Intégrer une philosophie de bonheur dans les écoles serait un plus, la conjoncture politique ne semble hélas pas annoncé ça. J'aimerais en général qu'on le fasse dans la société.
Citation:
Envoyé par GilbertDeLaRue
Mais est-ce qu'une addiction, par exemple lié au sport, à la lecture, à l'art de façon général peut-être est nocif ?
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Tu parles des limites qui entraînent une tristesse. Qui dit addiction dit besoin et le besoin ne s'encombre pas forcément du plaisir.
Les nymphomanes et les satyriasis (l'équivalent masculin) ont le plaisir en second plan, ils peuvent y renoncer. Les joueurs de poker perdent du plaisir dans leur activité à partir du moment où ils passent pro. On voit ça aussi avec beaucoup de gros joueurs de tennis (je crois bien) qui déclarent ne pas vraiment aimer leur sport.
Y a une corrélation (pas toujours linéaires) entre les exigences sociales et le bonheur, ça serait absurde pour moi de dire le contraire mais ça reste distincte.