Le problème est dans vos formulations. Vous faites des raccourcis néfastes pour la gestion des sentiments et des émotions. Alors que tout est dans l'espace que vous négligez allègrement.
Citation:
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c'est de ne pas considérer la jalousie comme un sentiment "positif", elle fait partie des faux amis qui alimente d'autre sentiments négatifs, et c'est pour ça qu'elle doit être limitée.
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Là tu juges le sentiment ressenti, ce qui est à la porte à tout un cercle vicieux qui t'éloigne du ou des besoins qui se cachent derrière la jalousie de la personne.
Un sentiment ou une émotion ne sont ni positifs, ni négatifs. Elles ne sont qu'une indication sur un tableau de bord. Ca vous viendrait pas à l'esprit de dire que le voyant d'essence qui clignote est négatif. Ou alors de tuer le messager qui vient vous dire que votre royaume est attaqué.
Ici la jalousie n'est pas un ennemi. Il ne doit pas être considéré comme tel. Sinon, on va être fortement tenté de dire: je ne dois plus être jaloux, c'est mal. Faisons un effort pour accepter, ou alors virons cette fille qui ne me respecte pas. Cette vision manichéenne des émotions nous poussent à prendre des décisions extrêmes. Alors qu'on sait pertinemment que la situation est bien plus compliquée.
Vous voyez où je veux en venir? Mais ce que j'explique demande à ralentir le temps, à s'installer dans ses émotions pour pleinement les ressentir et comprendre le message qu'il y a derrière (coucou la CNV).
Et cette démarche est clairement inadaptée à la communication hyper directe d'un forum sur internet qui reproduit le rythme effréné de notre société (cf un de mes derniers sujets sur le thème). D'où mon combat vain
