[Juan (Cristobal)]

Polignac, ton approche pourrait marcher telle qu'elle si cette fille était déjà effectivement sous ton charme.
Mais tu la connais pas. Là elle va se dire : qui c'est ce payot encore ?

Alors :

-Tu t'excuses pas

-"Assumes le fait que tu sois attiré par elle, et essayes de rester contextuel, au lycée c'est plus efficace."
Je suis d'accord.

-Tu souris (pas trop, mais n'est pas l'air d'être en train de faire caca)

-Si quand tu l'abordes elle est avec ses copines, tu saluts aussi ses copines avec un regard franc (genre t'assumes totalement de venir draguer ouvertement leur pote)(avec un sourire).

-Bombe le torse, sors les mains des poches, tu les mets au niveau de tes abdos, et tu te penches légèrement en arrière (pas sembler en demande). Evidemment, ça va se jouer surtout au niveau du non verbale.

-Tu te détaches de toute forme de pression, si elle te sens mal à l'aise, elle va l'être aussi.
Si t'es pas à l'aise, tu peux le verbaliser, avec un peu d'auto-dérision ça passe.

Commences par un : "salut" (pas le salut nazi, tu lui dis juste "salut") : là t'as plus rien à faire pendant au moins une demi-seconde, t'attends qu'elle te réponde.

.Si, elle est plutôt ouverte : tu lui expliques que tu la trouve attachante sans savoir pourquoi (pas de commentaire sur son physique stp)("mignonne" tu oublies)

.Si, elle est dans le questionnement (mais qu'est-ce qui veux ?) : tu lui expliques que tu la trouve attachante sans savoir pourquoi (pas de commentaire sur son physique stp)("mignonne" tu oublies)

.Si, elle a ses règles ("j'ai quelqu'un", "on se connait d'ou ?", "tête que t'as", ou encore "faut que j'y aille") : tu la joues Rambo : t'attends au moins 2
secondes sans parler et tu l'observes, et là tu prends pas le refus pour toi. Puis, tu la joues cordial :
"ok, pas de problème, t'as le mérite d'être franche, c'était simpa d'avoir presque pu pouvoir te parler, bonne journée."


-Fais le vite, aujourdhui, ou entre demain et aujourdhui. (sinon tu vas poster encore 50 messages sur le forum pour paufiner ton approche et au final tu vas rien faire)