu’elle est une saltimbanque incapable de gérer sa vie et de s’occuper de ses enfants. »

Je n’ai jamais dit cela.

C’est toute l’indignité humaine de ce texte et de son acceptation par les magistrats comme vérité effaçant toute autre considération, c’est d’avoir disposé de ma parole comme si je n’existais pas.

Ils m’ont infligé la mort. Ils ont infligé la mort à mes enfants.

Ils m’ont prêté des paroles que je n’ai jamais tenues.

Ils m’ont prêté des pensées que je n’ai jamais eues.

L’auteure de ce texte est assistante sociale. Elle n’a pas pu constaté cela pour deux raisons : elle est resté une heure n’a rien pu constater de ce genre. Elle écrit sous le titre de sa visite chez Valérie.


Citation:
Voilà la suite : « Pour Valérie, Aurélien n’a jamais accepté d’avoir dû abandonner sa vie d’artiste qu’il avait pourtant quitté de son plein gré »

L’avis de Valérie, mon ex épouse, fait la loi : l’expert et le magistrat ne cache pas leur forfait.

Je demande au peuple de France qu’il m’aide à obtenir que cette parole soit confrontée aux autres paroles présentes dans le dossier.

C’était le travail des magistrats. Ils s’en sont exemptés. Leur faute est juridique. Elle est pénale. Ils ont écrit leur faute eux-mêmes.

Il est tout-à-fait faux de prétendre que « abandonné ma vie d’artiste ». La question posée dans cette considération est : « Pourquoi Valérie invente-t-elle ça ?

J’ai changé de métier en réponse à la démission phénoménale de Valérie

en tant qu’épouse,

en tant que mère,

en tant que « maîtresse de maison » :

elle n’était jamais là, cachait son argent, ne s’occupait de rien à la maison et dans la famille.

L’enquêtrice l’a su et l’a tu.

Une trentaine de citoyens l’ont écrit aux magistrats qui n’en ont pas plus tenus compte que s’ils n’avaient jamais fait cette démarche citoyenne.

Dernière modification par don Diego de la Vega ; 15/02/2018 à 16h04
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