Je comprends pas ; qu'est ce que tu veux faire d'autre ?
Ecouter, rassurer, ok. C'est une partie de la solution.
Mais après ??
Qu'est ce qu'on fait avec un enfant ? Bien sûr on lui fournit une atmosphère réconfortante lui permettant de prendre confiance en lui et d'apprivoiser peu à peu ses peurs.
Mais on l'amène aussi à rencontrer et à éprouver le monde extérieur.
On n'arrête pas une rentrée en petite section parce que 5 gamins chialent.
Et ya pas vraiment lieu de le faire, puisque jusqu'à maintenant je n'ai jamais entendu parler de gosses traumatisés par ça.
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Ma conclusion : le danger dans un discours trop faible, serait de ne rester que sur la dimension affective liée à l'écoute.
La démarche du pied au cul avec un peu de forcing n'est pas inhumaine, loin de là.
(Ceux qui sont tentés de faire un parallèle avec les identités sexuées du père et de la mère.... Ont totalement raison
)
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Ps :
Les liens que tu fais restent à démontrer.