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Vieux 29/01/2018, 16h57
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Date d'inscription: janvier 2018
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Déjà, merci pour vos retours.


Le truc c'est que j'y arrive parfois, un ami me disait lors d'une soirée que j'étais dans mon élément, qu'il me voyait parler à tout le monde facilement et naturellement et qu'on m'appréciait.

Mais voilà quand je crois être enfin à l'aise et sorti d'affaire, les soucis reviennent. Beaucoup plus de bas que de hauts.
La peur, le rougissement, l'introversion, l'envie d'être seul et en simultané la peur de l'être.
Un adolescent de presque 40 ans.


Je me suis mal exprimé, je ne dis pas être autiste ou Asperger, c'étaient des exemples pour illustrer que malgré tous leurs efforts, les progrès de certaines personnes peuvent être très difficiles voire presque impossibles avec leur condition.

Un peu comme demander à un daltonien de faire un effort pour différencier des nuances.
Et donc sans être autiste, je suis peut être un daltonien social.
Si la timidité se "soigne", pas l'introversion.


La dépression a aussi plusieurs niveau, le pire étant ne plus bouger de son lit et l'envie de suicide.
Je n'en suis heureusement pas là.

Je m'interroge quand même sur un début ou dépression très légère (mes pertes d'envie, de motivation, de capacité de décision, ma fatigue permanente, dormir pour faire passer la journée plus vite entre deux repas) et mon nouveau médecin généraliste n'a même pas voulu en entendre parler : "mais non vous n'êtes pas dépressif !" (je l'ai vu 3 fois dans ma vie...) Et me conseille de "parler à quelqu'un"...

Par contre, comme je suis très sceptique par rapport à l'efficacité des psychanalyses / psychothérapies, je préférerais avoir l'avis d'un psychiatre (un vrai médecin avec des diplômes, un scientifique) mais j'ai l'impression d'être plutôt un malade imaginaire doublé d'un vieux râleur :-) !
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