Citation:
Parce qu'en plus de la nervosité et l'angoisse, tu perds une quantité incroyable d'énergie à essayer de trouver un trou pour fourrer ta bite, pour arriver au même résultat : tu vas éjaculer et par un sursaut de conscience, tu vas te dire "Waow, j'ai perdu autant de temps à essayer de mettre ma queue dans un trou et à la fin, j'en retire pas grand chose... j'aurai pu me branler, tranquillement, chez moi et ensuite m'adonner à mes projets, ceux qui me tiennent réellement à coeur."
Moi, je te prescris une branlette quotidienne et tout les symptômes s'en iront
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Ahah, tu m'a tué
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Barney, j'ai un peu plus réfléchi à ce qui se passe. La branlette régulière ne me pose pas de problème "en soit". Comme ça a été dit plus haut, il y a bien pire que moi niveau fréquence de plaisir solitaire. Je me rend compte que je me suis mal exprimé.
En fait, c'est la baisse de moral qui s'accompagne de la branlette qui est problématique. Chose notable, ça arrive quand je suis tendu au quotidien à cause d'une chose ou d'une autre. En ce moment je suis souvent assez anxieux à cause d'une situation pro incertaine.
Du coup, j'ai l'impression que la masturbation arrive comme une soupape de décompression.
Seulement, lorsque c'est fait, je me mets à me sentir encore plus nerveux, et c'est à ce moment là que je tombe dans la spirale de la consommation, à laquelle je n'arrive pas à échapper.
Ca me fait beaucoup penser au mécanisme de la drogue. Tu te réfugie dans la drogue pour échapper à un problème dans ta vie. Puis ensuite, tu te fait happer par le mécanisme de dépendance de ladite drogue.
D'ailleurs c'est avec un article partagé sur ce forum que j'ai découvert que ça marche pareil, neurologiquement parlant (ne me demande pas lequel, je ne l'ai plus).
Second aspect qui suit le premier: lorsque je me retient, je gagne en énergie, et en confiance en moi (constat fait lors de la pratique du nofap), mais alors ça devient très difficile de résister à l'envie de me masturber, et toute rechute me fait replonger dans le cercle vicieux:
branlette => déprime => rebranlette => re-déprime => ...etc
Au fond, j'imagine que le meilleur moyen d'échapper à ça est de régler les problèmes dans ma vie qui me stress, mais disons que cette "addiction" (appelons la comme ça, faut d'un meilleur terme), n'arrange rien car elle consomme du temps et me bouffe le moral. Et j'aimerais apprendre à la gérer.