Citation:
Envoyé par Mr Specter
[I]Hello tout le monde! [....]Et communiquer avec*!
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La question initiale, beaucoup se la posent.
Que dirait tu si tu disais ta réponse en 20 mots ou en 20 pages ?
En 20 pages, ca ferait du floud. Du coup, quelle serait ta réponse en 20 mots ?
Différencier être masculin, d'être adulte.
Confiance en soi et être adulte n'ont rien à voir. L'un n'empêche pas l'autre.
Thomas d'ansembourg : "attention à la suradptation, au burnout."
Une remarque fonctionnelle, et une réponse plus du quotidien :
- moins de vie sociale, ce n'est pas une fatalité. Ca se sculte. L'objectif n'est pas de vouloir ce qu'il y a dans l'assiette du voisin mais de se découvrir, d'être son meilleur allié.
- moins de succès en amour, et chaque rencontre s'idéalise plus vite. A toi de savoir si tu te considères chanceux ou pas sur ce sujet.
Ceux qui se trouvent malheureux en amour se croient pas homme. C'est faux.
Dans la relation de rencontre, si on se pose trop de question sur l'idéal (l'homme) qu'on doit être, cela peut bloquer. Attention alors à l'effet
peine perdue. une peine perdue reste un sentiment idéalisé, bloquant pour la communication. Ne pas durer dans une voie ou il n'y a pas d'évolution de la relation dans la réalité vers KC.
Aller vers les autres, s'ouvrir, sortir de la zone de confort, se lancer des défis, se grandir, c'est aussi se forger et entretenir son gazon. C'est être et entretenir son côté mûr, mature.
L'avantage d'une question ouverte, c'est d'être partie prenante à l'aventure, d'y goûter, de faire évoluer son champ de conscience, sa présence aux autres.
Les adultes le savent bien, une activité régulière forge. Et quand l'esprit est épris, cette activité ramène à l'ouverture.
Là encore, la question d'être un homme se pose.
Une lecture : penser efficace en 5 étapes.
Autre axe, karaté kid : "enlèves ta veste, mets ta veste".
Rien n'est définitif.