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Vieux 19/11/2017, 11h40
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On s’est mal compris Tron. Pour ma part je me fous royalement DES féministes, d’ailleurs comme dans tout label auto-atttribué il y a probablement 90% de personnes qui sont simplement «*de sympathie idéologique*» (ou qui ont besoin de se raccrocher à quelque chose, c’est un peu la même chose sous des polarité inverses) sur des points de fond sans aller plus loin, un peu comme les «*communistes*» en France (je parle du vrai communisme, pas de son incarnation en partis) et autres blasons de ce type.
Ce qui me dérange c’est le sens que contient ce mot. Un terme qui se décompose ainsi <sexe>-isme, eh bien rien qu’en le lisant tu entends «*sexisme*».
Le problème justement vient des «*feministes*» qui n’en sont pas vraiment et qui utilisent un mot empoisonné de manière insouciante. Or le poids des mots est fort, on le sait d’ailleurs en psychologie (les mots que l’on emploie ont un effet sur son développement psychique).

D’ailleurs dans le societe je pense être un des mecs qui s’en tape le plus des questions de groupe, ce qui d’ailleurs doit expliquer mon impopularité relative auprès de la gent féminine vu que je ne les traite pas en «*femmes*» mais en tant qu’individus. D’ailleurs il y avait une femme dans mon ancien lieu de stage que l’on disait «*féministe*» et qui avait fini par se décrire comme telle alors que pour moi c’etait simplement une femme de caractère et donc pas soumise à des imbécillités comme « LA femme*», «*L’homme*», d’ailleurs elle m’avait fait tourner la tête.

À mon avis c’est une grosse erreur pour une personne qui en réalité veut simplement sortir des clichés et des «*facons de faire*» de se placer sous une bannière régressive.

Dernière modification par AlexandreDeMacedoine ; 19/11/2017 à 11h42
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