@Donald :
Famille, absolument aucun soucis ! Ou du moins consciemment c'est sûr.
Du côté maternel, tout roule, je vois souvent mes frères, neveux, tantes, etc. Je m'entend bien avec tout le monde. J'ai une relation fusionnel avec ma mère avec laquelle je discute beaucoup de ce qu'il se passe dans ma vie.
Côté paternel, c'est un peu plus compliqué. En soi, je n'ai aussi aucun soucis. Mais je ne vois que mon père et mes deux petits frères. Les plus grands sont en froid avec lui, ce qui fait que ça fait énormément de temps que je ne les ai pas vu. Pour mon plus grand frère, ça fait au moins 10 ans facile.
Cercle social, tranquillou. J'ai plutôt pas mal d'amis que je vois ça souvent le week-end. J'ai plusieurs groupes avec lesquels j'essaye de switcher, tout le monde semble vraiment m'apprécier, et on m'invite assez souvent. Le problème ne vient clairement pas de là.
Occupations, bon ça se gâte un peu. Hors week-end, depuis le début de ce coup de mou, je suis vide : trop de fatigue, trop de stress, je n'arrive pas à me concentrer sur autre chose. Je m'en suis rendu compte hier de ça en essayant de prendre du recul sur ma situation, j'ai donc appelé plusieurs amis à la rescousse : deux pour s'inscrire à la muscu, en espérant qu'on y aille la semaine prochaine, et un pour avoir des renseignements car il m'avait une fois dit qu'il s’entraînait pour la danse dans une salle, mais bon, toujours pas de nouvelles. Là, si j'arrive à me motiver, c'est un petit jackpot : reprise du sport, et esprit occupé par autre chose.
Boulot, j'ai la chance de travailler dans le domaine que je voulais. J'ai eu une alternance qui s'est enchaînée sur un CDI. A première vue tout roule !... Sauf depuis deux semaines où les projets me donnent la pression, et donc qui me fatigue. J'avance au ralenti. J'ai l'impression d'être dans un cercle vicieux.
Le fait d'avoir lâché tout ça ici m'a déjà enlevé d'un sacré poids !