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Vieux 16/03/2017, 09h30
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Salut à tous,

Je me reconnais en ce que vous décrivez (vraiment bien vu Haruh !) et plutôt que de voir toujours en long terme, je pense qu'il faut aussi voir ses activités comme des phases et bien les relier entre-elles dans son cerveau. Je m'explique :

Faire des études (ou avoir un boulot) dans lesquels on se passionne, c'est être entouré de gens passionnants, donc il y a déjà ces relations là. C'est relié aux sorties, aux potes. Les potes ça rejoint une autre passion : ton instrument, ton activité sportive, etc.

En fait, plutôt que de voir des petites briques qui s'accumulent dans la journée, le bon point d'équilibre sympa à vivre c'est quand tu vois vraiment le tout comme une seule chose : ta vie quotidienne. Je pense qu'à partir de là, l'angoisse de la gestion du temps ne peut que s'estomper puisque tout est vécu à 100%, il n'y a aucune perte de temps et, puisque c'est un tout, il n'y a pas de sentiment qu'une activité est plus prise le pas sur une autre.

Comme le dit Lemminka, ce qui se fait naturellement c'est surtout cette priorisation, pourtant le mot sonne "péjoratif", comme si il y avait une idée "d'obligation". Je pense sincèrement que quand "le tout" est pratiqué avec passion, la priorisation se fait naturellement et c'est bien là que l'on prend le temps pour tout.
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