[don Diego de la Vega]

Tu t'es trompé non ?

Non je parlais bien d'une inversion souhaitable entre ce qui parait mieux et ce qui l'est réellement (après test).

-Le second type de fille dont tu parles, font partie de la moyenne dont moi je parle. Un ensemble de filles plus ou moins jolies qui peuvent plaire à tel ou tel mec. Et bien celle-ci, si tu crois qu'elle a pas une armée de mec à ses pieds, alors tu devrais songer arrêter la drogue.

Et bah non, je parle encore de celles en dessous de cette moyenne.
Je parle de celles que nomralement un mec lambda n'aura même pas vu. Je parle pas de rpérer hein, juste qu'elle apparaisse sur le radar.

En fait je parle davantage de fond et de forme.
Mon propos est de dire que celles qui font le moins attention à leur tenue, leur look, leur lifestyle qui n'est pas fait de paillettes et de néons, celles là sont plus accessibles.

Je ne dis pas qu'elles sont "accessibles à tous" (même si c'est ce que j'ai laissé entendre par exagération).
Je dis qu'elles sont bien plus accessibles et avec un rapport engagement/bénéfice bien plus favorable.

Après faut être réaliste: cette espèce là sur Paris tu vas galérer à la trouver. Mais elle existe.

Tu parles pas un ado de 15 ans qui se branle sur des actrices pornos. Tu crois que la misère sexuelle, c'est des mecs qui ne rêvent de sortir qu'avec des bombes ultra-féminine qu'on ne croise que dans la boite VIP ? T'es sérieux ? Moi je te parle d'une nana sur deux voir deux sur trois. Elle, elle est en position de force.

Oui oui, ma bite à couper que la misère sexuelle se nourrit en partie de cette hyper sexualisation médiatisée et de l'uniformisme du canon de beauté présenté en couverture également.
Je ne la réduit pas à ça. Ce n'est qu'un faible facteur parmi d'autres. Mais je pense qu'il était pertinent d'évoquer cet aspect dans cette discussion.
Et surtout je pense que beaucoup de mecs gagneraient à sortir la tête de ce système "pupute" qui est assez creux.

Je n'ai jamais dit que ce serait la panacée et encore moins concernant ton cas particulier (puisqu'on ne sait rien de toi ou si peu)