Citation:
Envoyé par notrade
Ah merde je viens de voir l'année 2011 hahaha, au temps pour moi
Mais j'ai pas compris pourquoi ce topic a été réuppé du coup....
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Parce que Monsieur Test 5 fait référence à la notion de détachement que nous avions rabâché dans un des topics de Tom A, si je me souviens bien.
Rien d'autre que du déterrage de topic en bonne et dûe forme
Citation:
Envoyé par CrazyStudent
Justement ! C'est peut-être pas le lieu mais avec le recul, c'est quoi qu'il te manquait ?
Qu'est-ce qui t'as donné le déclic ? |
Il est vrai que dans une optique de prise de recul et de retour d'expérience, répondre à ce topic s'avère constructif.
Eh bien au risque de vous surprendre, il ne me manquait qu'une seule chose, la chose la plus compliquée à développer quand on se trouve dans la situation d'un mec frustré ; la confiance.
Je suis passé comme tout le monde par une phase d'expérimentation des relations sociales durant lesquelles je me posais tout un tas de questions inutiles ; mon BL est-il assez bon, le ton de ma voix est il assez grave, suis-je assez beau pour les filles, est-ce que je lui plais, etc, etc, etc...
Des questions absolument inutiles. Je le pense sincèrement. De la masturbation intellectuelle.
Mais c'est une phase que nous traversons tous...
Avec le temps, j'ai abandonné d'essayer de plaire aux filles, pour me plaire à moi même.
Pourquoi me soucier de mon BL s'il me convient ?
Pourquoi me soucier de ma voix si elle me convient ?
Pourquoi me soucier de savoir si je lui plais, si je ne me plais pas d'abord à moi même.
En apprenant à me plaire, j'ai oublié ces questionnements et mes complexes. Dés lors, je changerais uniquement les aspects de ma personne qui ne me convenaient pas, pour moi, pas pour plaire aux filles. S'accepter avant tout, non pas se faire accepter.
Une fois ce travail de fond accompli, je pouvais enfin profiter de ma plénitude psychologique et me concentrer sur créer des connexions sincères avec les filles.
Les dernières "avancées" que j'ai fait en séduction sont de 2 ordres :
1) Trouver un sens et une direction à ma vie (que j'explique dans mon nouveau journal).
Construite sur des ambitions fortes, ça m'a permit de développer une confiance encore plus grande et donc de (presque) supprimer la notion de stress lors de mises à l'épreuve (par exemple pour aborder une fille dans n'importe quelle situation, pour animer une réunion professionnelle ou m'adresser sans être intimidé à des personnes bien plus haut placées que moi).
2) La "no-seduction".
Une fois que ce BESOIN de plaire à disparu, c'est là où la culpabilité de ne pas plaire, de ne pas réussir à plaire ne nous assaille plus. Une étape supplémentaire dans la plénitude psychologique.
Paradoxalement, c'est maintenant que je n'ai plus besoin de plaire que je plais le plus. Je plais déjà à la personne la plus exigeante envers moi que je connaisse ; moi même. De ce fait, comment ne pourrais-je pas plaire aux autres ?