Ces tests, nombreux, ont pour but de révéler la part d’inné et d’acquis d’une personne pour améliorer un pb, des performances, être au plus près d’une individualité.
Ils ont un sens dans l’évaluation psycho(métrique) lors du bilan effectué aux petits oignons sur 2 ou 3 semaines. Les tests autodiagnostics internet, magazines sont inutiles.
Les résultats apporteront une connaissance de soi, une prise de conscience limite salvatrice dans qq cas. Ils orienteront le développement personnel et la confiance en soi.
C’est un bilan détaillé psychologique uniquement.
Rien à cirer de connaître le QI établi sur du logique.
Celui de 50 et celui de 145, auront le potentiel commun de trouver, en cas de besoin, la boulangerie locale ou une nana.
Ils ne mettront pas le même temps, la même vivacité à franchir les obstacles. L’un sera moins persévérant que l’autre, plus concentré sur l’objectif et moins influençable.
Ils trouveront en finalité.
Ils seront complémentaires le temps que ça dure.
Celui de 50 sera influencé par tous les bistrots du parcours et celui de 145 pourra le suivre dans son délire poussé par sa curiosité et l’amusement.
Ils finiront le trajet ensemble, totalement cuits, car la logique (tronquée) de celui de 145 les amènera au lieu convoité. Le 1er suivra, il vit le présent, cool.
Dans leur vision commune, ils peuvent se comprendre, environ, et se côtoyer. Communiquer sera difficile sans refaire le parcours chaque jour !
Celui de 145 sera p-ê moins performant en séduction ADS.
La conversation du binôme serait à enregistrer aboutissant à « Tu me fais chi**, t’y vas ! C'est tout voilà ».
L’autre cherchera tjrs la logique des mécanismes (la part d’innée). Il n’arrive pas à rester dans le présent, véritable gangrène pour certains devenant misérables avec ce processus en arborescence. Le pourquoi du comment sempiternellement.
Son fonctionnement mental n’admettra pas d’emblée une main au derrière ou de KC direct.
S’il trouve une logique de FC d’abord puis de KC après, il essaiera pas trop convaincu…
Ils arriveront aussi au but en le vivant différemment.
L’avantage ultime : le QI élevé (la courbe de Gauss) pourra s’adapter à loisir au QI de 50, le contraire sera trop tordu. En ne trouvant pas son pain, il restera amoindri. D’où les tests pour révéler ses compétences.
Il s’échappera d’une manière ou d’une autre en s’éclatant dans une réalisation même futile, un temps et avec perfectionnisme, en tribu ou seul.
Seul, dans un sens, dans sa tribu. Il restera spécial.
L’objectif de vie : d’avoir un je-m’en-foutisme identique à celui de 50 .